Illuminations sept. 2016/août 2017

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Anthologie un peu redondante.

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Étrange... expérience...

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"Il y a des êtres qui justifient le monde, qui aident à vivre par leur seule présence."

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Drame signé Ibsen trouvé pour 2 sous dans une brocante.

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Le style est génial ; par contre l'histoire est trop connue pour me sembler passionnante.

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Âmes sensibles, abstenez-vous.

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J'aime pas trop Maupassant (smiley confus deux points slash).

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Livre dense et intéressant ; seulement je n'ai aucune affinité ni avec le style, ni avec le sujet, ce qui a rendu ma lecture quelque peu désagréable. J'ai donc décidé de ne pas le noter, de peur d'être passé à côté de son message principal et de descendre sa moyenne de façon injustifiée.

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Chef-d'oeuvre. Il faut que je dégote d'autres Kawabata.

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Excellent thriller qui offre des éléments de réponse sur la décadence de la société japonaise. Un adepte des raccourcis l'aurait sans doute qualifié d'American psycho nippon.

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Bon roman, très intéressant, dont la construction fait, à mon humble avis, un peu défaut, et au style trop typique. Les personnages et les situations sauvent l'intérêt de la lecture de façon individuelle.

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Poser des mots sur ce chef-d'oeuvre serait le défigurer, hélas.

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Ça reste un de mes maîtres à penser, plusieurs de ses textes présents ici sont admirables ; mais bon, je suis d'accord pour dire qu'on ne retrouve pas le "souffle" de ses plus grandes oeuvres.

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Étienne Lantier est l'un de mes personnages préférés de la littérature française.

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Profitez-en : j'ai écrit une critique. C'est rare.

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C'est très très loin d'être son meilleur, à Modiano. Et j'ose le dire, même si j'en ai lu que trois... Les deux autres étaient bien meilleurs...

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Le dénouement est exceptionnel !

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Découvert grâce à mon pote Michel Houellebecq.

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3ème Hermann Hesse présent dans la liste.

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La force de la parabole.

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On aime bien Maldoror ici, à ce que je vois...

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Chef-d'œuvre ! On y navigue mieux que dans L'Idiot ou dans Les Frères Karamazov, c'est certain. C'est par-là qu'il faut entamer le trésor énorme qu'est le travail littéraire de Dostoïevski.

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Je n'ai pas trouvé que c'était du grand Philip Roth comparé à Portnoy et son complexe ou encore Pastorale américaine... Ca reste un bon livre, mais j'en ressors assez déçu tout de même.

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J'ai lu ce classique juste pour être sûr que je n'allais pas aimer... Déjà que les tragédies grecs me gonflent... Alors en plus avec un style contemporain... Ce n'est pas du tout pour moi.

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Je conseille ce livre à tous ceux qui rêvent d'aller un jour visiter l'Islande de fond en comble tant son apport au niveau historique et culturel est important.

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Implacable et accessible. Bientôt le t.2 dans la liste j'espère. (Ah le t.2 constitue donc un manque ! Une petite souffrance... Tant pis hein...)

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Attention, attention... ! Non seulement on se marre comme des baleines au début, mais en plus de ça c'est un roman très fin (au sens figuré, oui, parce qu'au sens propre, il fait quand même 550 pages), très intelligent. Gontcharov est un patron, avec un personnage d'une mollesse folle, il a réussi à écrire son roman sans épuiser le lecteur, au moyen de nombreux dialogues infiniment réalistes (après tout, l'auteur faisait partie de ce courant-ci), de paragraphes assez émotionnels dans les dernières parties du livre qui, par ailleurs, est irréprochable dans sa construction. Oblomov (le roman, le personnage) laisse une empreinte indélébile. Disons-le : c'est exceptionnel !

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Histoire d'amour que je n'ai pas trouvée très stimulante. En revanche, les descriptions purement héritées de la poésie japonaise sont toujours aussi plaisantes à lire.

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Il y a quelque chose de prodigieux avec ce livre : il est à hurler de rire par moment, grâce à son registre burlesque ; Yann Moix est un styliste d'un talent indiscutable ; le fond est intéressant ; et pourtant, ET POURTANT, malgré tous ces éléments qui vont en sa faveur, on a quand même envie de le balancer par-dessus son épaule quand on le referme. Donc, oui, j'ose le dire : ça tient du prodige d'écrire un roman aussi bon objectivement tout en le rendant horripilant comme ce n'est pas permis. Bien joué. Du coup je ne le note pas, ça ne sert à rien... Cette ode à l'excès m'a suffisamment épuisé pour que je saute plusieurs cinquantaines de pages inutiles...
De toute façon ma note ce serait certainement approchée de la moyenne du livre, donc référez-vous à celle-ci, je pense qu'elle est justifiée...

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Charles Dickens est un auteur qu'il manquait à mon palmarès. Dès les premières pages d'Oliver Twist, j'ai su que j'allais vite remédier à cela.
Le style est admirable, si bien que j'ai cru, pendant 300 pages, que je m'apprêtais à attribuer un 10/10, mais c'était sans compter sur le rythme du livre car, même si je reconnais le chef-d'œuvre, je reconnais aussi la publication du XIXème siècle sous forme de feuilleton qui semble, à tort ou à raison, étirer le récit. C'est dommage ; mais hormis ça, je me réjouis de bientôt découvrir le reste des œuvres notables de Charles Dickens, car le bonhomme m'a fait passer un moment inoubliable dans ma vie de lecteur.