Fini en quelques heures effectivement : une réelle ambiance, née d'une histoire bien ficelée...
On sursaute, avec de vrais moment de frayeurs et de malaise : dessin et surtout travail sur le son (casque obligatoire : c'est vraiment flippant) font vraiment de l'effet.
Au final, on a l'impression d'arpenter un labyrinthe (seul bémol : on y marche un peu lentement) à la recherche d'une vérité que l'on aurait pourtant pu voir depuis le début. Soit l'histoire du jeu...
Et, messieurs les polémistes, je vous invite à y rejouer : comment peut-on honnêtement penser qu'une oeuvre faisant une telle place au malaise, et au malheur, fasse l'apologie de la pédophilie ?
Je dirai même que c'est tout l'inverse.