ECM

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Disque magique de bout en bout.
Vibraphone + Piano. Et parfois le silence entre deux.

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L'oeuvre phare de Jarrett. Vous ne pourrez pas y échapper.

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Pour l'impressionnante dernière longue piste qui fait voyager dans un territoire d'avant garde où l'on s'aventurerai dans de grandes plaines et forêts désolées.

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Le St Graal de Keith Jarrett.
Pour les collectionneurs et fans. Encore que...

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Surman et ses saxos (ou clarinette)+ synthés pour une alchimie abstraite mais fascinante. Un jazz électronique mathématique et intemporel.

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Encore un énième immense disque du surdoué Jarrett au piano.
Probablement l'un de mes préférés aussi.

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Premier disque de Metheny, ici en trio pour une configuration guitare/basse/batterie où Metheny, accompagné du regretté Pastorius à la basse, déjà virevolte dans son style chaleureux immédiatement reconnaissable.

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2 notes. Une en plus parfois.
Un instrument. Voire deux.
Bienvenue dans l'épure. Choc.

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Mélancolie, douceur, chaos, tristesse... Des vagues déchirantes censées représenter le flot de la mer. Une mer noire sans doute pour un disque à écouter à la tombée de la nuit.

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Une oeuvre contemplative, planante et magique.
Je m'épanche bien plus sur ma chronique tiens, cf lien en dessous.

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Le premier disque de ce grand bassiste d'exception que fut Weber (dont la maladie depuis plusieurs années nous prive hélas d'une possibilité de nouveaux disques si ce n'est des travaux inédits que ECM doit bien garder en réserve) où déjà son style apparaît brillamment.

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L'un des meilleurs Eberhard Weber ? Probablement.
Ici accompagné d'un groupe ("Colours"), il fait des merveilles dans un style jazz-fusion propre aux premières années de ECM (et qui perso, me manque un peu de nos jours).

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Fascinant de bout en bout. En suspension.

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Jarrett et son trop rare quatuor américain dans un registre jazz à mi-chemin du free, de la fusion et de quelque chose de contemporain avec un lyrisme incroyable de bout en bout.

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Deuxième enregistrement chez ECM d'un Metheny qui cette fois élargit son champ d'action après un « Bright size life » en formule trio. Accompagné d'un jeune inconnu au piano, le tout jeune Lyle Mays (qui allait très vite devenir un compagnon de route important et pilier du Pat Metheny Group pour de nombreuses années) mais aussi d'Eberhard Weber à la basse et Dan Gottlieb à la batterie, on sent ici que Metheny a envie d'explorer d'autres routes d'emblée. En résulte, mêlé à des compositions basiques plus jazz et fusion (de qualité hein, « River quay », c'est du velours), les échappées poétiques, minimalistes et lyriques d'un « Icefire » ou « Oasis », le genre de titres magiques à écouter au coucher ou lever du soleil (si, si).

https://www.youtube.com/watch?v=AmsvPb0l2x0

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Faire oeuvre de silence, le but d'Arvo Pärt et de son classique contemporain, tendre à l'abstrait, l'ambiant, se retirer dans le néant.
Et y parvenir.

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Surman et ses saxos (ou clarinette)+ synthés pour une alchimie abstraite mais fascinante. Un jazz électronique mathématique et intemporel, Part 2.

Ici il s'agit presque façon Film Noir de redessiner les contours mélancoliques d'une ville en noir et blanc qui pourrait tout aussi bien être New York que Paris.

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Un classique de jazz-fusion qui reste encore après tout ce temps assez magistral, en plus de lancer la carrière fascinante du regretté Abercrombie. Le disque oscille constamment entre contemplation acoustique et fureur électrique avant de se calmer magistralement sur le final aérien planant et abstrait/ambiant qui le clôt et donne son titre au disque. Magistral.

https://www.youtube.com/watch?v=CHsZ_-9442o

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Pat et son groupe, jazz-fusion de qualité.

https://www.youtube.com/watch?v=w6Z7DB3JG-Y

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Pat en solo avec quelques invités pour un album de voyages.

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Contemplatif, reposé, calme, intemporel.

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Surman et ses saxos (ou clarinette)+ synthés pour une alchimie abstraite mais fascinante. Un jazz électronique mathématique et intemporel, part 3.

Pour Road to Saint Ives, qui concentre le fruit de nombreuses marches et méditations dans une petite ville isolée à la pointe des Cornouailles qui donne son nom à l'album donc, on ne peut qu'apprécier la dimension tour à tour lyrique, méditative, mystique et contemplative d'un Surman qui une fois de plus fait des miracles. D'un « Tintagel », pièce majestueuse de 12mn dotée de claviers liturgiques et en recueillement au génialement labyrinthique « Rame Head » sans oublier les fameuses boucles électroniques chères au bonhomme sur « Mevagissey » et « Piperspool » (ma préférée du disque?) ou les mélodies poignantes d'un « Bodmin Moor » ou « Bedruthan Steps », tout Surman semble ici atteindre des sommets déjà entraperçus dans de précédents autres disques.

Extrait Piperspool : https://www.shazam.com/fr/track/10862104/piperspool

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Un des nombreux trésors cachés du label.
Eberhard Weber et son son de basse si particulier accompagné juste d'un piano (ou synthé) et d'un orchestre symphonique pour une direction privilégiant un jazz atmosphérique et ambiant des plus magiques.

Extrait Moana : https://www.shazam.com/fr/track/10941026/moana-ii

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Entre jazz-folk, ambiant et influences world. Superbe, aérien et immensément contemplatif. De l'écho et du silence entre chaque cordes de la guitare de Tibbetts, comme le temps qui a ralenti. Cela et l'alliance de petites percussions magiques laisse rêveur...

https://www.youtube.com/watch?v=561R0nMhnjw

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Towner, seul, avec sa guitare pour des morceaux à moitié improvisés et rêveur. Un disque magnifique et intime à réévaluer.

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L'année d'avant, "Diary" (1973), le montrait au délicat exercice d'intimité, seul avec son instrument (et à la limite deux-trois petites choses en plus). Towner choisit ici l'exercice du jazz-fusion dans le plus pur style ECM (voir aussi l'excellent "Timeless" de John Abercrombie plus haut), c'est à dire souvent aérien, contemplatif, mélancolique et un peu glacé mais dans une tonalité inédite car essentiellement acoustique.

Il n'empêche qu'ici, accompagné de Jan Garbarek (Saxo & flûte), Jon Christensen (batterie et percussions) et Eberhard Weber --mon chouchou (à la contrebasse et violoncelle), il fait de sacrés belles étincelles. En témoignent les 11 minutes majestueuses de "Oceanus", "Nimbus" et son motif qui se répéte le temps du refrain (on dirait un titre de Weber... lequel compose "Sand", la dernière piste au passage) ou la douce mélancolie de "Drifting petals".

Nimbus... en acoustique live et solo très épurée (impressionnant toutefois) : https://www.youtube.com/watch?v=LoQVtRO3CWk

Et... Sand en version originale issue du disque : https://www.youtube.com/watch?v=z3TfjPMwBj4

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Expérience fascinante fondée sur les voix et mélodies cycliques, Azimuth était un trio de jazz contemporain fusion et ambiant basé sur la trompette de Kenny Wheeler, le piano et synthé de John Taylor et la voix de Norma Winstone qui exista le temps de deux décennies mais seulement une poignée de disques (tous chez ECM). Ce premier disque est d'emblée une telle réussite qu'elle donne avidemment envie de continuer très vite l'aventure, bravo les musiciens ! ECM c'est pour quand la réédition, sérieux ? :/

The siren's song... avec orchestre symphonique : https://www.youtube.com/watch?v=exEiwTzvjAM

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Eberhard Weber ne publie qu'un disque sous son nom dans la décennie 90's mais quel disque ! Juste lui à la basse et quelques petits effets de synthé par ci- par là. Et c'est tout. Surtout un énorme travail sur le son et l'espace. Cela pourrait être austère, c'en est génial de maîtrise, tout bonnement renversant. Où quand la technique s'allie parfaitement à la mélodie.

https://www.youtube.com/watch?v=yHFkVLz66Uw

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Terje Rypdal, l'un des guitaristes principaux du label qui monte dans les années 80 un court projet de groupe de jazz-fusion contemporaine glacée et élégante qui fait part d'une certaine classe. Le bonhomme ne cesse de m'impressionner.

https://www.youtube.com/watch?v=dfLT_SCFaHg

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Le guitariste David Torn réunit quelques pointures (Mark Isham, Tony Levin et Bill Bruford, excusez du peu !) pour un disque de jazz contemporain électronique, cyclique et atmosphérique mystique et fascinant au son hautement métallique, toujours sur la brèche ! On croirait entendre parfois ça et là Steve Reich, Steve Tibbetts, voire... le King Crimson hautement technologique des années 80 par moments (et pas que parce que Bill Bruford est là, hein), notamment sur un titre comme « Three minutes of pure entertainment » (qui fait bien plus que trois minutes!). Troublant.

https://www.youtube.com/watch?v=b-CjU08gWHE