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Adolescence

Liste personnelle.
En cours d'annotation pour répertorier les œuvres vues en rapport avec la thématique de l'adolescence.
(Je prend mon temps)

Liste de

141 films

créée il y a environ 7 ans · modifiée il y a environ 2 mois
Le Journal d'une fille perdue
7.9

Le Journal d'une fille perdue (1929)

Tagebuch einer Verlorenen

1 h 44 min. Sortie : 11 avril 1930 (France). Drame, Muet

Film de Georg Wilhelm Pabst

Docteur_Jivago a mis 9/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.

Annotation :

Censuré à son époque pour avoir abordé avec franchise et sans compromis le vice, la sexualité et la bourgeoisie, "Le Journal d'une fille perdue" reste un témoignage fort et puissant du talent de Pabst et Louise Brooks dont un simple regard en disant bien plus que n'importe quel mot...

L'Ombre d'un doute
7.4

L'Ombre d'un doute (1943)

Shadow of a Doubt

1 h 48 min. Sortie : 26 septembre 1945 (France). Thriller, Film noir

Film de Alfred Hitchcock

Docteur_Jivago a mis 9/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.

Annotation :

Alors bien installé à Hollywood, Hitchcock livre l'un de ses sommets avec L'Ombre d'un Doute où, emmené par un grand Joseph Cotten, il met remarquablement en scène un thriller aussi passionnant qu'intense et bien ficelé.

Sergent la terreur
6.1

Sergent la terreur (1953)

Take the High Ground

1 h 41 min. Sortie : 17 août 1954 (France). Guerre

Film de Richard Brooks

Docteur_Jivago a mis 7/10.

Annotation :

En signant Take The High Ground, Richard Brooks nous emmène au cœur de l'entraînement de l'armée, pour y suivre le destin d'une jeune troupe et d'un sergent trop exigeant et à poigne.
Il met en scène un film intéressant à bien des égards, tant dans son traitement humain que dans la vision de l'Armée, qui est ici incapable de s'adapter à ces jeunes. Finalement, le film est plus triste qu'il en a l'air, Brooks met en scène des sentiments qui ne parviennent pas vraiment à s'unir ou à s'exprimer, à travers des personnages intéressants et en particulier celui interprété par un excellent Richard Widmark. Le contexte est intéressant, l'entrainement est bien mis en scène et quelques séquences sont marquantes, alors que le personnage féminin est aussi profond et bien intégré à cette histoire, sans qu'il y ait besoin de plus développer le fond (son divorce, le lien avec les deux militaires ...).

À l'est d'Eden
7.5

À l'est d'Eden (1955)

East of Eden

1 h 55 min. Sortie : 19 octobre 1955 (France). Drame

Film de Elia Kazan

Docteur_Jivago a mis 9/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

En adaptant le livre de John Steinbeck, Elia Kazan revisite le mythe d'Abel et Caïn, ici dans le sud des États-Unis, durant la première guerre mondiale. Tout semble ici parfait, que ce soit le scénario, la mise en scène faisant ressortir la dramaturgie des personnages et enjeux ou encore les acteurs, James Dean en tête. Un drame familial poignant dôté d'une intelligente et passionnante étude de caractère.

Graine de violence
7.1

Graine de violence (1955)

Blackboard Jungle

1 h 41 min. Sortie : 23 juillet 1955 (France). Drame

Film de Richard Brooks

Docteur_Jivago a mis 7/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Richard Brooks signe avec Graine de Violence une œuvre importante, introduisant le fameux Rock around the Clock au générique et évoquant un professeur face à une classe (très) difficile.
L'œuvre est marquante, par des images, des propos (contre le racisme, sur le métier de prof ou la délinquante) ou des comédiens, de quoi faire oublier son, parfois, manque de finesse. Les comédiens sont très bons, et l'image d'un Sidney Poitier déjà très charismatique ou d'un Glenn Ford n'abandonnant jamais restent gravés en mémoire.

La Fureur de vivre
7.3

La Fureur de vivre (1955)

Rebel Without a Cause

1 h 51 min. Sortie : 28 mars 1956 (France). Drame

Film de Nicholas Ray

Docteur_Jivago a mis 8/10.

Annotation :

Nicholas Ray nous entraîne dans la tourmente adolescente, sublimant un immense James Dean et une toute jolie Natalie Wood, sachant créer une ambiance forte et une tension qui le sera tout autant, notamment dans le dernier acte.

Marqué par la haine
7.8

Marqué par la haine (1956)

Somebody Up There Likes Me

1 h 53 min. Sortie : 14 février 1957 (France). Drame, Biopic, Sport

Film de Robert Wise

Docteur_Jivago a mis 9/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.

Annotation :

Comme un uppercut en pleine poire, Marqué par la Haine vient confirmer l'immense talent de Paul Newman, Robert Wise et du Hollywood de ce temps-là, proposant une charge émotionnelle et une plongée immersive dans une époque pas si lointaine mais révolue et semblant si loin.

Thé et Sympathie
7.6

Thé et Sympathie (1956)

Tea and Sympathy

2 h 02 min. Sortie : 5 novembre 1956 (France). Drame

Film de Vincente Minnelli

Docteur_Jivago a mis 6/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

En signant Thé et Sympathie, Vincente Minnelli s'attaque aux sujets assez sensibles du harcèlement et de la non acceptation, signant une oeuvre plutôt subtile et mise en scène avec un certain raffinement. Jamais réellement transcendante, elle n'en reste pas moins captivante, grâce à des personnages attachants et bien interprétés, ainsi qu'un véritable savoir-faire derrière la caméra.

La Loi du Seigneur
6.1

La Loi du Seigneur (1956)

Friendly Persuasion

2 h 20 min. Sortie : 1956 (France). Western

Film de William Wyler

Docteur_Jivago a mis 6/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Palme d'or au festival de Cannes 1957, Friendly Persuasion permet à William Wyler d'étudier la vie d'une famille alors que la Guerre de Sécession arrive peu à peu au porte de leur village. Si l'oeuvre n'est jamais transcendante, elle n'en demeure pas moins captivante, grâce principalement à son classicisme maîtrisé, ses riches tableaux de personnages ou encore le contexte du film, cette époque révolue, tout comme les mœurs, surtout dans une famille religieuse comme celle dépeinte. Il étudie plusieurs dilemmes autour des choix de vies, de la Guerre ou encore de l'amour, et il est bien aidé par de bons comédiens, tant les plus vieux (Gary Cooper, toujours parfait en socle familial) que les jeunes, à l'image d'Anthony Perkins.

Bagarres au "King Creole"
6.2

Bagarres au "King Creole" (1958)

King Creole

1 h 56 min. Sortie : 1 avril 1960 (France). Drame, Musique

Film de Michael Curtiz

Docteur_Jivago a mis 7/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.

Annotation :

Michael Curtiz sublime le King Elvis Presley en signant King Creole, jouant à la fois sur l'aspect musical, celui du film noir ou encore la sortie de l'adolescence, et mettant parfaitement et audacieusement en scène une Nouvelle-Orléans en proie aux voyous, ruelles sombres et musiciens.

Danger planétaire
5.4

Danger planétaire (1958)

The Blob

1 h 26 min. Sortie : 1 avril 1960 (France). Épouvante-Horreur, Science-fiction, Thriller

Film de Irvin S. Yeaworth Jr.

Docteur_Jivago a mis 5/10.

Annotation :

Commençant comme un teen movie des années 1950, Danger Planétaire finit par nous présenter le fameux Blob, créature visqueuse extraterrestre, moche mais tuant les humains.
Alors, c'est quand même décevant, car si on rentre vite dans le vif du sujet, il y a un long temps où il ne se passe pas grand chose, avec des dialogues guère intéressants et une "enquête" où l'atmosphère est absente. Il faut attendre les 25 dernières minutes pour avoir un soupçon d'ambiance horrifique, et cette dernière partie fonctionne, occasionnant ainsi des regrets sur le potentiel non atteint de ce Danger Planétaire.
Finalement, l'intérêt n'est plus forcément dans le côté montre, mais plus dans celui de découvrir un jeune Steve McQueen, dont c'est le premier rôle principal au cinéma, ainsi que dans son cadre, des ados dans une petite ville américaine des années 1950.

Le Temps du châtiment
7

Le Temps du châtiment (1961)

The Young Savages

1 h 43 min. Sortie : 23 août 1961 (France). Drame, Policier

Film de John Frankenheimer

Docteur_Jivago a mis 8/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.

Annotation :

Le Temps du Châtiment permet à John Frankenheimer de sublimer Burt Lancaster voyant la violence et la désillusion augmenter dans certains quartiers et au sein d'une jeunesse qui n'a plus de repère, il signe une œuvre marquante, plutôt sombre et tentant d'être au plus près de la cruelle réalité.

La Fièvre dans le sang
7.8

La Fièvre dans le sang (1961)

Splendor in the Grass

2 h 04 min. Sortie : 31 janvier 1962 (France). Drame, Romance

Film de Elia Kazan

Docteur_Jivago a mis 10/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.

Annotation :

Porté par la magnifique et brillante Natalie Wood qui ne m'a jamais laissé indifférent, Splendor in the Grass m'a fortement marqué et pris aux tripes comme peu de films ont su le faire. Une oeuvre bouleversante où Elia Kazan montre à nouveau quel brillant metteur en scène il était.

Le Départ
6.9

Le Départ (1967)

1 h 29 min. Sortie : 6 décembre 1967 (France). Comédie dramatique

Film de Jerzy Skolimowski

Docteur_Jivago a mis 6/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.

Annotation :

Finalement ce sera un succès critique et dans les festivals, notamment à Berlin, pour Le Départ, où Jerzy Skolomowski capte bien cette jeunesse un peu naïve et désinvolte, de manière parfois presque burlesque, libre et légère, au rythme d'une belle partition free-jazz.

If....
7

If.... (1968)

1 h 51 min. Sortie : 21 mai 1969 (France). Drame

Film de Lindsay Anderson

Docteur_Jivago a mis 5/10.

Annotation :

En signant If..., Lindsay Anderson semble marqué par les événements de Mai 1968 et signe une charge contre l'ordre, la scolarité et la bourgeoisie anglaise, mettant ses personnages face à leurs instincts et libertés. Plusieurs idées sont plutôt bonnes mais la mise en scène l'est moins, plus poussive et faisant surtout penser à une succession de scène, plus ou moins pertinente, qu'à un vrai film, qui lui finit par devenir poussif. Il reste tout de même quelques passages marquants, surtout les plus sauvages tant ils sont authentiques, et un Malcolm McDowell renversant, et on comprend pourquoi c'est en ayant vu ce film que Kubrick l'a choisi pour le rôle principal d'Orange Mécanique.

Une histoire d'amour suédoise
7.2

Une histoire d'amour suédoise (1970)

En kärlekshistoria

1 h 55 min. Sortie : 4 juin 2008 (France). Drame, Romance

Film de Roy Andersson

Docteur_Jivago a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

C'est une simple et adolescente histoire d'amour que Roy Andersson met en scène, il capte à travers cette histoire, la simplicité de la vie et l'insouciance, tout en montrant le mur avec le monde adulte, un monde con disons-le.
Pourtant ces jeunes ont aussi des problèmes, bien spécifiques, plus naturels aussi, qui concerne directement les sentiments, que ce soit amoureux ou la haine ou la joie. Et c'est beau.
Andersson n'a pas besoin d'insister sur le fond, tout passe par la forme, par sa mise en scène, il y a peu de dialogues, mais des jeux de regards, l'utilisation des lieux ou de la musique, et ça fonctionne, c'est vrai et beau.

Deep End
7.5

Deep End (1970)

1 h 32 min. Sortie : 15 décembre 1971 (France). Comédie, Drame, Romance

Film de Jerzy Skolimowski

Docteur_Jivago a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Prenant comme cadre un établissement de bains publics londoniens, Jerzy Skolimowski signe avec Deep End une chronique adolescente aux crépuscules du Swinging London. Il décrit un univers où la révolution sexuelle est passée et dérive dangereusement vers le commerce des corps. Les personnages sont atypiques, et on est fasciné par leur déambulation plus ou moins sordide dans de décors pourtant colorés, le tout avec de bons comédiens, à l'image de la jolie Jane Asher, ainsi qu'une très bonne bande-originale signée Cat Stevens.

La Dernière Séance
7.6

La Dernière Séance (1971)

The Last Picture Show

1 h 58 min. Sortie : 14 avril 1972 (France). Drame

Film de Peter Bogdanovich

Docteur_Jivago a mis 6/10.

Annotation :

En mettant en scène La Dernière Séance, Peter Bogdanovich jette un regard désabusé sur la jeunesse américain, bien que les adultes ne soient pas non plus épargnés, et s'il parvient à créer une ambiance adéquate, il peine à créer une vraie cohésion, multipliant les sous-intrigues qui en plus ne sont pas toujours intéressantes, à l'image des nombreuses histoires de coucheries. Les jeunes comédiens sont plutôt bons, tandis qu'on pourra aussi apprécier le cadre de l'oeuvre ainsi que la bande-originale.

American Graffiti
6.7

American Graffiti (1973)

1 h 50 min. Sortie : 1 mars 1974 (France). Comédie dramatique

Film de George Lucas

Docteur_Jivago a mis 8/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.

Annotation :

Dès le début des années 1970 l'Amérique était mélancolique, fruit d'une décennie 1960 pleine de désillusion, et George Lucas met parfaitement cela en scène avec American Graffiti, ou lorsque l'insouciance d'une course de voiture laisse place aux choix qui marqueront toute une vie, dans un cadre nocturne rêvé, accompagné d'une bande originale aux petits oignons.

La Gifle
5.9

La Gifle (1974)

1 h 44 min. Sortie : 23 octobre 1974. Comédie, Drame, Romance

Film de Claude Pinoteau

Docteur_Jivago a mis 6/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Avec La Gifle, Claude Pinoteau propose une chronique adolescente par le prisme des rapports conflictuel entres enfants et parents, se servant ici d'une éducation stricte symbolisé par un très bon, comme toujours, Lino Ventura. Il y ajoute quelques touches de mélancolie, mais aussi d'humour, à l'image d'un bon Francis Perrin, quand enfin une jeune Isabelle Adjani se montre bien à son aise dans un rôle compliqué. Ce n'est pas vraiment un grand film, ce n'est jamais transcendant, mais ça reste efficace, avec comme arrière-plan un tableau de la France des années 1970.

Carrie au bal du diable
7.3

Carrie au bal du diable (1976)

Carrie

1 h 38 min. Sortie : 22 avril 1977 (France). Épouvante-Horreur, Thriller, Fantastique

Film de Brian De Palma

Docteur_Jivago a mis 8/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.

Annotation :

De Palma propose avec Carrie au bal du Diable une oeuvre à la hauteur de sa réputation, dotée d’une atmosphère sombre et prenante, d'une très belle réalisation, de superbes interprétations et capable de s'éloigner du simple film d'épouvante pour lorgner vers le drame ou le surnaturel.

La Fièvre du samedi soir
6.1

La Fièvre du samedi soir (1977)

Saturday Night Fever

1 h 58 min. Sortie : 5 avril 1978 (France). Drame

Film de John Badham

Docteur_Jivago a mis 6/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Malgré ses quelques failles, notamment dans les tentatives d'émotions, l'oeuvre reste quand même sympathique, et surprend même par son ton assez cru donnant un peu d'authenticité à l'ensemble. Derrière le Disco se cache quelques thématiques autour du passage à l'âge adulte et des relations humaines plutôt intéressantes.

Grease
6.4

Grease (1978)

1 h 50 min. Sortie : 1 septembre 1978 (France). Comédie musicale, Romance

Film de Randal Kleiser

Docteur_Jivago a mis 7/10.

Annotation :

Travolta et Newton-John subliment une simple histoire d'amourette étudiante, façon 50's revisité à l'ère du disco, ce qui donne une comédie à la limite de l'indigestion sans jamais la franchir, et l'ensemble demeure agréable à suivre, avec quelques jolies numéros et un plaisir communicatif.

American College
6.2

American College (1978)

National Lampoon's Animal House

1 h 49 min. Sortie : 4 octobre 1978 (France). Comédie

Film de John Landis

Docteur_Jivago a mis 7/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

En signant American College, John Landis nous entraînant dans les délires d'une confrérie étudiante. Vaguement inspiré de souvenirs réels, le film prend un malin plaisir à nous faire suivre une bande de pote où la vulgarité se mêle au sexe, au je m'en foutisme ou à l'alcool. Parfois trop découpé avec une légère impression de séquences se succédant sans lien, ce n'est pas vraiment un problème vu que le plaisir est la. Les protagonistes sont attachants, c'est drôle, bourré de bonnes idées donnant des séquences mémorables, avec de bons comédiens, à l'image d'un John Belushi totalement en roue libre mais délirant.

Spetters
7.3

Spetters (1980)

1 h 50 min. Sortie : 4 novembre 1992 (France). Comédie dramatique

Film de Paul Verhoeven

Docteur_Jivago a mis 8/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.

Annotation :

Dans ce récit, Verhoeven aborde plusieurs thèmes tels que le mal être adolescent, l’amitié, l’amour, la vie et ses difficultés, l’homosexualité, la violence ou encore le rêve d’ascension sociale à travers des personnages très intéressant et pour certains attachants, notamment le champion de moto-cross local au destin le plus touchant, le réparateur homophobe ainsi que le troisième pote, un peu looser et sympathique. Il donne à son film une dimension mélancolique et émouvante et retranscrit bien la gravité et dramaturgie des différents enjeux et personnages, d'ailleurs tous très bien interprétés.

La Femme de l'aviateur
7.2

La Femme de l'aviateur (1981)

1 h 46 min. Sortie : 4 mars 1981 (France). Comédie dramatique, Romance

Film de Éric Rohmer

Docteur_Jivago a mis 7/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

C'est un simple instant de vie que Rohmer met en scène avec La Femme de l'Aviateur, il met simplement en scène l'humain, les désillusions, les petites joies ou les grandes peines, ainsi que la solitude. Il parvient à créer une ambiance prenante, utilisant principalement les personnages, les dialogues ou encore les lieux qu'il capte, sachant être juste et nous immerger dans ces histoires de cœurs et de jalousies.

Beau-Père
7

Beau-Père (1981)

2 h 03 min. Sortie : 16 septembre 1981. Comédie dramatique, Romance

Film de Bertrand Blier

Docteur_Jivago a mis 7/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

En signant Beau-père, Bertrand Blier adapte son propre roman et met en scène une oeuvre ambiguë, assez floue voire même malsaine. Pourtant, on s'attache un minimum aux personnages, il parvient à créer un climat prenant et étrange, le tout étant porté par un parfait duo de comédiens, avec Patrick Dewaere et Ariel Besse.

Georgia
7.3

Georgia (1981)

Four Friends

1 h 54 min. Sortie : 17 février 1982 (France). Comédie dramatique

Film de Arthur Penn

Docteur_Jivago a mis 6/10 et a écrit une critique.

Annotation :

C'est à l'aube des années 1980 qu'Arthur Penn propose Four Friends, ma première déception dans son cinéma où le metteur en scène ne trouve jamais vraiment le bon équilibre entre portrait d'un pays, dramaturgie, romance et amitié.

Diner
6.5

Diner (1982)

1 h 50 min. Sortie : 22 décembre 1982 (France). Comédie dramatique

Film de Barry Levinson

Docteur_Jivago a mis 7/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

En signant Diner, Barry Levinson propose un portrait désabusé de la jeunesse de la fin des années 1950, oscillant entre mélancolie, passage à l'âge adulte ou encore dernier sursaut de jeunesse. Les jeunes comédiens sont parfaits, tandis qu'il filme ça avec autant de talent que de sensibilité, voire même de décontraction.

Grease 2
3.8

Grease 2 (1982)

1 h 55 min. Sortie : 18 août 1982 (France). Comédie, Drame, Comédie musicale

Film de Patricia Birch

Docteur_Jivago a mis 5/10.

Annotation :

Cette suite qui a du mal à se justifier, tente péniblement de recopier le premier opus, et d'en prendre ce qui a fait son succès, mais sans alchimie, ou presque, avec tout paraissant moins bien, à l'image des numéros musicaux. Enfin, cela reste tout de même agréable à suivre, et on pourra apprécier une jeune Michelle Pfeiffer déjà convaincante.

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