Philosophie de comptoir
Taxi dans Paris de nuit, vous allez engager la conversation avec vos différents clients pour découvrir leurs vies et tenter de résoudre des enquêtes pour lesquelles un inspecteur vous demande de...
Par
le 6 mai 2020
6 j'aime
Night Call, c'est une enquête potentiellement oubliable (mais qui a exploré des idées intéressantes au delà de ses faiblesses) qui sert de prétexte à ce qui fait le sel de ce jeu : l'écriture.
Chauffeur de taxi, vous allez rencontrer une gallerie de personnages, vieux, jeunes, bavards ou peu loquaces, et partager des tranches de vie écrites avec brio.
Certains personnages ont pu m'émouvoir en trois lignes, d'autre me faire sourire, d'autre encore m'énerver. Même si toutes ces rencontres ne se valent pas, beaucoup de personnages font montre néanmoins d'une certaine volonté de vivre en dehors de ces interactions, et ne donnent pas l'impression de platitude qu'un personnage romancé peut parfois donner.
Une excellente expérience vidéo-ludo-littéraire.
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à sa liste Les jeux que j'ai enfin terminés
Créée
le 5 nov. 2020
Critique lue 157 fois
2 j'aime
1 commentaire
D'autres avis sur Night Call
Taxi dans Paris de nuit, vous allez engager la conversation avec vos différents clients pour découvrir leurs vies et tenter de résoudre des enquêtes pour lesquelles un inspecteur vous demande de...
Par
le 6 mai 2020
6 j'aime
Night Call, c'est une enquête potentiellement oubliable (mais qui a exploré des idées intéressantes au delà de ses faiblesses) qui sert de prétexte à ce qui fait le sel de ce jeu :...
Par
le 5 nov. 2020
2 j'aime
1
Vendu par ZQSD dans je ne sais plus quel épisode j'avais hâte de pouvoir mettre la main sur le jeu. Le gamepass m'a permis de le faire ! Premier choc, on se trouve face à un jeu "powerpoint" à...
Par
le 9 déc. 2020
1 j'aime
Du même critique
Je n'ai pas encore trente ans, mais je ne suis plus un enfant. Ceci étant dit, répondre à cette critique par "Oui mais c'est pour les enfants", ou "Oui, mais bon, les enfants n'auraient pas...
Par
le 24 oct. 2010
64 j'aime
10
Première salle, je meurs. Première salle, je meurs. Première salle, je meurs. Première salle, je meurs. Première salle, je meurs. Première salle, je meurs. Première salle, je meurs. Première salle,...
Par
le 28 nov. 2013
58 j'aime
1
En introduction, on lit le synopsis, et on voit le nom de Meyer en quatrième de couverture. Ça refroidit, et si on ne tremble d'effroi, c'est parce qu'il y côtoie celui de King. Et on ouvre le...
Par
le 23 sept. 2010
58 j'aime
11