On a failli oublier mais avant on appeler les FPS des Doom-Like ou encore Quake-Like et entre les jeux de l’époque qui portait ce qualificatif et la plupart des FPS actuel et même si j’aime beaucoup certain tire, force est de constater qu’il y a eu des pertes sur certain point.
Arrive alors, un peu a la surprise générale, Shadow Warrior remake d’un jeu 3D Realms, et si Duke Nukem 3D s’était ramassé en tentant de prendre des éléments modernes alllant parfois contre l’essence du jeu d’origine (QTE, limitation…), Sahdow Warrior lui va simplement reprendre des éléments du passé pour se mettre en valeur. Des éléments, comme je l’ai dit, oublié mais qui pourtant faisait tout le sel à l’époque.
Comme à l’ancienne il s’agira surtout de faire face à des monstres et si au début juste une poigné vous fera face, assez vite c’est des groupes qui vous attaqueront, obligeant à rester toujours en mouvement tout en canardant et en évitant les tirs et attaque. Pas de recover system ici, il faudra compter sur le mai et surtout les trousses de soin pour récupérer. Bref on est sans cesse en mouvement que ce soit pour attaquer ou se soigner, un feeling qui se faisait rare ces dernier temps.
Pour affronter ces nué de monstres, le jeu laisse a la poubelle le système de 2 armes et retourne au bon vieux principe que le héros porte tout un arsenal de guerre avec lui. Un arsenal classique mais varié et qui offre de bonne sensation.
Le jeu a une histoire, mais est surtout un prétexte pour aller d’un lieu A à un lieu B. Mais contrairement à ce que laisse présager cette phrase, le jeu n’est pas qu’un défilement de couloir à suivre. Comme dans les Doom-Like d’antan, le jeu regorge de passage secret et de petit truc ici et là, incitant le joueur à fouiller les niveaux à la recherche de porte dérobé ou de mur a détruire. Au passage, même si le scénario n’est pas des plus palpitants, le jeu offre son lot d’humour.
Le jeu repose sur un feeling à l’ancienne, mais n’oublie pas pour autant quelques concepts actuels. Il est ainsi possible d’améliorer ses armes contre de l’argent trouvé lors des niveaux. Il est également possible d’acquérir de nouvelles capacités grâce au karma que l’ont peu gagné de deux façon, en trouvant des coupe de sang ou en éliminant les ennemis, sachant que la fin de chaque affrontement donne lieu à une notation augmentant encore le karma et donc rajoutant un coté Scoring. Parlant de score, notons à la fin de chaque niveau un tableau qui récapitule les secrets trouvés, monstre zigouillé etc… Bref entre les secret, les capacités à débloquer, le scoring autant dire que le jeu incite a y retourner via son new game +, ne serait-ce que pour voir si on s’est amélioré.
Coté défaut, il convient de souligné que le jeu aura un peu trop rapidement dévoilé son bestiaire et que le design de l’ensemble manque un peu de folie. Certain passage se montre exagérément corsé (l’affrontement contre les deux démons de glace dans un lieu restreint a été un cauchemar pour ma part). Et le jeu est uniquement solo, aucun multijoueur présent. Mais ces défaut on a vite tendance à les oublié lorsqu’on se met à affronter les ennemis.
Mine de rien, en piochant dans un feeling à l’ancienne, Shadow Warriors offre une bouffé d’air frais et confirme le dicton ‘’c’est dans les vieux pots qu’on fait les meilleure soupe’’.