BD 2019

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3 février

J'avais vu que quelques épisodes de l'anime étant gamin, alors que tous mes copains en étaient fans. Et maintenant que je suis adulte... je commence le manga. Je ne fais vraiment rien comme tout le monde, moi... De fait, je n'imaginais pas la série à ce point naïve mais c'est plutôt sympa.

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18 février

Les blagues de cul commencent déjà à me lasser. Les trois quarts des personnages sont des pervers, je crois qu'on a compris... De plus, il y a très peu de combats jusqu'à maintenant, mais ça c'est pas forcément une mauvaise chose.

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2 mars

Ah, c'est ici que les combats commencent vraiment avec le Tenkaichi Budokai. L'auteur a moins l'occasion de faire ses blagues de cul à répétition, et la série ne s'en porte que mieux.

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14 avril

Le tournoi était vraiment cool à suivre, avec un vrai suspens (un peu exagéré d'ailleurs, mais bon). De timides éléments dramatiques font leur apparition.

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18 avril

Nouvel arc que l'on devine très répétitif dans son concept mais les personnages et les dialogues sont globalement mieux écrits qu'au tout début. Un vrai page turner.

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3 mai

Un tome de haute volée avec notamment une histoire originale de Roy Thomas ("La Citadelle au cœur du temps") qui n'a pas à rougir des récits originaux de Robert E. Howard ! C'est suffisamment rare de la part d'un pastiche de Conan pour le signaler. Comme d'habitude, le dessin de Buscema, le "Michel-Ange des comics", fait le taf.

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4 mai

Goku enfin confronté à un ennemi surpuissant. Ça tombe bien, il se trouve juste à côté d'une tour permettant de décupler sa propre force... Toujours plaisant à lire, mais niveau scénario ça reste tout de même très basique. Et comme le manga essaie de suivre une voie un peu plus dramatique, ça se ressent quand même assez fort.

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10 mai

Encore un très bon tome, présentant notamment une libre adaptation d'une histoire d'aventure de Howard dans laquelle Roy Thomas incorpore Conan, de façon plus réussie que dans la plupart des pastiches de De Camp.

Gros hic, cependant: l'adaptation du roman "L'Heure du dragon" ne présente que la partie 3 et 4. Où est le début ?? Sans doute fut-il proposé à l'époque dans un autre magazine que "Savage Sword", comme cela se fait encore dans les comics d'aujourd'hui entre différentes séries d'un même héros, mais pourquoi ne pas avoir proposé l'histoire complète pour cette édition en album ? Un point en moins à ma note...

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20 mai

J'avoue avoir un faible pour les comics des années 80. La décennie de la révolution pour les super-héros, assurément, avec des scénarios qui prenaient un virage plus réaliste et littéraire. C'est dans cette veine que travaillent John Byrne et Marv Wolfman pour la renaissance de Superman... bien qu'il faille avouer qu'il reste encore une bonne dose de naïveté dans leurs scénarios qui ne parviennent pas à s'élever au niveau des grands maitres narrateurs de l'époque.

Malgré tout, la découverte des débuts du Superman moderne a quelque chose de touchant et fera passer de bons moments aux lecteurs de bonne volonté.

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12 juillet. (Relecture)

Me souvenais pas à quel point la fin était bâclée graphiquement. Sinon, toujours aussi sympathique, même si j'ai beaucoup de mal avec Robin. Ce comics a le mérite de le rendre un poil plus crédible.

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22 juillet

N'a de sens que si vous avez joué à Portal. Outil promotionnel et donc gratuit, plutôt bien écrit et illustrant avec pas mal de classe le délire schizophrénique de son héros. Éclaire quelques zones d'ombres du jeu, ce qui est toujours bon à prendre quand on s'intéresse au lore.

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29 juillet (relecture)

Édition de Panini épuisée, introuvable aujourd'hui... et ce n'est pas une grande perte avec cette traduction épouvantable de Geneviève Coulomb. Comment ? Vous ne connaissez pas cette magicienne du mot incongru ?

https://filmsfantastiques.blogspot.com/2014/04/les-traductions-calamiteuses-de-spider.html

Sinon le comics en lui-même est tout à fait honorable. Un joli portrait des trois grands héros DC dans une histoire rondement menée au trait un peu cartoon.

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13 août

Les origines modernes de l'Amazone sont une véritable surprise. Les thèmes abordés et les ambiances sont variés, oscillant entre mythologie, super-héroïsme et vie quotidienne (ce dernier aspect étant trop souvent oublié dans les comics). Les dialogues sont de grande qualité et les dessins très détaillés sont un plaisir à parcourir !

Si ce n'était un côté un peu trop verbeux qui empêche les dessins de respirer et qui casse un peu le rythme, on aurait droit à un sans-faute de la part de Pérez, coiffé de la double casquette de scénariste et de dessinateur !

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18 août

Une lecture fort instructive sur l'historique de l'éditeur. Même si on se concentre sur relativement peu de héros (les plus connus), les articles qui présentent chaque BD parviennent, à grands traits, à nous apprendre l'essentiel et même un peu plus.

Cette anthologie se concentre pas mal sur les comics les plus anciens, ce qui ne conviendra peut-être pas aux jeunes lecteurs mais régalera tous ceux qui veulent en apprendre plus sur les Âges d'or, d'Argent et de Bronze sans pour autant lire des dizaines de vieux comics.

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29 août

Encore un comics promotionnel pour un jeu vidéo. A l'instar de Lab Rat, ci-dessus, le résultat n'est pas mal du tout. Plus qu'une présentation de l'univers du jeu de Cavia, l'idée est de présenter une de ses thématiques principales: "Rien n'est vraiment ce qu'il semble être". Dommage que l'histoire n'ait pas vraiment de fin. Juste une mise en bouche, plus subtile qu'il n'y parait, mais qui n'aura aucun intérêt pour le lecteur ne souhaitant pas jouer à Nier.

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19 septembre

Un univers réaliste plaisant, des dialogues bien écrits, mais le scénariste n'en propose pas moins quelque chose d'assez classique et prévisible, malgré l'aspect "survie" bienvenu. Plus grave, un néophyte comme moi n'apprend pas grand chose sur Oliver Queen, le héros. Le comble pour une oeuvre estampillée "year one".

Le dessin de Jock, enfin, me semble un peu expédié et brouillon, alors que ses couvertures d'épisodes sont magnifiques.

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26 octobre

Le King des comics en roue libre. Presque une nouvelle idée par page, pour vous situer l'effervescence. C'est fiévreux, original, puissant, incohérent, suranné, naïf, épique et visionnaire. Et ce n'est que le premier tome. Une expérience à tenter, quand on a l'esprit aventureux...

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Prochainement...