Est-ce que tu... Est-ce que tu te souviens de moi ?



Après un sommeil d'un siècle, Link est réveillé par une voix l'implorant de le sauver. Il découvrira très vite que l'ancien Royaume d'Hyrule a été dévasté et qu'il doit désormais le sauver ainsi que la princesse Zelda des griffes de Ganon le Fléau !



4 ans déjà, et un jeu resté dans les mémoires



Annoncé en 2014 et devant sortir uniquement sur Wii U, The Legend of Zelda : Breath of The Wild se verra aussi bien sortir sur ladite console mais aussi sur la nouvelle console hybride de Nintendo, à savoir la Nintendo Switch, qui fera partie des premiers (et seuls) gros jeux disponibles au lancement de la console.


The Legend of Zelda : Breath of The Wild est un jeu qui s'est fait longuement désirer. Pourtant lors des premières images dévoilées où l'on voyait Link dans une gigantesque plaine, personne ne pouvait se douter de l'ampleur du jeu qui allait arriver. Cinq ans plus tard, le jeu demeure toujours un incontournable des ventes et de la renommée de la console de Nintendo, si bien qu'une suite (actuellement en développement) fut annoncée en 2019 et qu'un spin-off intitulé Hyrule Warriors : L'ère du Fléau (Zelda Musô Yakusai no Mokushiroku) se déroulant des années avant les événements de Breath of The Wild sort en 2020.


Mais malgré la renommée du titre et les éloges quasi unanimes des journalistes, le jeu Zelda : Breath of The Wild est un jeu particulier car bien que j'en reconnaisse les nombreuses qualités, il m'a fallu deux essais pour m'immerger pleinement dans l'aventure.
Ma première tentative n'aura duré que quelques heures avant que le titre ne me tombe totalement des mains. Pourtant il m'attirait mais à part vagabonder dans les paysages et plaines d'Hyrule, je me sentais perdu, ignorant quoi faire, me laissant donc le titre sur un coin d'une étagère en décidant d'y rejouer plus tard. C'est en lisant de nombreux avis que j'ai compris que pour donner une chance à ce jeu, il faut abandonner ses principes liés aux jeux vidéo d'aujourd'hui (à savoir avoir des open worlds balisés de multiples points d'intérêts) et rester curieux et avoir le sens de l'exploration.


C'est ainsi qu'après avoir compris ça et après ma première partie ratée, j'ai décidé de relancer une partie, donnant une seconde chance à ce jeu. Et là, force est de constater qu'il m'a séduit. Une fois le gameplay assimilé, difficilement certes et sur lequel je reviendrai, je suis peu à peu tombé sous le charme de ce Zelda qui cassait de nombreux codes.


Bien sûr, il a pour moi de nombreux défauts que j'énumérerai plus loin mais également de nombreuses qualités, si bien qu'une fois le jeu terminé et le démarrage du défilement des crédits de fin, je n'ai pas pu m'empêcher de me dire : << Quel jeu ! >>



La liberté nous tend les bras



La licence The Legend of Zelda est une série qui restait souvent dans son cocon, mais force est de constater qu'avec ce jeu elle a brisée de nombreux codes.


Le premier et pas des moindres est bien sûr son open world gigantesque. Un open world qu'on pourrait croire à première vue vide... et c’est le cas. Au final il y a peu de villages, la faute à un monde en désolation suite à la victoire de Ganon. Mais il est malgré tout vivant : que ce soit les monstres, la faune ou les survivants, il y a toujours quelque chose à voir. Le problème des open worlds est leur narration qui est souvent décousue, ici Nintendo a réussi à éviter ça en proposant le système des Souvenirs. En incarnant un Link amnésique, il aura, lors d'une modification de la tablette Sheikah, la possibilité de trouver 12 lieux qui lui rappelleront un moment passé avec la Princesse Zelda. Des lieux qu'il faudra donc dénicher afin de pouvoir reconstituer la trame et le contexte général qui a plongé le monde d'Hyrule dans un tel état. Une trame cependant très classique et moins percutante que ce que pouvait faire croire les trailers étant donné que les cinématiques sont assez peu nombreuses au final, même si vous en aurez davantage si vous vous focalisez sur la quête des 4 Créatures Divines.


Car oui et c'est ça le plus grand point fort du jeu, aucune quête n'est obligatoire. En effet une fois que vous aurez terminé le tutoriel et que Link quittera la zone du Plateau du Prélude, seule une quête restera affichée, à savoir "Abattre Ganon". En dehors de ça, on est libre de faire ce que l'on veut : pêcher, chasser, escalader des montagnes, chercher des minerais précieux, tout cela est possible et bien plus encore. En dehors de cette quête qui sera donc l'unique objectif du jeu et qu'on peut donc faire directement, les autres missions, qui sont soit annexes, soit essentielles à l'histoire, demeureront toutes facultatives. Libre à vous d'aller dans la zone finale au bout d'une heure de jeu ou au contraire passer plus d'une centaine d'heures à vous préparer un véritable set de chevalier ou à vous procurer les meilleures armes possibles, tout cela dans le but de vous rendre dans la dernière zone du jeu.


Il est donc possible de se focaliser sur la quête des Créatures Divines qui consiste à sauver des villages de Machines Antiques désormais contrôlées par Ganon, ou partir à la chasse aux Korogu. Aucune quête ne se veut obligatoire, le jeu nous laisse libre de nos choix et en ça le titre est rafraîchissant. Là où encore aujourd'hui on nous bassine de multiples points d'intérêts sur une carte, Breath of The Wild ne proposera rien de tout ça. Bien qu'il s'inspirera de la saga Assassin's Creed pour ses Tours de passages qui permettent de relever la cartographie de la région, votre carte restera vierge et ce sera à vous de noter les points d'intérêts qui peuvent potentiellement vous intéresser où seuls les Sanctuaires seront annotés.
Une liberté si vaste qui pourra donc faire paniquer, voire rebuter ceux qui sont peu curieux car le monde d'Hyrule invite à sa découverte, montrant via son environnement les dommages qu'a causé Ganon tout comme les témoignages de survivants que vous rencontrerez dans les Relais, ou les villages des quatre Tributs qui ici pourront vous prêter main forte. On retrouvera les Zora et les Goron, mais aussi les Piaf et les Gerudo (Link devra d'ailleurs s'apprêter en conséquence afin d'entrer dans cette dernière cité exclusivement réservée aux femmes !).


Enfin, bien que ce monde soit vaste et rempli de liberté, il n'en est pas exempt de dangers pour autant, qu'ils viennent des ennemis (sur lesquels nous reviendrons) ou bien encore des conditions naturelles (auxquelles Link devra s'adapter pour ne pas finir terrassé par Dame Nature qui saura elle aussi vous mettre des bâtons dans les roues). Heureusement Link disposera d'un inventaire et de tenues qui lui confèreront de nombreuses capacités, par exemple la tenue d'Escalade qui vous octroiera un bonus d'endurance lors des séquences d'escalade, ou la tenue de Pierre qui vous permettra de résister aux chaleurs les plus intenses, pratique pour une randonnée dans les Montagnes Goron.


Ainsi vous l'avez compris, le jeu vous offre une liberté totale. À vous de tracer vos itinéraires et d'établir votre propre aventure, et cela se traduira également dans la résolution de ses énigmes.


Personnellement c’est ça qui m'a impressionné dans le jeu, c'est cette manière de prouver que tout est possible. Je l'ai notamment vu dans les sanctuaires (des donjons où on peut recevoir des Emblèmes qui à terme peuvent donner des cœurs ou réceptacles d'endurance) où certains vidéastes facilitaient le passage de certaines énigmes en faisant des trucs totalement improbables mais qui fonctionnaient, comme le fait d'utiliser des épées pour faire passer du courant électrique par exemple. Où même pour se déplacer dans le jeu où certains utilisent le Cinetis sur un objet comme un tronc et y grimpent pour se propulser à des centaines de mètres de l'endroit où ils se trouvaient. Encore aujourd'hui, certaines astuces peuvent être découvertes et en ça, le jeu est une véritable prouesse.



Un gameplay multifonction mais difficile à appréhender



Néanmoins même si je fais les éloges du jeu, il faut reconnaître qu'il a des défauts et qui pour moi m'ont vraiment freiné, notamment dans ma première partie. Le premier défaut et qui à mon sens n'est pas des moindres étant la destruction des armes. Je comprends la raison, le fait qu'on se renforce à chaque fois dans le jeu et qu'on trouve des armes à tout va, c'est une raison logique de les faire se détruire et ça encouragera le joueur à utiliser différentes armes, même les plus improbables comme un râteau de jardinage, mais malgré tout je trouve ça vraiment pénible quand parfois on tombe sur une super arme et qu'elle se casse en quelques coups, nous faisant nous retrouver avec des armes moins puissantes.


Un autre défaut est ce qui compose les donjons dans ce Zelda. Pour ma part, si j'apprécie Zelda c'est pour les donjons. J'adore cette idée d'explorer des temples en affrontant des monstres tout en récoltant un gadget qui me permettra de les explorer davantage, c'est un concept simple mais que personnellement j'apprécie énormément. Ici, les donjons dits "principaux" sont au nombre de 5 et reposent plus sur des mécanismes à activer. Je ne parlerai pas des ennemis qui y sont quasiment absents à part un boss changeant de forme mais dans l'ensemble très facile (logique me direz-vous puisque le jeu n'ayant aucun ordre prédéfini, il ne peut y avoir un boss plus difficile qu'un autre dans les donjons). Malgré tout, pour palier à ce manque, il existera les Sanctuaires. Des donjons dans lesquels vous serez confronté à des épreuves qui détermineront votre force ou parfois votre logique et où vous pourrez remporter des Emblèmes du triomphe, des objets souvent essentiels puisqu'ils vous permettront d'obtenir des réceptacles de cœurs et des boost d'endurances auprès des statues de la déesses qui sont réparties dans tout Hyrule.


Ainsi on pourra regretter les donjons qui tranchent radicalement avec ceux auxquels la saga nous avait habitué jusqu'à présent car bien que les Sanctuaires puissent être considérés comme des donjons, l'atmosphère assez unique de ces derniers se voit ici amoindrie.


En ce qui concerne le gameplay, je vais le dire honnêtement, je l'ai trouvé très difficile à appréhender. La faute à des combinaisons de touches qu'il faut apprendre à maîtriser sur le bout des doigts (par exemple pour sélectionner mes flèches, je dois garder la touche pour sélectionner mon arc enfoncé néanmoins je dois le relâcher si je veux choisir mon épée…). Bref le jeu est assez délicat au niveau de la prise en main.


Enfin citons les ennemis qui, même s'ils demeurent au final assez impressionnants, se voient vite limités. On pourra citer l'idée maligne de montrer leur intelligence et dangerosité via un système de couleurs (par exemple, le Bokolin, une créature commune est de couleur rouge, mais sa version argent est la plus dangereuse) mais dans l'ensemble le jeu est assez limité car bien que de nombreuses créatures rôdent comme le Lynel, le Hinox ou le Lithorok, elles demeurent au final assez rares et on nous ressert souvent les mêmes bestiaux, bien que l'on pourra citer les Gardiens qui pour le coup seront de véritables plaies et vous demanderont de la ruse et de nombreuses stratégies pour les vaincre.



Une patte graphique bucolique et reposante



Pour ce titre, nous avons affaire à une patte graphique assez jolie dans l'ensemble. Le jeu regorge de paysages tous plus sublimes les uns que les autres, que ce soit le village aérien de la tribu des Piaf ou la cité rocailleuse ancrée au cœur d'un volcan pour les Goron. L'œuvre est une pure ode au voyage avec des décors dans l'ensemble variés et qui parfois sauront récompenser les plus explorateurs via les rencontres avec les fées dont le chara design dénotera assez avec le reste du jeu. On pourra regretter cependant une technique assez limitée qui bien qu'elle parvienne à faire tourner le jeu correctement, souffre souvent d'aliasing et de certaines baisses de framerate, en particulier lorsqu'on joue en portable. Les cinématiques, même si peu nombreuses, sont quant à elle superbes avec pour la première fois la présence d'un doublage laissant donc Adeline CHETAIL interpréter une Zelda dont l'ombre ne cessera de planer durant tout le long du jeu. On notera aussi la performance de Hervé GRULL pour Rivali, le Prodige du peuple Piaf, ou de Donald REIGNOUX pour Yunobo, un jeune Goron. Une VF dans l'ensemble de très bonne qualité.


Au niveau de l'OST, nous avons affaire à une bande son très discrète n'intervenant que dans de rares moments, jamais dans l’excès, et loin des tambours et chœurs d'orchestre des grosses productions. La composition dont le travail revient à IWATA Yasukaki, KATAOKA Manaka et WAKAI Hajime est plus à base d'instruments légers invitant ainsi le joueur à la contemplation du monde du jeu. Bien que certains morceaux soient plus dynamiques, l'ensemble se veut effacé pour favoriser l'immersion du joueur dans son univers. Et cela se ressentira durant notre périple où les ambiances changeront drastiquement, allant du thème très asiatique du village de Cocorico au thème très oriental de la cité Gerudo, en passant par le morceau plus paisible du village d'Elimith.



Des noix, des noix et encore des noix !



Une quête bien sûr a beaucoup fait parler d’elle, c’est celle des Korogu, ces petites créatures des bois qu'il faudra trouver afin d'accomplir des défis (poser une pierre, tirer à l’arc) et qui vous offriront donc une noix en échange pouvant renforcer notre inventaire. Étant au nombre de 900, la tâche est peu aisée étant donné que les Korogu sont invisibles et que rien ne pourra indiquer leur présence (sauf si vous posséder le masque spécial disponible dans le pack DLC).


Mais au contraire de Super Mario Odyssey où j'avais fait la remarque que trop de lunes tue le fun du jeu, ici c'est différent. Car contrairement à Mario, collecter de nombreuses noix de Korogu ne fera pas avancer l'intrigue. Alors certes il est plus que conseillé d'en ramasser afin de renforcer nos différentes sacoches d'inventaires afin de pouvoir transporter plus d'armes, mais jamais le jeu ne mettra un gros panneau "STOP, tu n'as pas assez de noix pour continuer l'aventure". Comme le reste, cette quête passera pour une quête secondaire et non une principale, la preuve étant que le jeu peut se terminer même avec un inventaire "léger".


Aussi, même si j'en ai peu parlé, vous rencontrerez beaucoup de personnages dans le jeu qui en échange d'un service vous donneront des indices, que ce soit pour une chasse au trésor, des lieux où il est susceptible d'y trouver un animal mythique ou bien parfois des recettes de cuisine qui vous conféreront des bonus non négligeables, les quêtes données étant dans l'ensemble assez simples. On pourra notamment retenir celles de Asarim, un poète qui vous livrera des énigmes qu'il faudra souvent résoudre afin de dénicher des sanctuaires.


Ainsi au delà de votre aventure, il sera parfois essentiel de faire une pause dans un Relais ou un village où vous pourrez trouver des marchands qui en échange de votre bourse de joyaux saura vous satisfaire en vous proposant des armes ou des nouvelles tenues qui pourront vous offrir de nouvelles capacités si vous les renforcez auprès des fées. Des fées qui elles aussi vous demanderont des ressources mais dont chaque rencontre se révélera mémorable.


Enfin il vous sera possible de cuisiner votre tambouille, ou encore de collectionner des recettes pour créer des plats ou des remèdes qui parviendront à vous donner certains bonus comme une résistance au froid.


Au final, ce Zelda ne manque pas d'idées. En brisant son concept et en valorisant l'exploration, il franchit un nouveau cap qui ne peut qu'impressionner. En laissant les joueurs décider quoi faire, en les laissant créer leur propre aventure et en les laissant explorer par eux-mêmes le Royaume d’Hyrule, il parvient à coller une claque aux éditeurs qui de nos jours s'évertuent à vouloir garder les joueurs sur leur jeu en collant simplement des dizaines de collectables et points d’intérêts sur une map gigantesque. Ici il n'y aura donc rien de tout ça, l'interface bien qu'envahissante sur la fin, demeure sur la carte relativement sobre puisqu'en dehors des Sanctuaires et des villages, ce sera à vous d'annoter et de cartographier vos points d'intérêts.


Enfin le jeu parviendra lors de plusieurs séquences à transmettre de belles émotions. Comment ne pas s'émouvoir lorsque vous oserez braver l'extérieur une fois la nuit tombée et ferez votre première rencontre avec un dragon survolant les cieux accompagné de ce thème ? Comment ne pas sourire devant l'hommage fait à IWATA Satoru ? Comment ne pas avoir un sourire accompli lorsque vous parviendrez à retirer l'épée de légende dissimulée quelque part dans le monde d'Hyrule ?



Le jeu exemple pour les futures productions ?



En ce qui me concerne, j'ai réussi à aimer ce Zelda. Peut être pas à l'adorer mais j'ai aimé l’explorer, marquer des endroits sur ma carte et parfois tomber sur des villages ou des Sanctuaires alors que je ne m'y attendais pas. J'ai aimé me faire mes propres objectifs et me dire : << Allez, aujourd'hui je vais explorer ces trois lieux que j'ai annoté avant de rentrer ramener du bois afin d’acheter la maison. >> (car oui, il est possible d'acquérir une maison dans le jeu), En bref, me la jouer RP ! J'ai énormément aimé ce Zelda qui au-delà du jeu culte érigé par les critiques parvient à proposer une ambiance au final unique.


Cependant, malgré tout le bien que j'en pense, je ne le conseillerai pas à tout le monde. Sans doute que l'on reparlera de ce jeu pendant des années au vu de l'engouement général qu'il y eu à son sujet, mais pour ma part je pense que c'est un jeu pour lequel il faut prendre son temps.


Ce jeu demande à ce qu’on s'y investisse, que l'on prenne le temps nécessaire pour explorer à son aise. Je dirai donc que c'est un jeu d'été, un jeu de grandes vacances, auquel on peut jouer lorsqu'on n’a rien d'autre à faire car ce n'est pas le jeu qui se bouclera en deux heures, bien qu'en soi, cela reste relativement faisable. C’est un jeu apaisant qui pour moi a été une source d'évasion et qui au final, même si ça a été difficile au début, a été un véritable plaisir sur sa fin !


Pour conclure, The Legend of Zelda : Breath of the Wild est un jeu culte duquel on parlera encore pendant encore de nombreuses années, bien qu'il ne soit pas exempt de défaut, bien au contraire ! Une direction artistique à laquelle on ne peut rien reprocher malgré une technique en demi-teinte, un monde gigantesque, et enfin une aventure propre à chacun, voilà ce qu'est ce Zelda : Breath of the Wild. C'est votre propre aventure, une aventure que je conseille aux plus explorateurs et qui restera longtemps dans les mémoires !

DuotakunoSora
9
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le 18 juil. 2021

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Duotaku_no_Sora

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