Les chroniques de Yes

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"I get up !!!!!! I get dowwwwwwwn !"

Close to the edge était mon album préféré, et je l'ai trop écouté...
Mais l'émotion d'origine, lorsque je l'ai découvert, en 1994. est toujours intacte dans ma tête. C'est un album qui m'accompagna dans mes premiers questionnements existentiels, lorsque j'eus 22 ans.

C'est un album qui m'a sauvé la vie : il m'a révélé

Je me rappelle déjà de l'ouverture de Close to the edge, chaotique, démentielle, improbable. Il faut s'accrocher. En général, une introduction est douce, avant que tout s'emballe. Yes, eux, non, ils ne font rien comme les autres : même s'il y a ce son d'ouverture, entre son de nature et bruitages, rapidement, cela cède à un déchaînement de notes, comme une sorte de bataille. Un truc à peine écoutable, un bordel incroyable. Tout le monde s'énerve, joue vite. C'est certain, ils ne vont pas en faire un tube - pas avant 2048 - de cette intro. Evidemment, ce n'est pas le titre que je ferais écouter en premier à ma grand mère, bien qu'elle soit déjà morte, non je lui choisirais plutôt "Turn of the century", qui n'est pas sur cet album.

Vois-tu, je peux à chaque instant de ma vie te dire quel age a cet album - aujourd'hui 46 - car cet album est né aussi la même année que moi. Et ça compte dans un classement...

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titre : "South side of the sky" et bien sûr " Heart of the sunrise" et "Roundabout"

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Extrait :
(...) "C'est un voyage aux confins de l'univers et des RTT. C'est le doigt de Michel-Ange vers Dieu, et l'ineffable fin de 2001 l’odyssée de l'espace. C'est moi dansant sur cette musique théoriquement indansable, en plein délire le gars...

C'est une invitation à l'amour universel, à la communion, et à la fin du monde tel qu'on l'a connu. All we need is love. C'est quinze minutes d'extases, d'apaisement et d'exaltation à rendre grâce à mère nature, au miracle de la vie, au soleil, à notre respiration, aux merveilles de ce monde. C'est un éveil à tout ce qui nous entoure, aux fleurs, aux beautés, aux univers qui nous traversent, nous dépassent ou qui sont là, juste là autour de nous.

C'est un cri de l'âme, des voix d'anges, et tout à coup cette lumière qui jaillit, te pénètre, te révèle. Tu es un fils de dieu, tu es dieu, il est toi, et nous ne faisons qu'un : we are going for the one" (...)


Titres : "Awaken", "Turn of the century"

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Un classique, et le premier vrai tournant de Yes. Un album ambitieux.

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titre : "To be over"

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"Nous sommes de soleeeil....de soleil !"
Des mélodies gravées dans la tête, un chant vital, profond qui cherche nos racines et nos liens, un chant religieux païen. C'est principalement ça "Tales of topographic oceans". Du chant, des mélodies, le tout monté en 4 parties de 20 minutes, comme une initiation, un rituel ancestral, une oeuvre qui s'adresse à nos cœurs et à nos oreilles.

C'est une oeuvre unique, un testament musical à la recherche de nos racines et de notre être profond.

Contrairement à ce qu'il a été dit dans les années 70, cet album n'a rien de boursouflé. Par contre il demande une immersion totale. C'est un long voyage aux confins de l'âme humaine, et un pari musical audacieux.

"What happened, to this song, we once knew so well"
"We must have waited all our lives for this moment"

"They move fast, they tell me, but I just can't believe that they really mean to, there's someone to tell you, a course towards the universal season"

"Getting over overhanging trees let them rape the forest, they might stand and leave them, clearly to be home, getting over wars we do not mean, we charm the movement suffers, call out all our memories, clearly to be home"

Au fond, en gardant Revealing the science of god et Ritual, cela nous donne déjà un chef d'oeuvre de 40 minutes !

Annotation :

C'est un album qui m'accompagne chaque année, entre le printemps et l'été, souvent à vélo avec les écouteurs. C'est ma came positive, de fraicheur, de chœurs. C'est comme une célébration à chaque fois.

Peut-être l'album de Yes que j'écoute le plus fréquemment.
Album pop et malgré tout complexe aux contours prog.

Extraits :
(...)"Union", c'est 15 titres, 1 heure 10 de musique, 2 groupes, 9 musiciens officiels avec Levin, 6 musiciens additionnels (dont Elias), 12 programmateurs sons (dont Elias), 7 vocalists additionnels (dont Elias), 1 poétesse Cambodgienne (dont Elias..non j'déconne), 7 producteurs (dont surtout Elias et Anderson), 10 auteurs-compositeurs (dont principalement Elias, Anderson et Howe), 14 studios d'enregistrement ou de mixage, 758 rouleaux de papier Q (selon Rick Wakeman), des ingénieurs et techniciens que je refuse de compter, et j'ai pas pu identifier encore les restaurants chinois auxquels ils ont du faire appel... mais j'imagine qu'ils ont du manger chez Elias, mais tu suis un peu !!?"

"Pas facile en effet de ce farcir un projet aussi abracadabrant, cherchant à réunir deux groupes dans un même disque, donner l'illusion d'une cohérence, se frapper les egos musicaux de chacun et pourtant payer autant d'impôts en fin d'année, c'est aberrant."(...)

titre : "Silent talking"
si tu veux avoir une idée de qui est Jonathan Elias, le producteur, écoute ça :
https://www.youtube.com/watch?v=quDZSvj-mus

Annotation :

Un album très satisfaisant, cohérent de bout en bout, inventif, et rempli d'esprit positif.

Extrait :
"(...) Chris Squire téléphona à Jon Anderson (un peu comme un(e) ex. qui te rappellerait) :
- "Nous avons de la nouvelle musique, cela te dirait d'écouter ?"
(j'ai encore des affaires à toi, cela te dirait qu'on se voit samedi prochain ?)

Jon le rappela après avoir écouté les titres qu'ils avaient enregistré et dit
-"That's a really really good stuff !
(tu sais que je pense encore beaucoup à toi)
- Et Chris "Would you sing on it ?"
(tu te rappelles ce qu'on se mettait à l'époque ?)
- Et Anderson de répondre "How calls the band ?"
(t'as une copine en ce moment ?)
- "Cinema"
(oui mais c'est pas important)
- "Cinema ? Well, you know, if i sing on this, it's gonna sound like Yes, so...is that the deal, you want Yes going then?"
(si tu veux qu'on se voit, je préférerais que tu ne restes pas avec elle)
- "...Yeah"
(on peut toujours prendre des capotes, t'as déjà essayé les plans à trois ?)
Et Anderson de conclure... "Ok then...!"
(non pas de capote, j'adore le goût de ta peau)

C'est ainsi que l'histoire de Yes redémarra" (...)

Titre : " leave it"

Annotation :

Album sans synthés, et je vais te dire : cela fait du bien.
C'est le second album de Yes à utiliser un orchestre. Et c'est le dernier grand album du Yes classic

Et puis ce sera le dernier album avec la voix iconique de Jon Anderson. Après tu peux aller pleurer, va, je t'accompagne. Prends des kleenex au supermarché, veux-tu ?

C'est un excellent album. Enfin, un vrai classique de Yes, et qui pourtant sera incompris. J'avais même lu des critiques qui parlaient "d'arrangements trop classiques et qu'il fallait évoluer, que Schoenberg et Stravinsky étaient passés par là..." Tu veux qu'on parle d'orchestration et de style ?
Alors allons-y. Premièrement, le style est plus "romantique" que "classique". Avec une harmonisation plus chargée, et des résolutions plus lointaines. Larry Groupé a vraiment fait un travail remarquable d'inventivité. C'est le cinquième musicien du groupe, sauf que lui a un orchestre sous la main.

Et je suis sûr d'une chose. Cet album traversera le temps. 17 ans après, il l'a déjà fait. Beaucoup de personnes redécouvrent cet album aujourd'hui et se disent qu'ils étaient passé à côté à l'époque. Faut dire que nous n'avons plus rien à nous mettre sous les oreilles depuis, et ce ne sont pas "Heaven & earth" ou "Fly from here" qui me contrediront.

Le problème de cet album est de taille pour un auditeur lambda : il lui faut écouter tout un tas d'informations musicales : un orchestre complet et tous ces arrangements, des voix, une basse, une batterie, la guitare de Howe, la chanson de Jon. Et ce n'est pas facile, hein. C'est même plutôt complexe ce que produit Larry. Et ce type de mélange groupe / orchestre pose tout un tas de difficultés techniques et sonores. Le mélange orchestre acoustique / groupe électrique n'est pas évident à gérer. Steve Howe raconta comment il dû changer ses sons pour ne pas couvrir l'orchestre.

Pourtant cet album recèle de perles et de moments émouvants.

Annotation :

Extraits :
(...) "Yes signe avec "Homeworld", en ouverture d'album, un titre planant, puissant, spirituel, bref essentiel. C'est un de mes titres préférés. C'est vraiment l’échelle (the ladder) qui t'emmène très loin dans les stratosphères.
Le problème c'est qu'après, on a plutôt affaire à des tabourets, vois-tu (...)

(...)ce qui avec le vertigineux "Homeworld" nous fait 5 titres, et 25 minutes ! Oui mais cela nous fait un ep à 9/10 aussi ! (...)

titre : "Homeworld"
...à mettre à côté des plus grands titres de Yes...

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Extrait :
(...) "M'est avis que le nouveau et jeune guitariste commençait à énerver sérieusement les anciens en prenant tout en main - mince c'était leur groupe ! -oui mais non : le nouveau patron c'était lui, monsieur "Owner of a lonely heart", et le Label ne s'est pas privé pour exiger un nouveau "Owner". Donc Rabin avait la pression, et que veux-tu, ce n'est pas facile de se traîner aussi des quadragénaires avec un passé historique plombant. et de jouer au chef.

Il rappelle par exemple que la période Italienne était celle de "beaucoup de fêtes et peu travail", "a real drug time", en décrivant ses petits copains. A mon avis, il a dû oublié de mentionner "et de putes", mais quoi qu'il en soit, Horn arrêta les frais et rapatria les délinquants à Londres, car je te le rappelle, ils devaient encore fabriquer un nouveau "Owner of a lonely heart". Le problème est qu'ils n'avaient absolument aucune idée comment ils avaient pondu ce hit et ce que les gens avaient aimé - mon avis personnel et secret est que le clip avait joué un énorme rôle dans ce succès."(...)

Titres : "Final eyes" !!!, "Holy lamb", "Love will find a way", et bizarrement aujourd'hui : "I'm running", et la version remastérisée de "Shoot high, aim low"

Annotation :

Une incroyable production sonore avec Trevor Rabin aux manettes.

Extraits :
(...) "Si t'aimes Yes , va falloir suivre et t'accrocher un petit peu, c'est compliqué. Tout ce bordel vient essentiellement du fait que Jon Anderson couche avec tout le monde, et la voix de Yes, c'est Jon. Donc t'auras compris...

Personnellement, c'est un album qui m'a ému, même si il s'éloigne des vieux canons de Yes. (...)


Titres : "Endless dream", "The calling", "I am waiting", "State of play", "Where will you be"

Annotation :

L'album avec orchestre. Une chouette réussite, encore un peu jazz et pop. Recommandable

Annotation :

Extraits :
"Anderson aura finalement mené la vie dure à Chris Squire, et on comprend qu'il lui en veuille un peu. En 1987, Anderson, lui, n'est pas content de la direction que Yes prend avec son Big deGenerator. Et il va le faire savoir en préparant un truc machiavélique : faire naître un autre Yes...(...) et foutre sa zone.

(...) dans le fond, ce n'est pas un vrai groupe, c'est un coup marketing génial orchestré par Anderson"

Annotation :

Extraits :
(...) "Aujourd'hui, à la lumière de la carrière de Yes et de leurs derniers albums, "Keystudio" m’apparaît comme un grand (non-)album de Yes, sans compromis, un grand cru prog pourtant oublié et mal exploité. C'est la dure loi des combines de maisons de disques, des pressions diverses. Le prog en 1997 ne valait plus rien, or Yes enregistre pour ses fans, pour la postérité, car Jon a toujours une vision, voit plus loin.(...)

(...) il faut se le dire : "Keys to ascension, versus les titres studio", alias "Keystudio" méritait meilleur traitement, et une pochette digne de ce nom.(...)

Bien produit, on tenait peut-être le meilleur album de Yes classic en 1997...
Idée complètement oubliée et remplacée par "Open your eyes", beaucoup plus inutile...

titre incontournable : "Mind drive"
autres titres préférés : "Bring me the power" et "Children of light"

Annotation :

Extraits :
(...) "Les temps avaient changé, chaque membre du groupe avait changé, plus personne ne se supportait, et finalement, plus personne ne s'écoutait (...)

(...) "Ecoute, j'ai plusieurs suppositions à te soumettre. Vois-tu, je vais tenter une expérience jamais réalisée jusqu'ici. Nous allons nous téléporter en 1978, et nous allons ensemble refaire cet album.(...)

Téléportation en 1978 : une expérience extraordinaire...

Annotation :

(...)"Cet album a un grand problème, et il a un nom et un prénom : Billy Sherwood. Il sera à la fois à l'enregistrement ET au mixage final. Et c'est une erreur que commet là Yes."(...)

(...) "Ils devraient faire remixer cet album par Steven Wilson, ou quelqu'un de compétant, rééquilibrer les aiguës et les médiums, repenser la spacialisation des instruments, ouvrir plus le mixage, et pourquoi pas se pencher à nouveau sur les parties de synthé désastreuses. Et vous verrez : cet album reprendra des couleurs, une image stéréophonique plus large, un son moins écrasé, et finalement des chansons qui reprennent vie"(...)

Titre favori : "The solution", puissant, étonnant

Annotation :

Extraits :
(...) Or depuis 2 semaines, la nouvelle version remixée et réarrangée, avec la voix de Trevor Horn, et plus d'arrangements vocaux dans les aigus, avaient fini par me convaincre et surtout, par m'emballer.
Alors que s'est-il passé, bon dieu ?(...)

(...), instinctivement, tu rentres directement dans cet album. Il se passe quelque chose dans la marmite Horn qui prend. J'ai la chair de poule, l'émotion me prend. Tout sonne plus "vrai", plus présent.(...)

Titres : "Hour of need", "Madman at the screen", "Into the storm", "Life on a film set" et "We can fly"

Annotation :

"L'album avec les Buggles...ou l'album des Buggles.

Les points forts : la production de Trevor Horn et les sections rythmiques, notamment la basse de Squire
Les points faibles : la voix de Trevor Horn, et les chansons

38 ans après, j'ai toujours du mal à me faire à l'idée que c'est un album de Yes, vois-tu"(...)

(...) "Non, oubliez cet album"

Titres : "Into the lens"

Annotation :

...à la masse (retain)


Cela représente des heures d'écoutes pour écouter les différences, et il y en a beaucoup...

Yes album : étonnante ouverture, son plus doux, voix de Jon Anderson "moins présente". Au final, à force de vouloir donner du détail, on perd l'intensité originale des morceaux. Je dirais même, je préfère l'agressivité dans les aigus des masters originaux, ils donnent ce piquant, cette magie que Wilson perd. Cela devient un objet de musicologie, bon, très bien, c'est propre, mais on perd quelque chose, et cette chose, ce sont les heures passées en 1971 par Eddie Offord et le groupe à réfléchir à tel détail, à telle mise en avant, à mouvement de mixage, bref toute une alchimie et une somme de travail qui fut et forcément, dont Steven Wilson en est dépourvu.

Par moment, on a l'impression d'écouter de nouveaux morceaux, mais après l'excitation première, j'essayerais d'y voir plus clair, enfin d'entendre plus clair, hein...
Et par exemple, en ce moment même, je suis en train d'écouter Close to the edge, et pour moi, le mix de ce titre dénature le morceau original, voir, le déséquilibre...

Quand même, après cette séance "Steven Wilson remixes" j'ai eu besoin de me nettoyer les oreilles avec les originaux, quand même bien supérieurs.

Finalement, les remasters de chez Atlantic sont bien plus émouvants, plus efficaces, je n'ai plus aucun doute là-dessus.

Annotation :

Bien meilleur que "The Quest", mais rien ne me porte
La production est bien foutue, même si je n'aime ce son de guitare avec fuzz. Les parties de basse sont superbes, Billy Sherwood se défend vraiment bien. Pour une fois, Geoff Downes, le clavier ne sort pas des synthés pompiers, et soigne ses sorties, avec des sons travaillés, ou old school. La batterie, on dirait que Alan White est derrière les fûts, les fils sont vraiment très similaires. Et on arrive au chant... je ne sais pas, il n'y a rien qui prend. C'est d'un ennui. Il manque clairement du génie mélodique. Et c'est évident que ce n'est plus Yes qui joue, donc pourquoi perdre son temps ?

Au final, je dirais que c'est un album laborieux

15ieme écoute : il y a un signe qui ne trompe pas. Des mélodies commencent à rester dans la tête, comme ça, au détour d'une rue aux Açores. Juste des petits bouts, mais ça reste. Donc cet album prend un peu, bien mieux que The Quest. Alors c'est sûr, ce n'est pas un album de Yes, mais je le prends pour ce que c'est. Et c'est déjà pas mal. Les mecs se sont donnés du mal, c'est un peu gauche, pas tout le temps percutant, mais ils ont essayé.

Annotation :

Yes se donne un mal chien pour sonner comme Yes.

La basse comme Chris Squire, bien chouette, les guitares de Steve Howe, bien 70's. Alan White fait le minimum syndical, Downes est pratiquement absent, ou non inspiré dans ses solos. Il y a bien plus d'arrangements vocaux qui masquent l'essentiel, la voix de Jon Davison, fade, sans consistance.

Pas un moment je suis touché (à part la perle "Dare to know"), "Leave well alone" est gloubi-boulga d'idées mal foutues, avec une intro dégueulasse, avec quelques passages prog intéressants, mais qui révèle bien un manque d'idées mélodiques solides ou accrocheuses. C'est fade, et je me demande ce que je fous là.

J'ai vraiment le sentiment que je peux prendre n'importe quel album de Yes (à part bien sûr "Heaven & Earth) et le trouver meilleur que "The Quest"

Allez, il est temps d'arrêter ce massacre. L'inspiration n'est plus là faut croire, et je n'ai même pas parlé du fait que sans la voix de Jon Anderson...c'est mort. J'avais pu croire que peut-être...après avoir écouté "Dare to know", mais non, c'est vraiment très moyen, on ne retient rien, on est dépité. Ils devraient changer de nom. Cela n'a plus rien à voir avec Yes

Annotation :

(...)"Allo ? Major Tom to Grand Control ??
"Allo ? Houston à la base ! Mais que se passe-t-il !?
Il est passé où Bip-Bip ?
Ah ? Ah bon.....

...et bien Bip-bip il s'est fait bouffer par le coyote."