On prend les mêmes et on recommence. Pour la quatrième fois, la série Tropico recycle son gameplay et y saupoudre quelques légères nouveautés pas toujours franchement transcendante. On oublie le ministère, un peu gadget, mais on salue l'arrivée des tâches, ces petites missions confiées par les représentants des huit factions (intellos, capitalistes, communistes, écolos et j'en passe) ou par les dignitaires étrangers. Cela permet de donner une direction au jeu, et surtout rend l'île bien plus vivante. Alors oui, c'est encore la même chose, mais il faut dire que la gestion micro et macroéconomique de Tropico 4 est tout de même très bien conçue, puisqu'elle nous l'opportunité de tout gérer, des salaires aux loyers en passant par les décrets. De la gestion efficace, pas forcément originale, mais qui remplit son office.
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