2012

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Cela ne rend pas du tout hommage à l'oeuvre de Jules Verne, c'est même bien lourd parfois mais ce genre de productions, cela respecte juste le faible cahier des charges de Disney avec son lot d'aventures, d'humour et de mystères totalement enfantin.

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Un sujet crû, proche d'Intouchables certes, mais dans le fond que je trouve un peu plus pertinent quand même. C'est vite attachant, peut-être pas toujours indispensable à verser dans la nudité mais John Hawkes livre une prestation hors du commun.

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L'Homme face à la nature, la base du film ne nous entraîne pas des masses mais très vite ça se lâche. Entre une atmosphère pas rassurante et des plans qui n'en montrent pas trop, le traitement est à saluer car il y a un réel point de vue humain. Un film très rude.

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Une approche relativement inventive du film de "super-héros" avec des bonnes idées (la caméra qui lévite) mais le concept du found footage est très mal justifié, à tel point que le réalisateur s'y retrouve lui-même piégé. Et le personnage principal est vraiment barbant.

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A défaut d'être un vrai film, Les infidèles assume pleinement un découpage en sketchs qui permet de varier les approches de son sujet. En clair, j'ai trouvé ça extrêmement intéressant, parfois drôle, parfois dur mais pas toujours bien équilibré.

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A travers John Carter, cela se voit que Andrew Stanton s'est vraiment soucié de raconter une histoire. Il y a des choses ça et là qui rendent cet univers assez plaisant à découvrir, des effets spéciaux à la hauteur mais ça manque de souffle. L'héroïne est très bien cela dit.

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Un univers très accessible mais surtout très intéressant dans le fond et la forme. C'est visuellement bien foutu et ça soulève des thématiques pas négligeables. La deuxième partie manque de répondant et fait un peu trop durer. Cette saga démarrait sur les chapeaux de roue.

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Doté d'un sens du montage quasi inné (les combats sont précis et toujours capté par la caméra à chaque mouvement), The raid est un défouloir d'action, mais c'est vraiment trop gros parfois et au bout d'un moment, je n'en pouvais plus des combats.

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Un quasi-remake du premier car c'est dingue le nombre de similitudes que j'ai noté. Mais faut pas se leurrer car c'est un gros tas de clichés, néanmoins Liebesman assume vouloir faire de l'action à tout prix et en ressort entre autre un plan-séquence pas dégueu au début.

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Chabat laisse vraiment transparaître son amour pour la BD, bien que le film ait un rythme très en zig-zag, il y a des moments d'humour assez extra comme la danse de Lambert Wilson. Le Marsupilami est aussi une petite prouesse. Une comédie honnête.

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Le cinéma français dans toute sa naïveté, ça diverge entre les personnages casse-couilles et ceux qui font sourire. Le concept est pas mal du tout mais clairement un prétexte à servir cette comédie romantique comme de la soupe quotidienne.

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Un film totalement décomplexé, stupide avouons-le mais on s'en fout en fait. Guy Pearce en mode "je m'en fous et je casse les gens" c'est distrayant, bon il y a des scènes qui sont du vomi visuel mais Maggie Grace en impose vraiment, un talent à exploiter mais ailleurs.

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Adaptation d'une pièce de théâtre oblige, Le prénom se rapproche assez d'un Carnage mais n'en reste pas moins bien cousu. Entre les réparties et les rebondissements, le film offre 1h45 de règlements qui ne s'épuisent jamais. Berling et Benguigui sortent du lot.

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A 100 lieux des films qui nous ont préparés à cette réunion, Avengers est un film de personnages que Whedon met très généreusement en avant. L'histoire est faible et Loki très stéréotypé mais la bataille finale en met plein les mirettes. Un très bon produit geek.

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Tim Burton se regarde le nombril. Non content de nous sortir encore un Johnny Depp show, Dark Shadows est une coquille vide sans fond ni forme dont je n'en attendais plus rien au bout d'un moment, et ce même avant le final qui part totalement en sucette.

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Une indigestion ! Battleship ne vous vide pas l'esprit, il vous le torture à coup de clichés, d'incohérences et de ficelles que j'ai eu du mal à supporter. C'est d'une idiotie rarement osée, bien content que ce film ait été un échec commercial.

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Moonrise Kingdom ne rentre dans aucune case, ce n'est ni tellement comique ni tellement dramatique, c'est atypique. Evidemment, faut rentrer dans l'univers saugrenu pour apprécier, bien que je n'aurais pas dit non à un peu plus d'excentricité.

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Une gentille daube, même Tommy Lee Jones en est conscient vu qu'on le sent fatigué. Dix ans après le deuxième, l'humour s'est perdu en route mais Will Smith est resté insupportable. Il fallait vraiment être désespérer pour livrer un troisième volet aussi nul.

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Film déroutant, je me demande quelles étaient les réelles intentions de Ridley Scott. Il y a de la tension glaçante et des questionnements bien ancrés dans l'intrigue mais on a des répétitions et une coordination des scènes aberrantes. Mais j'aime tant l'univers d'Alien.

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Une direction artistique sidérante (décors, effets spéciaux) mais un manque d'empathie pour les personnages qui fait qu'on les suit sans en avoir à carrer de leur sort. Blanche-Neige et le chasseur s'inspire pas mal de la série "Once upon a time" je trouve.

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Un Pixar que je trouve "vain". Sérieusement je me suis souvent demandé au cours du film où est-ce qu'il voulait en venir. D'autant que c'est assez prévisible, il n'y a pas de grandes scènes qui sortent, mais reste une bonne musique et une animation encore très belle.

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Un pitch de départ qui donne lieu à des situations amusantes mais ça s'adoucit un peu trop quand le film part sur du road-movie. C'est quand même plutôt touchant mais merci à Steve Carell et Keira Knightley pour ça, sans eux le film n'aurait pas du tout eu la même saveur.

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Grossier mais souvent objectif, construit assez classiquement mais suffisamment bien mené pour remporter l'adhésion, Ted est un film moqueur, référencé, potache mais plutôt équilibré. C'est humour vache sur fond de romance et de conte, mais très limite parfois.

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Parole d'un grand fan de la première trilogie, j'ai trouvé ce reboot bon, modeste mais assez inerte, jamais il ne m'a vendu du rêve contrairement aux films de Sam Raimi. Le récit comporte de sérieuses lacunes, les combats manquent de puissance, mais un solide casting de tête.

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Une fin épique pour une trilogie vraiment glorieuse, rarement un super-héros aura eu un traitement aussi sombre et aussi bien pensé. Il y a des scènes qui envoient sévère, une musique résonante et des personnages bien approfondis. Juste plusieurs incohérences dans le scénario.

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Un remake à regarder la tête vide, l'histoire est paresseuse car elle reprend les"rebondissements" de l'original, il y a de l'action à foison et lisible mais bruyante et sans adrénaline. Kate Beckinsale est involontairement marrante et Colin Farrell impuissant. Oubliable.

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Le début m'a vraiment ennuyé, faut dire que le montage n'aide pas. La rencontre Renner - Weisz dynamise un peu le truc mais c'est très loin de sauver les meubles. Il manque un antagoniste (Norton est bien trop passif) et une quête dans cette dérivation de la franchise Bourne.

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Une grosse récréation bien fendard (surtout la première partie) mais quand il n'y a pas d'action, le film se vautre pour approcher les personnages et cela semble ennuyer les acteurs eux-mêmes. Expendables 2 est un petit péché mignon, ça explose et c'est poilant.

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Derrière la caméra, Dax Shepard livre un road-movie d'action honnête et débrayé, non sans humour, mais devant c'est la belle Kristen Bell qui lui vole la vedette. Etonnament c'est Tom Arnold qui m'a fait rire, et non Bradley Cooper.