Par certains aspects Shelter rappelle beaucoup Proteus : un environnement graphique et sonore minimaliste, une ambiance qui fait la part belle à la nature et au passage des saisons. Sauf que là où Proteus propose une balade poétique et intrigante Shelter nous demande d'incarner une maman blaireau et de préserver sa progéniture des dangers qui la guettent. L'idée est là, on devine le propos des développeurs, mais le gameplay frustre (et parfois assez incompréhensible de prime abord) lasse dès la première partie alors même que le jeu est quand même particulièrement court. Une expérience intéressante mais sur laquelle il est peu probable que l'on revienne passé la découverte initiale.
Créée
le 20 août 2015
Critique lue 234 fois
D'autres avis sur Shelter
Un regard à gauche, un regard à droite. Petit sursaut de frayeur. 1, 2, 3 … 4. C’est bon, ils sont tous là. On peut avancer. Doucement, quand même. J’aimerais aller plus vite -j’aimerais courir, en...
le 2 mars 2014
5 j'aime
(Critique parue sur : http://theindiecave.wordpress.com/2013/10/10/shelter/) Dans Shelter, vous incarnez une maman blaireau devant trouver un nouveau terrier pour ses petits blaireautins. Pour cela,...
Par
le 10 oct. 2013
5 j'aime
6
Shelter ou le simulateur de vie de blaireau. Dis comme ça, ça n'est pas très ragoûtant. Au vu de la bande annonce non plus, d'ailleurs. Le parti pris graphique a arraché plus d'une rétine, mais bon,...
Par
le 11 sept. 2017
2 j'aime
Du même critique
Bethesda a atteint un tel niveau de médiocrité avec ce Fallout 4 que même le ressort habituel de l'exploration d'un vaste monde pour y découvrir les quelques pépites qui s'y cachent - lieux...
Par
le 16 nov. 2015
16 j'aime
3
Je ne vais pas beaucoup m'étendre sur sur ce deuxième opus et pour l'essentiel je renvoie à ma critique d'Innocence :...
Par
le 24 oct. 2022
15 j'aime
Sous la direction artistique le néant... ou presque. Dordogne est symptomatique d'un mal qui ronge le jeu vidéo français depuis (presque) toujours et indé depuis pas mal d'années : le truc narratif...
Par
le 16 juin 2023
12 j'aime
5
