Voici un jeu unique en son genre et qui vous fera prendre des décisions et des chemins dont vous ne vous imaginez même pas. The Stanley Parable est une fiction narrative crée tout d’abord en 2011 par Davey Wreden comme un mod « Source », remanié par la suite avec le concepteur William Pugh, une nouvelle version est sorti en Octobre 2013. The Stanley Parable est avant tout un test psychologique, qui examine votre libre arbitre, votre obeissance et votre esprit, il vous amène à vous poser la question du « Et si je.. ? / What if ? ». The Stanley Parable est donc un jeu vidéo qui joue avec nous et il vaut la peine d’être jouer. C’est une merveille d’ingéniosité et d’humour !
EMPLOYE 427, BONJOUR !
map_death0000Le jeu est présenté au joueur à la première personne. Le joueur peut se déplacer et effectuer des interactions avec certains éléments de l’environnement, comme appuyer sur des boutons ou ouvrir des portes, mais il a aucun autre contrôle sur le jeu. Vous allez me dire c’est tout ? Non ce n’est pas tout, un narrateur important (Kevan Brighting) vient s’imbriquer dans le jeu afin de « dicter » vos choix ou tout simplement vous embrouillez. Nous sommes donc immergé dans le monde sombre et prosaïque de la bureaucratie moderne. Le narrateur explique que le protagoniste Stanley, employé 427, travaille dans un immeuble rempli de bureaux comme partout ailleurs. Il est chargé de surveiller les données qui arrivent sur un écran d’ordinateur et appuyez sur les touches qui lui sont indiqué. Un jour l’écran laisse place curseur clignotant sans aucune indication et tout commence vraiment pour Stanley, ne sachant pas quoi faire, il commence à explorer le bâtiment et le trouve complètement vide. C’est donc à ce stade que nous joueurs nous intervenons dans l’histoire, elle va se séparer en de multiples possibilités selon les choix que l’on portera au fur et à mesure. Le narrateur sera tout le temps là et vous laissera parfois quelques minutes pour resurgir afin de faire face à vous même, cela vous donnera presque l’impression d’être face à une véritable personne. Il est également marrant de voir sa réaction à certains moments, il en devient même à être exaspéré qu’il commence à vous insulter ou bloquer certains passages. Parfois même il s’amuse avec vous ou vous ressort certains moments de votre ancienne vie ou des objets sorti de nulle part.
« When Stanley came to a set of two open doors, » the narrator says, « he entered the door on his left. »
Vous l’aurez compris une grande partie incite à la réflexion sur la nature de nos décisions mais si vous êtes un joueur aguerri vous saurez sûrement quoi faire, ou peut être pas… Il faut savoir que chaque voie empruntée a été minutieusement conçue à l’avance, ce qui peut rendre fou quelques fois. Mais il ne faut pas longtemps pour arriver à l’une des nombreuses terminaisons de The Stanley Parable, mais c’est excitant de jouer encore et encore. Quand au récit du jeu et les préoccupations thématiques, ils restent les mêmes, mais la façon dont vous jouerez changera les rouages de l’histoire et vous mènera vers l’une des fins alternatives élaboré. Préparez-vous à découvrir une fin heureuse, à rester bloqué dans une boucle infinie, ou même à mourir atrocement… Mais cela reste à vous de voir… sachez que le seul maître du jeu est le narrateur et vous n’êtes qu’un pion dans cette histoire. C’est rassurant, non ?