Mon top jeux indé

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Le meilleur de la série pour moi, c'est LE jeu défouloir de référence. Si vous êtes amateur des FPS old-school ultra bourrins avec de l'humour omniprésent, il faut absolument jouer à ce Serious Sam. Celui-là, ou son remake HD qui est la même chose en plus beau.

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Une petite équipe de 5 personnes a réussi à me faire vivre l'expérience horrifique la plus traumatisante de ma vie. Sincèrement, ce jeu je l'adore mais je déteste car je ne veux plus jamais y toucher. No way.

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Une extension qui rajoute pas mal de nouveaux contenus au jeu original, rendant l'expérience plus riche et moins redondante. A part ça, c'est le même principe : utiliser nos propres mp3 pour générer des parties de shoot'em up nerveuses. Une toute nouvelle manière d'apprécier nos morceaux préférés.

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A la base un mod de Half-Life et maintenant disponible en stand-alone, Cry of Fear est un excellent survival-horror à l'ancienne où on avance en flippant à chaque coin de couloirs et en comptant chaque balle dans son inventaire. L'ambiance est excellente, le contenu est riche, la musique est très réussie, et en plus c'est gratuit.

- Jeu gratuit -

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J'avais déjà aimé Bastion parce que c'était un jeu indé qui combinait à la fois une DA fabuleuse, une très bonne BO, une narration travaillée et un gameplay riche et intuitif. Transistor reprend exactement la même formule en rendant le tout plus mature. La DA est d'une qualité rare, les musiques sont encore plus abouties, la narration plus variée et le gameplay a gagné en profondeur avec l'apparition de ce système de Turn() qui permet de programmer son enchaînement d'attaque à l'avance. Une vraie réussite, quoique j'aurais aimé que ça dure 1 ou 2 heures de plus.

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Un Hack'n'Slash dans un univers original avec une patte artistique superbe et des musiques très prenantes. Bien qu'un peu répétitif, le jeu nous surprend à de nombreuses reprises grâce à son ambiance.
Et pour une fois, le jeu a un bon équilibre entre artistique et ludique, contrairement à de nombreux jeux indés qui ont tendance à délaisser l'un ou l'autre.

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Pendant que certains se faisaient une guerre civile en Croatie, les mecs de Croteam ont plutôt créé un des FPS les plus bourrins de l'univers. On se défoule sur des packs de monstres sans réfléchir, en comptant seulement sur nos réflexes et notre capacité de courir en arrière...

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Blackwell est une série de point'n'click en 5 chapitres. Attention, Epiphany est le dernier épisode. Je l'ai choisi pour cette liste car il s'agit de mon épisode préféré. Voici les épisodes dans l'ordre : Blackwell Legacy, Blackwell Unbound, Blackwell Convergence, Blackwell Deception, Blackwell Epiphany.

La série traite du monde de paranormal. On contrôle Rosangela Blackwell, femme devenue medium malgré elle, et qui est constamment accompagnée du fantôme de Joey Mallone que seule elle peut voir et entendre.
Votre but est d'aider les autres fantômes errant sur Terre et les guider vers l'au-delà. Mais il existe également une histoire principale étalée sur les 5 épisodes qui est passionnante et bourrée de rebondissements.
Les puzzles du jeu utilisent bien les capacités des 2 personnages. Rosa peut parler aux gens, déplacer des objets, utiliser son téléphone portable etc... tandis que Joey peut passer à travers les murs, lire discrètement les messages des autres ou encore brouiller les appareils électriques s'il est à proximité.

Même si vous n'êtes pas spécialement intéressé par le paranormal, c'est une série que je vous conseille. Bien écrit, bien construit (pas de puzzles totalement tirés par les cheveux), et graphiquement ça reste agréable malgré un changement de style entre les épisodes. Par contre, faites bien attention de les faire dans l'ordre !

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Rapidement lassant en solo, le jeu gagne énormément en intérêt en multi. Le mieux est si vous pouvez vous trouver un serveur avec un groupe d'amis. Dommage que Notch soit un peu un branleur au niveau des MAJ quand même. Avis plus détaillé dans ma critique.

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Un remake (ou demake?) de TBOI, avec encore plus de contenus et quelques nouveautés bienvenues (les salles plus grandes et la possibilité de quitter une partie et la reprendre notamment). Ca ne révolutionne absolument pas la formule de l'original, mais si on est fan, il n'y a pas vraiment de raisons de passer à côté.
Le principal défaut selon moi est la musique qui n'est pas mauvaise mais quand même bien moins efficace que dans le jeu de base.

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C'est un jeu assez simple dans le principe, mais très complet en matière d'items et bonus à ramasser. C'est assez prenant, et la DA un peu dark ado fonctionne bien (le traitement en flash par contre est beaucoup moins convainquant).
Tout le jeu est en random, ce qui est un + mais également un gros - vu que nos parties risquent de changer énormément selon notre chance...

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Un jeu d'aventure fait sur RPG Maker où on se retrouve enfermé dans un manoir rempli de pièges et on doit résoudre des énigmes pour s'en sortir vivant. Il y a pas mal de bonnes trouvailles, le scénario est plus recherché que ça en a l'air (à condition d'avoir la bonne fin), bref un jeu sympa en plus d'être gratuit.

- Jeu gratuit -

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Bien meilleur que leur précédent jeu, Hard Reset, un bon vieux FPS old school avec des combats bien bourrins. Le katana est vraiment une des armes de corps à corps les plus jouissifs qu'on a vu dans un FPS.

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Un jeu à la fois addictif et intelligent. Le concept est très original, les situations sont souvent variées et surprenantes, il y a beaucoup de bonnes idées derrière pour critiquer le totalitarisme avec de l'humour noir.
Ça devient un peu répétitif au bout d'un moment, mais en même temps le concept lui-même veut ça vu qu'on vit le quotidien d'un boulot administratif.

Existe en version gratuite un peu moins complète.

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Un jeu narratif, ou plutôt qui parodie les jeux narratifs. Une sorte de bataille constant entre le narrateur qui raconte l'histoire et le joueur qui essaye de lui désobéir. Certaines situations sont vraiment drôles et nous font réfléchir sur la narration dans les jeux vidéo. Une expérience vraiment rafraîchissante.

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The Cat Lady est un point'n'click horrifique, où on incarne une femme qui vient de se suicider et qui parvient à survivre grâce à une mystérieuse intervention. Avec un pitch pareil, mieux vaut ne pas s'attendre à un jeu très joyeux. En effet, tout le jeu traite principalement de la dépression, avec une héroïne particulièrement torturée.
Le jeu a une histoire intéressante, avec des personnages bien marquants. Certaines séquences sont vraiment glauques et barrées, et il y a même quelques puzzles bien pensés. Dans l'ensemble, le jeu arrive à varier le rythme, les activités et l'ambiance tout le long de l'aventure d'environ 8 heures.
Une vraie bonne surprise, mais à ne pas mettre entre toutes les mains.

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Moins orienté survival-horror qu'Amnesia et plus proche d'un walking-simulator XXL (il n'y a pas vraiment de gestion d'inventaire ou de la santé du héros), SOMA reste une perle pour les amateurs de jeux à ambiance.
J'avais peur que le jeu tombe dans le piège du scénario déjà-vu de "l'expérience scientifique qui a mal tourné, et le héros se retrouve dans une base/laboratoire avec plein de cadavres". Il n'en est rien, c'est une histoire de SF vraiment intéressante avec en plus une vraie réflexion philosophique derrière. Je ne vais rien dire pour éviter le spoil, mais je ne m'attendais pas à une histoire aussi captivante et bien racontée.
Le jeu est vraiment bourré de qualités : la mise en scène est impeccable avec un constant soucis de détails, la direction artistique est incroyablement travaillée, le voice acting est convainquant, les bruitages sont d'une excellente qualité (le bruit de l'eau quand on joue avec le casque est super immersif, sans jeu de mot)...

Le jeu a quelques longueurs, notamment les phases sous-marines, mais si on se laisse prendre par l'ambiance et l'histoire, SOMA est un excellent jeu avec une finition remarquable. Ça faisait longtemps que je n'avais pas joué à un jeu dans lequel je ressens autant l'amour et la passion des développeurs derrière.

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Un puzzle-game qui nous retourne le cerveau tellement le monde n'arrête pas de muter dans tous les sens et on ne peut plus du tout fier à nos sens habituels. C'est très épuré comme style, mais ça se marie bien avec la bande son composée quasiment que de bruitages naturels, on dirait parfois une expo d'art moderne qui nous dépayse. Un peu cher mais ça vaut le coup d'essayer.

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Pour un jeu développé seulement par 2 personnes (y compris la musique), Fran Bow est un point'n'click horrifique solide. Il s'agit d'un récit macabre autour d'une petite fille dans un hôpital psychiatrique qui tente de fuir. Hormis ça, mieux vaut ne rien savoir avant de commencer le jeu, étant donné que l'aventure garde son lot de surprises.
La direction artistique est à mi-chemin entre un livre pour enfants et un Tim Burton vers le début de sa carrière. La musique est discrète mais sert parfaitement le récit. Les puzzles sont intéressants et ne deviennent pas trop tordus comme dans certains point'n'click.
Si vous aimez le macabre et l'onirique, Fran Bow est un jeu à faire.

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Un die & retry sans pitié mais avec un véritable système de progression et loots, ainsi qu'un donjon aléatoire. Très addictif.

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DUSK est une lettre d'amour aux doom-likes des années 90, en particulier Quake (pour son gameplay) et Blood (pour son ambiance). Développé en grande partie par 2 personnes, on retrouve dans ce jeu les principaux éléments qui faisaient le charme de ces FPS rétro, à savoir le déplacement rapide, du bunny hopping, du rocket jumping, un double shotgun, des clés de couleur à trouver, des secrets à découvrir, et des tas d'ennemis à transformer en gros morceaux de gibs.
Les niveaux ont souvent un level design soigné (même s'il existe quelques niveaux un peu bof malheureusement). Plus on avance dans les chapitres, et plus les niveaux deviennent originaux et inspirés. L'ambiance fonctionne bien, et le style low poly 90's est bien retranscrit.
Les musiques sont particulièrement bonnes, composées par Andrew Hulshult qui s'est spécialsé dans les jeux rétro. C'est un mec qui a d'abord commencé par faire des reprises de Doom et Duke Nukem 3D, et récemment il a été embauché par Bethesda pour des musiques additionnelles de Quake Champions. Son style colle parfaitement avec le côté à la fois nerveux mais glauque de DUSK.

C'est un jeu riche en contenus pour un petit prix, et qui rend bien hommage aux doom-likes. Il a largement mieux compris le genre que d'autres jeux indés du style Strafe ou Wrack. Aucune raison de passer à côté si le doom-like est votre dada.

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Cytus est un jeu musical vraiment très addictif. Le concept est pourtant simple, il s'agit juste d'appuyer sur les boutons à l'écran au bon moment, mais c'est typiquement le genre de jeu facile à prendre en mains mais difficile à maîtriser. Certains morceaux vont vraiment pousser les capacités de mouvement de nos doigts jusqu'à leurs limites !
Je ne sais pas vraiment ce que le jeu valait à sa sortie en 2012, mais j'ai pu l'acheter à 2,50€ sur l'appstore avec 110 morceaux inclus, ce qui fait largement de quoi occuper un bon moment. Les musiques sont variées : techno, rock, orchestral, hip-hop, jazz, dubstep...

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Detention est un point'n'click horrifique, similaire au jeu "The Cat Lady" pour ceux qui connaissent. Développé par une équipe taïwanaise, le jeu nous plonge dans une aventure à la fois déprimante et terrifiante au sein d'un lycée durant la période de la Terreur blanche de Taïwan.
Le jeu arrive à mélanger plusieurs thématiques sans rendre ça indigeste, et c'est intéressant de voir un contexte historique aussi original dans un jeu d'horreur. On sent clairement l'inspiration venant de Silent Hill, mais aussi à l'horreur asiatique de manière générale. La mise en scène arrive à rester subtile, et ça change de pas mal de productions indépendantes qui nous balancent à la figure des suites de jumpscares paresseux.
La direction artistique et le sound design sont particulièrement soignés, et certains puzzles sont bien pensés (même s'il n'y a rien de bien compliqués). Le seul regret est la narration qui a tendance à être un peu prétentieuse vers la fin.

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Développé par 2 personnes ayant travaillé sur des jeux tels que Singularity, Bioshock Infinite ou encore Wolfenstein 2009, Prodeus est un Doom-like indé qui a débuté sur Kickstarter et est dispo actuellement en accès anticipé.
C'est vraiment littéralement un "Doom-like", tout est inspiré de cette série et on sent que les développeurs sont des passionnés. Les types d'armes, les classes d'ennemis, l'ambiance... beaucoup de choses rappellent Doom. La DA fait penser à Doom 2016 alors que la sensation de tirs et le gore rappellent énormément Brutal Doom.
Je ne pense pas que Prodeus gagnera des prix pour son originalité, par contre c'est un excellent FPS bourrin et old-school avec un level design astucieux. Je pense pouvoir dire sans trop de risques que la plupart des fans de Doom-likes vont apprécier ce jeu.
Bien que le jeu soit dispo qu'en accès anticipé, il y a déjà beaucoup de niveaux et je n'ai croisé quasiment aucun bug.

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Le seul but dans Devil Daggers est de survivre le plus longtemps possible. C'est le genre de jeu facile à prendre en main, mais difficile à maîtriser. Lors de vos premières parties, vous allez juste vous dire que c'est un FPS où il faut se balader dans une arène et tuer des monstres. Mais au fil des parties, on découvre au fur et à mesure que le game design est plus profond qu'il en a l'air. Plein de paramètres commencent à rentrer en jeu, et il faudra parfaitement doser ses tirs et son déplacement afin de continuer à survivre. Le sound design est excellent, et en plus de poser une ambiance glauque, il permet aussi d'indiquer plein d'informations au joueur comme le type d'ennemis aux alentours, la distance, ainsi que la présence des cristaux qui nous permettent de booster nos dégâts etc..
La direction artistique est vraiment cool aussi, avec des visuels glauques à la Dark Souls et un style low poly qui rappelle un peu l'esthétisme PS1.

Le jeu est vendu 5€, c'est à vous de voir si vous considérez que c'est un peu cher pour un jeu avec une seule map et un seul mode de jeu.

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Amid Evil est un FPS rétro inspiré de Heretic : on retrouve du coup un univers plus fantasy avec l'utilisation des armes blanches et la magie plutôt que des shotguns et des lance-roquettes.
C'est un jeu très fun, rapide et nerveux. Le level design est soigné et est plein de créativités, il y a des idées que je n'avais encore jamais vu exploitées dans aucun autre FPS.
J'avais toujours trouvé le jeu un peu repoussant sur les screenshots, mais une fois in game ça passait bien. Les développeurs jouent énormément sur l'aspect grandiose des décors, permettant à la fois de créer des panoramas impressionnants mais aussi d'aider à la lisibilité. Chaque chapitre offre une ambiance totalement différente, et les ennemis qu'on affrontent changent en fonction du lieu, ce qui est un détail toujours sympathique.

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HROT est un FPS rétro inspiré de Quake, mais à l'ambiance soviétique. Il y a plein de jeux indépendants qui tentent d'imiter le style graphique rétro, mais HROT est sûrement un de ceux qui ont le mieux réussi cet exercice. On dirait vraiment un jeu sorti tout droit de 1996.
C'est aussi un très bon FPS, avec un level design soigné et rempli de bonnes idées. On sent que le développeur s'amuse en créant le jeu, avec plein d'interactions possibles avec le décor qui sont à la fois inutiles mais amusantes. L'ambiance est également glauque, avec tout de même quelques touches humoristiques.

J'ai fait le tour de ce que l'early access a à proposer pour l'instant, il y a en gros un épisode et demi et ça m'a pris un peu moins de 3 heures. Vivement le jeu complet.

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The Kids We Were est un jeu entièrement en voxel art très mignon dans lequel on incarne un garçon explorant une petite ville de campagne japonaise.
L'ambiance est très sympathique, cependant il ne faut pas s'attendre à un jeu d'aventure avec plein de choses à faire. C'est avant tout un jeu narratif. On peut explorer un peu la ville pour y trouver des collectibles mais c'est tout.

Heureusement l'histoire est intéressante et prend des directions dont je ne m'attendais pas. Je pensais lancer une aventure naïve et feel good similaire à la série des "My Summer Vacation / Boku no Natsuyasumi", mais en fait c'est beaucoup plus fantastique, avec parfois des thèmes assez matures.

Si ça vous dérange pas de jouer à un jeu juste pour l'histoire, c'est un sympathique petit jeu à essayer.

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Un jeu bourrin et addictif qui rend hommage aux principaux héros badass du cinéma américain (T-800, Rambo, McClane, Chuck et toute sa clique). Simple à jouer, pas si évident sans devenir un die & retry relou.

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"Blade of Agony" est à la base un mod pour Doom II qui est désormais disponible en stand-alone. Il y a 2 épisodes de sortis sur les 3 et ça dure plus d'une dizaine d'heures pour compléter.
Il s'agit d'un FPS old-school basé sur l'univers de Wolfenstein. Les niveaux sont très variés, avec un level design excellent. Il y a beaucoup d'action, mais également de l'infiltration, platforming, puzzle et même une phase en véhicule.
L'ambiance est bien là, avec de bons choix de musique pour accompagner. Beaucoup d'éléments graphiques sont empruntés d'autres jeux, comme Wolfenstein bien sûr mais également Blood, Duke Nukem 3D ou encore Serious Sam. L'ensemble est étonnamment cohérent, et le style graphique est très agréable à regarder : à la fois rétro mais remis au goût du jour. Dommage juste que certains niveaux rament, visiblement trop détaillés pour tourner sur id tech 1.
L'optimisation n'est pas toujours top, et certains niveaux ont tendance à se trainer un peu en longueur, mais pour un projet amateur fait principalement par un mec, c'est incroyable. Si vous êtes fan de Return of Castle Wolfenstein, c'est vraiment un jeu à faire. On retrouve plus l'ambiance de Wolfenstein dans ce mod que dans les derniers jeux par MachineGames.