Tropico 4 nous propose de gérer une république bananière sous la conduite d'un dictateur au moment de la guerre froide. Le pitch est sympa, je l'ai pris, pensant être dans le cible.
La déception n'en fut que plus amère. L'humour décalé bien présent m'a arraché péniblement quelques rictus nerveux. Le jeu est particulièrement laid avec ses couleurs délavés et ses bâtiments sans âme. Tropico 2 : La Baie des pirates était infiniment plus élégant avec son pixel art sous contrôle, c'est dire ! Les parties s'étirent en longueur. J'ai l'impression d'avoir passé mon temps à accélérer le temps, en me demandant pourquoi je m'échinais à continuer.
Il n'y a pas eu de miracle.