Pokémon X
7.4
Pokémon X

Jeu de Game Freak et Nintendo (2013Nintendo 3DS)

Le paradis des stratèges et des novices.

Ils sont désormais là : les deux opus tant attendus, précurseurs du passage à la 3D de la licence qui fera vendre des 3DS par palettes. Les Pokémon, créatures chères à GameFreak et à Nintendo, débarquent pour la première fois sur 3DS dans un épisode principal de la franchise, et par dessus tout en 3D. Comment s'est passée la transition graphique pour Pikachu et ses amis ? L'essence de Pokémon est-elle toujours présente ? Et par dessus tout, sur quelles bases va se fonder l'avenir de la série ? Réponse maintenant !

Avant même d'analyser le jeu, il est important de constater des différences de confort de jeu entre chaque modèle de 3DS. Sur XL, l'affichage est évidemment étiré mais assez agréable à l’œil : les deux opus ont été pensés pour obtenir le meilleur rendu possible sur la reine de la gamme 3DS. Si le pari est réussi, on constate cependant des différences assez notables, notamment au niveau des contours. Le jeu n'est réellement pas le même sur 3DS classique ou sur 2DS : si ces deux derniers modèles affichent des traits soignés et contours propres, sur XL c'est une autre histoire. Le côté «cell-shading» laisse place alors à une sorte d'aliasing, heureusement fortement compensé par l'immersion accrue, due à la taille de l'écran. Tout ça pour dire qu'au final, même si les deux expériences sont très bonnes, elles sont assez différentes et peuvent changer les visuels du jeu d'une façon assez étonnante.

Puisqu'il faut bien commencer par quelque chose, abordons maintenant le système de combat. Les bases de la série sont conservées, à savoir un système de tour par tour où les Pokémon s'affrontent via des attaques. Chacun d'entre eux dispose d'un moveset de quatre capacités, elles-mêmes limitées par des PP (des points de capacités, indiquant le nombre d'utilisations possibles pour une attaque). La plus grosse nouveauté réside dans le dynamisme des combats. Qui dit passage à la 3D dit forcément animation des attaques en 3D, et pour le coup on peut dire que la transition est réussie. Les traditionnels sprites 2D caractéristiques de la série sont abandonnés, et le rendu s'apparente plus à Colosseum qu'aux anciens opus portables. Si les attaques occupent une grande place dans les combats, il est évident que la modélisation 3D des Pokémon est elle aussi importante, et encore une fois diablement bien réussie. Chaque détail et chaque couleur reproduit parfaitement l'image qu'on pouvait se faire des Pokémon en 3D; on ne peut s'empêcher de penser à l'animé en voyant un Dracolosse en combat, ou même un Pikachu. Pour les nostalgiques, ce jeu est une bénédiction. Retrouver les Pokémon de la première génération à la sauce 3D, le tout dans un jeu techniquement assez bluffant, c'est désormais possible. On peut dire que le dynamisme des combats est directement lié au passage à la 3D, et même si les décors sont de simples papiers peints, ils ont au moins le mérite de s'adapter à la région que l'on parcourt. Pour terminer cette partie, il est important d'au moins mentionner une nouveauté annoncée comme majeure lors de la présentation des jeux : les Méga-Évolutions.

Qu'on soit clair dès le début, concrètement, ce système ne change pas fondamentalement le jeu, il ne fait qu'apporter un vent nouveau sur des mécaniques de combats très (trop?) solidement huilées. Cependant, il est vrai que mettre un Pokémon banal au même niveau qu'un légendaire est jouissif, d'autant plus que ce dernier se transforme visuellement. Ainsi, un Dracaufeu va pouvoir prendre un second type Dragon à la place du traditionnel type Vol lorsqu'il sera méga-évolué. Sa puissance sera fortement accrue, mais seulement le temps d'un combat. En effet, à la fin d'un affrontement, le Pokémon reprend sa forme d'origine et il faudra réactiver l'option une fois en combat, au moment du choix des attaques. Véritable vitrine technologique et symbole du renouvellement, les Méga-Évolutions n'apportent qu'un changement mineur dans la stratégie Pokémon, a contrario du nouveau type Fée qui lui, bouleverse quelque peu le « métagame », comme l'appellent les fins stratèges (autrement dit la tendance de jeu actuelle, et les Pokémon les plus efficaces et/ou les plus utilisés en tactique).

En ce qui concerne la tactique justement, quelques changements, en plus du nouveau type Fée, sont apparus. Le plus flagrant et celui qui a le plus d'incidence est certainement le SPV (Système de Perfectionnement Virtuel) qui permet une gestion facilitée des EV. Il est maintenant beaucoup plus simple et plus rapide de faire gagner des points d'effort à vos Pokémon. Si depuis toujours ces points s'attribuent de façon invisible en fonction du Pokémon combattu uniquement, désormais le SPV propose une alternative plus ludique, plus rapide et plus simple à ce système. De plus, les EV sont pour la première fois visibles sur l'écran tactile ; ainsi, il est facile de suivre l'avancement de votre entraînement et la répartition de vos EV. Notons cependant que l'ancien système est toujours effectif, et qu'il est tout à fait possible de procéder de la même façon qu'avant. Ajoutons à ça de nouvelles capacités spéciales, et les incidences directes du type Fée sur la stratégie Pokémon, à savoir un type insensible aux Dragons et très vulnérable aux types Acier et Poison : le côté tactique est bel et bien présent dans ces deux nouveaux opus, avec là aussi quelques nouveautés qui, même si elles peuvent paraître mineures, changent complètement le jeu sur son aspect tactique.

D'une manière plus accessoire, la PokéRécré fait son apparition. Si on peut d'abord assimiler cette option à la gestion du bonheur, elle est en fait assez foncièrement différente. Il est possible grâce à cet outil de favoriser les coups critiques, les confusions et autres facteurs aléatoires en combat. Comment ? En s'occupant régulièrement de son Pokémon dans la PokéRécré. Lui donner à manger, le faire jouer, le caresser.. des occupations triviales qui ne réjouiront pas les joueurs les plus nichés d'entre nous. Cependant, la PokéRécré fait partie intégrante de Pokémon X et Y ; l'un des Pokémon phares du jeu, Nymphali, évolue grâce à ce nouvel outil. Une option qui peut être facilement catégorisée «casual» mais qui a pourtant son importance. Notons également la possibilité de changer de tenue, qui permet de donner une identité un peu plus spécifique à son dresseur. Une dernière remarque sur les moyens d'évolution, qui sont encore plus variés et nombreux sur ces opus, nous y reviendrons un peu plus bas.

De façon contraire, le scénario, lui, bien que nouveau et assez travaillé, ne révolutionne en rien la saga. Ce point a toujours été secondaire dans les jeux Pokémon, et celui de X et Y ne fait pas exception à la règle. Non pas que l'histoire et son ficelage soient mauvais, bien au contraire, mais leur importance par rapport à la richesse du jeu est vraiment dérisoire. On notera quand même que les Méga-Évolutions sont au centre de l'intrigue, celle-ci même qui conduit aux Pokémon légendaires, Yveltal pour Y et Xerneas pour X.

Du côté des nouveautés on note aussi l'apparition des hordes de Pokémon et des combats en vol. Deux ajouts sympathiques bien qu'assez accessoires, qui dynamisent encore un peu plus le jeu et cette impression de fraîcheur. La fuite reste cependant l'option la plus rentable en terme de gain d'expérience face à une horde, car à moins de posséder une attaque globale (comme Surf ou Séisme par exemple), tuer une horde prendra un certain temps. De façon inverse, capturer un Pokémon sera beaucoup plus avantageux que dans les anciennes versions. En effet, le Pokémon au combat recevra de l'expérience même si le Pokémon en face est attrapé. Nouveauté assez intéressante pour les collectionneurs et pour ceux qui veulent compléter le Pokédex. D'ailleurs, ce dernier se divise désormais en 3 régions : on distingue ainsi une liste de Pokémon en provenance de Kalos Centre, d'autres présents dans la région de Kalos Côte, tandis que d'autres se trouvent dans les montagnes. Parmi ces Pokémon on trouve énormément d'anciennes créatures, qu'ils viennent de Kanto, Johto, Hoenn, Sinnoh, ou même Unys ; mais aussi les 69 nouveaux Pokémon de Kalos. Il est bien sûr possible d'obtenir un listing complet du Pokédex entier, le mode «national» sera activé bien plus tard dans le jeu, et permettra aux plus motivés d'entre nous de compléter la collection Pokémon, qui ne compte pas moins de 718 créatures.

Quoi de mieux qu'une plate-forme de stockage en ligne pour conserver tout ces Pokémon ? C'est effectivement le but de la PokéBank, qui arrivera en fin d'année. Rajoutez à ça le système de stockage classique interne au jeu, et vous pourrez capturer 5 fois chacun des 718 Pokémon. En attendant sa sortie, les joueurs se contenteront du traditionnel PC, qui suffit déjà amplement à compléter le Pokédex en bonne partie. Pokémon X et Y sont en effet les opus qui possèdent la meilleure connectivité jamais faite sur un jeu de la saga. La PokéBank en est le symbole, GameFreak et Nintendo se mettent au cloud, au tout connecté, et ils le prouvent d'une belle façon avec le PSS (Player Search System), qui est simplement le mode en ligne le plus abouti sur un jeu Pokémon.

Au menu : combats, échanges, échanges aléatoires et combats contre le monde entier, système d'échange affiné par recherche, synchro-jeu et connectivité PGL, nouveau système d'O-Aura et réglage du profil en ligne ; rien que ça. Grâce à ce petit bijou disponible sur l'écran tactile, il vous sera possible de jouer avec vos amis à n'importe quel moment (ou presque) sans avoir besoin de se rendre dans un centre Pokémon. Chaque fois qu'un ami se connectera, il y aura d'abord la LED de notification 3DS qui clignotera orange, et un message sera affiché en combat pour vous prévenir de sa connexion. Autrement, vous pouvez directement consulter l'information sur l'écran tactile lors des phases d'exploration, où vous sera affichée la liste de vos amis, mais aussi une liste de joueurs «passants», ainsi que des copains, joueurs avec qui vous avez déjà joué sans pour autant les avoir ajoutés à votre liste d'amis. Le tout est géré par SpotPass, activable en cliquant sur l'icône WiFi du PSS, ou bien simplement en StreetPass, en désactivant cette même connectivité. Chaque joueur possède son propre profil et il est possible d'ajouter un court descriptif à ce dernier, ou même d'envoyer des «Bravos» aux autres dresseurs, que l'on peut ajouter en favoris. Pour le reste, c'est assez similaire à Noir/Blanc 2, notons quand même le perfectionnement de la GTS, qui permet maintenant de rechercher un Pokémon pas encore vu ; et la présence du coin combats, qui gère non seulement les rencontres aléatoires, mais aussi les compétitions officielles, très probablement organisées dans le futur.

Pour terminer avec la connectivité, il est important de rappeler qu'un Poussifeu est en distribution jusqu'au 16 janvier 2014 via le cadeau mystère ; pensez donc à récupérer le vôtre.

Un autre point plutôt important dans ces versions est sans doute le retour aux sources comme le décrivent certains, et l'hommage permanent aux anciennes versions. Nous allons donc relever quelques références, easter eggs et clins d’œil aux anciens opus, très majoritairement à Rouge/Bleu/Jaune. Comment ne pas penser à la forêt de Jade en voyant celle de Neuvartault, identique en tout point. Les même objets aux mêmes endroits, la présence de Pikachu sauvages à une fréquence assez faible, et un chemin identique avec des arbres disposés de manière quelque peu.. similaire. Des Roucools sont présents dès le début du jeu, comme sur les versions GameBoy, et on remarque également un dresseur avec un Zigzaton niveau 5 au début du jeu, comme l'était le premier dresseur de Rubis/Saphir. Si vous n'êtes toujours pas convaincus, il n'y a qu'à voir les arènes Electrique et Fée. Elles sont directement inspirées respectivement des arènes Feu et Psy des versions originales. Quizz Pokémon et système de télé-porteurs, deux hommages assumés à la saga ; rajoutez à ça des musiques remixées de façon remarquable (nous y reviendrons un peu plus bas). Terminons par un dernier clin d’œil assez flagrant : le retour de la Pokéflûte et de Ronflex, bloquant la route comme à son habitude et empêchant la progression normale du jeu. La liste des références n'est pas exhaustive, mais ces exemples servent à appuyer le fait que X et Y sont des retours aux sources, et veulent ouvertement faire revenir les fans du passé, en profitant du passage à la 3D : il n'y a qu'à écouter le nouveau cri de Pikachu, seul cri modifié depuis l'existence du jeu, probablement pour en faire encore un peu plus l'emblème de la saga, et pour convaincre les nostalgiques. Abordons maintenant un autre retour aux sources, qui est probablement le point le plus essentiel dans un jeu Pokémon, je parle bien sûr de l'exploration.

On pourrait résumer cet aspect du jeu en un mot : diversité. Mais il serait dommage de s'arrêter à ça, d'autant plus que le jeu est vraiment très fourni sur ce plan. Commençons d'abord par une petite déception, dérisoire et somme toute assez logique : la 3D relief n'est pas effective durant les phases d'exploration, mais seulement lors des combats ou dans certains lieux plus fermés comme les grottes. Décevant mais à la fois logique, quand on voit la baisse de framerate (images par seconde) lors des combats quand la 3D est activée. Pour ce qui est du reste, on est proche de la perfection. De longues étendues vertes, des coins douillets à souhait, on se sent à l'aise dans cette région qui offre une carte d'une taille assez étonnante : si aux premiers abords on peut croire Kalos relativement petit, c'est tout le contraire. Vous serez surpris devant le nombre de routes qui, si elles sont plus ou moins courtes en ligne droite, révèlent en fait tout un paysage et des coins cachés en profondeur. Ce point est directement lié à la notion de diversité et de grandeur du jeu, cette notion même qui fait l'essence de Pokémon et particulièrement de ces deux opus. Voilà pourquoi pour bon nombre de joueurs il est impossible de terminer Pokémon. Cette chose ressentie sur Rubis et Saphir particulièrement, directement liée à l'ambiance sonore, et bel et bien présente sur X et Y. L'impression que Kalos nous réserve toujours une surprise, un endroit caché, que quoi qu'il advienne, on aura jamais tout découvert.

La recherche de Méga-Gemmes accentue ce sentiment, et évidemment la durée de vie post-game (après la fin du jeu, une fois la trame principale terminée) en est affectée. Si le challenge après la ligue est assez faible et peu fourni, dites vous que chaque pas et chaque étendue que vous sillonnez fait partie de Kalos. Les décors et les habitudes qui vont s'installer sur une sauvegarde de plus de 100 heures, c'est véritablement ça qui fait l'intérêt du jeu. Quelque soit le profil du joueur, que l'on soit stratège, chasseur de Pokémon chromatiques ou simple joueur lambda, Kalos constitue le jeu et chacun contemplera le même paysage. Encore un argument en faveur du retour à la source, puisque Rubis et Saphir étaient construits autour de Hoenn et de ses mystères. Les déplacements analogiques, le fait de pouvoir se déplacer dans toutes les directions possibles, parfois même sur des Pokémon, et évidemment le passage à la 3D offrent une identité assez unique à X et Y : celle de l'immensité et de l'Eldorado, la conquête d'un monde sans limites. Le tout n'est pas d'offrir une carte gigantesque, mais plutôt de servir des couleurs, une direction artistique de qualité et surtout de laisser place à l'imagination. Reste à savoir si les musiques sont en cohérence avec cette liberté et cette grandeur infinie.

La réponse est assez contrastée, disons le tout de suite. X et Y s'inspirant de la France, beaucoup de thèmes musicaux font référence à la renaissance et à un univers luxueux. Quelques clichés comme la présence de cafés à tous les coins de rue, ou certains sprites de dresseurs portant un béret et une baguette de pain, mais rien qui dénature l'esprit de la licence, et heureusement. Ces thèmes parviennent donc à faire référence à notre beau pays, tout en conservant ce qui constitue Pokémon. Comment ? Avec des mécaniques de jeu fortement conservées, mais aussi et surtout grâce à une diversité musicale. Lorsque l'on parcourt les routes de Kalos, si la cohérence musique/décors est difficile à cerner, certains thèmes parviennent quand même à convaincre assez facilement. La beauté du décor fait le reste. Tout est donc question de phases et de séquences de jeu, la cohérence est partielle et les fans de Rubis/Saphir seront tantôt heureux, tantôt un peu déçus. De façon contraire, ceux qui ne juraient que par Rouge/Bleu/Jaune seront ravis. La musique des arènes GameBoy est de retour, ainsi que celle des combats. On peut dire que sur le plan musical, X et Y font très majoritairement hommage à la France et aux anciens opus de la saga. Voilà pourquoi le lien décors/musique peut être difficile à cerner, et de la même façon l'identité du jeu en prend un coup.

Un retour aux sources à la sauce 3D, on pourrait résumer X et Y à ça. Cependant, ça serait omettre l'innovation dans l'innovation, c'est-à-dire la diversité des décors 3D, et la beauté de Kalos. Pour le reste, tout est là : des musiques de qualité, un mode en ligne enfin à la hauteur, un passage à la 3D plus que réussi, et un post-game peut-être pauvre en apparence, mais avec les activités chères à Pokémon : chasse aux chromatiques, combats en ligne stratégiques, le tout bercé par une région de Kalos splendide. Toutes ces choses qui assurent une durée de vie infinie. Alors, Pokémaniac ou pas, foncez !
roms2332
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le 19 janv. 2014

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