A l'époque ma critique sur Morrowind n'étais pas très aboutit, je vais donc la réécrire.
C'est un jeu qui ma profondément marquer quand j'étais tout gamin, j'y est rejouer cette année, donc j'ai les idées un peu plus clair qu'a l'époque. Le jeu est brillant mais porte aussi sont lot de problèmes.
l'histoire commence alors que Azura en personne vous parle, iel vous explique que vous devez accomplir de grande chose. Se réveillant d'un long sommeil qui aurais pu durer une éternité, ont vous transporte en bateau dans un petit village portuaire pour refaire vos papier que vous avez perdu. Un garde vous accueil chaleureusement en demandant de décliner votre identité. Le jeu vous plonge dans une administration sans fins affin de vous compreniez votre condition de prisonnier bientôt libérer, mais aussi habillement vous masquer un tuto, et c'est la ou réside la magie de Morrowind, le level design.
Tout est fait pour que vous exploriez Morrowind entièrement, les combats ne sont qu'un prétexte a l'exploration, il sont basique, et pas très réussi en plus d'être hasardeux, certain dirons défauts quand moi j'y vois un choix. Vous allez souvent vous perdre a cause du manque d'indications du jeu, mais la encore c'est un choix, les quettes se font par le biais d'un petit carnet ou est retranscrit vos conversassions de la journée, et seul vos déductions vous amènerons a trouver les chemins de vôtre destin. Et quand je parle de vôtre destin, je parle de tout les joueurs. Après tout le neverarine arbore les masques de tout les chemins possible. Du joueur abandonnant lâchement sa quette en passant par celui qui fini le jeu nue, vous este tous l'élu, a la fois observateur, roi, et voleur, vous changer selon votre volonté, et le jeu n'est qu'un support a la façon dont vous allez vous exprimer, car oui se jeu est aussi un bac a sable, et j'aime ne pas être guider par ma façon de me comporter.
Combien de fois il m'est arriver de m'arrêté un instant pour observer les paysages magnifique bien que polygonale de morrowind pour apprécier le placement ingénieux des éléments qui vont jusqu’à vous faire comprendre des indices de lore sur les personnages. L'écriture est serte très soignée mais ne parler que de cet aspect ne ferrais qu'effleurer en quoi morrowind fait tout jusqu'aux bout.
(j'ai aussi souvent piquer du mobilier pour me faire mes propres bases et maisons secrète que j'avais moi même noter sur un bout de papier, c'est se qu'ont appel du gameplay émergeant)
L'écriture parlons en, toute les phrases sont superbement retranscrite, et vous devrez lire entre les lignes pour bien les comprendre. Entre le racisme, la xénophobie, l'esclavage, les fléaux, se jeu regorge de sujet sérieux inspirer de fait sociétale bien réel manier habillement pour vous y plonger pleinement et écrire des personnages gris dans leurs choix moraux. Vous ne pourrais jamais savoir qui a réellement tors ou raison, mais vous devrez tout de même faire des choix drastique.
Les musiques sont l'une des premiére a avoir été composer par un orchestre symphonique, et pour l'époque c'étais un exploit, a l'heure actuelle elles sont toujours aussi bonne malgré qu'elle soit malheureusement peu nombreuse, mais suffisamment bonne pour ne pas nous lasser après 40h de jeu.
Le jeu est vieux, bugger, imparfait, le système de combat est discutable, mais c'est un jeu qui mérite une attention particulière. Il mérite qu'ont s'y attarde car il regorge encore a leurs actuel d'idée ingénieuse qui as fait son sucés et sa renommer. J'ai ue énormément de mal a finir Morrowind vue le temps que j'ai passer a faire n'importe quoi, mais l'expérience été aussi plaisante voir plus qu'a l'époque, car je suis enfin arriver aux bout de se jeu, j'ai enfin accomplit la prophétie, et j'en ai même pleurer.
Peu être que vous ne serrais pas de mon avis, et se n'est pas grave. Mais si vôtre avis apporte des idées intéressante je serrais ravis de vous lire. J’espère que ma critique vous aura plus, bye.