Jeux 2018, liste commentée

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Fini le 2/01.

Visual novel faisant suite à Analogue A Hate Story, mais racontant ce qu'il s'est passé avant les événements du premier. Le jeu a pris un coup de vieux du point de vue mécaniques de jeux, ne proposant que des textes suivants une poignée de destins croisés à lire au fur et à mesure, entrecoupés de dialogues à choix avec une IA sans grand rapport avec l'intrigue. Cependant, la qualité de l'écriture est bien là comme toujours chez Christine Love, et permet de profiter d'une très bonne histoire dans la veine de The Handmaid's Tale mais avec des personnages coréens.

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Fini le 03/01.

Un clicker game qui ne paie de mine de prime abord, mais qui intègre subtilement une narration intéressante au fil des objectifs (et des gameplays) changeants. Pas évident à optimiser ce qui le rend intéressant. Un bon run sur deux jours au taf.

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Repris pour finalement en voir la fin le 5/01.

Toujours aussi excellent 5 ans après. Je me suis fendu d'une critique pour l'occasion.

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Fini le 8/01.

Le problème principal est que je n'ai pas cru un instant au scénario, aux enjeux, aux personnages. Les choix de dialogues proposés m'ont paru le plus souvent incohérents avec le personnage de Batman/Bruce Wayne. Côté gameplay, les puzzles sont simplistes et indignes du "greatest detective" et les phases de combats en QTE souffrent des lacunes techniques dont Telltale est coutumier.
Bref, une expérience très dispensable.

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Fini le 9/01.
Excellente campagne solo qui, si elle ne m'a pas convaincu sur le plan narratif, m'a bien diverti et m'a gardé en haleine par son rythme effréné et variété toujours renouvelée.

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Fini le 10/01.

Plus proche d'un essai interactif qu'autre chose, le jeu n'est pas inintéressant et la curiosité et l'émerveillement de la découverte sont des bons moteurs de l'expérience les premiers temps, mais le fait que chaque élément de l'univers ait les mêmes propriétés et actions à disposition, bien qu'essentiel au message du jeu, limite au final l'attrait. Les trophées ont en dernier recours fournit la justification d'y rester au delà des premières heures.

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Fini le 28/01

Un puzzle platformer efficace, même si j'aurai aimé accrocher davantage à la trame narrative

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Fini.

Enfin joué après des années à en entendre parler en bien, il est difficile pour le jeu d'être à la hauteur presque 10 ans après. On sent bien l'ambition narrative du titre, l'originalité de la structure en épisodes, l'apport du côté littéraire avec ses pages de manuscrit qui attisent la curiosité sur la suite et permettant d'étoffer les tourments intérieurs des personnages (qui se manifestent déjà à travers les décors et les ennemis...). Mais je reste tout de même déçu par les personnages, Alan au premier rang, à qui j'ai eu du mal à m'attacher. Barry s'en sort étonnament bien en comic relief.
Le gameplay à base de jonglage entre munitions et lumière est générateur d'une tension appropriée, et se défait de tout système superflu comme des upgrades, mais le tout est rapidement répétitif contre des ennemis peu variés.

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Fini.

Si c'était pour faire ça, valait mieux s'abstenir. On ne retient rien des forces de l'épisode original, la narration pulp est ridicule, les personnages n'ont aucune épaisseur, les manuscrits perdent de la valeur narrative et ne deviennent que des powerups, le feeling des combats est beaucoup trop accéléré et donc sans tension, et c'est par nature bien répétitif sans que cette répétition apporte grand chose.

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Fini le 1/02
Un point & click court et rafraîchissant, qui suit un personnage peu orthodoxe, puisque c'est un rabbin. L'histoire, bien rythmée, ne se disperse pas, et traite de thèmes sérieux sans oublier des pointes d'humour dans le ton. Les énigmes ne sont pas trop guidées sans être difficiles, et sont de plus très bien intégrées dans l'histoire. Bref, une excellente surprise qui me conforte dans ma volonté de me remettre à la série Blackwell, du même développeur.

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Fini le 4/02.
J'ai détesté la première heure de jeu, avec ce personnage qui se vautre toutes les 2 secondes quand on essaye simplement de marcher, ces graphismes low poly qui n'empêchent pas le jeu de ramer par moments, et cette progression qui m'a paru trop lente. Heureusement, une fois le détecteur de cristaux récupérés via uPlay (une décision incompréhensible que de limiter l'accès à cet outil), mon aventure s'est muée en quête au trésor, escaladant chaque façade rocheuse ou végétale, guidé par le "chaud/froid" du détecteur. Cela m'a également permis de débloquer plus aisément des upgrades à mon jetpack, et de rendre ainsi la navigation plus dynamique. Ensuite, le charme low poly a agi sur moi lors de la découverte des belles iles dans le ciel, avec cascades infinies et faune et flore étranges. En fin de partie, le jeu peut toujours compter sur la sensation grisante de fendre le ciel en utilisant une feuille comme deltaplane ou de se prendre pour Iron Man avec un jetpack infini.
Un plaisir simple et enfantin.

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Fini le 6/02
Offert dans le PS+ il y a quelque temps, le côté jeu d'aventure humoristique à la Telltale m'a pas mal accroché. J'avoue ne pas avoir eu la patience de me passer d'un guide pour certaines énigmes, mais j'étais surtout là pour le scénario, donc pas de complexe. De ce côté, j'ai été plutôt pas mal servi, mais rien qui ne me presse d'acheter les épisodes suivants pour autant.

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Fini le 8/02.

Un puzzle game très froid et un peu trop frustrant pour mes goûts. Pas eu la patience de me passer d'une soluce pour le terminer.

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Exclusive Targets
The Sensation : pas pu jouer dans l'intervalle donné
The Gunrunner : contrat réussi (distraction des gardes avec un explosif, puis headshot et fuite discrète)
The Broker : contrat réussi (headshot sur la terrasse puis fuite par le sous sol après course poursuite sous les balles)
The Twin : contrat réussi (seringue de poison puis fuite en bateau après course poursuite sous les balles)

Campagne Patient Zéro finie

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Rejoué en 2018 pour terminer tous les cauchemars.
A leur propos : leur challenge est inexistant avec ces ennemis qui tombent majoritairement en deux balles sans réellement se défendre, dans des niveaux trop grands et sans relief. Bref, j'ose espérer que le jeu d'origine avait plus d'intérêt.
Mais bon, trophées...

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Fini le 11/02.
Petit puzzle game indé à l'esthétique très léchée autour d'une narration minimaliste intrigante, mais qui ne décolle jamais vraiment. Le jeu repose beaucoup sur l'exploration et la résolution de puzzles très simples. Jolie expérience mais pas réellement mémorable.

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Fini le 12/02.
Point & click à l'humour bien anglais largement ponctué de références vidéoludiques, doté d'énigmes très accessibles, Her Majesty's SPIFFING déçoit seulement par sa brièveté et sa fin trop abrupte.

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Fini le 14/02.
Un match-3 classique mais efficace qui arriverait presque à me faire envisager de jouer à Knack (puisqu'on débloque des upgrades en y jouant).
Edit: il a réussi à me faire jouer à Knack après m'avoir fait jouer assez pour débloquer toutes les versions alternatives améliorées du personnage. Malheureusement, celles-ci ne sont disponibles qu'une fois le jeu terminé une première fois...

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Fini le 23/02.
Un visual novel sympathique mais finalement, les subversions tant vantées du genre sont peut-être trop peu, trop tard eu égard à la réputation du titre. Dans un genre pas si lointain, j'avais été bien plus bluffé par Save The Date.

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Fini le 23/02.

Une séquence de jeu originale et mélancolique. Ce n'est pas un jeu révolutionnaire ou particulièrement ambitieux, c'est juste une expérience éphémère, touchante et juste.

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Un excellent jeu de coop locale qui oblige au moins deux joueurs à travailler de façon asymétrique à désamorcer des bombes de plus en plus complexes. Chaque bombe est composé de modules de plus en plus élaborés, que l'on doit résoudre à l'air du manuel qui édicte. C'est donc une course contre la montre pour communiquer les informations nécessaires, trouver la solution dans le manuel et exécuter sans ciller les bonnes commandes sous la pression du compte à rebours.
Chaque partie est très rapide, le jeu est accessible à tous les types de joueurs même les plus débutants, et l'on se prend au jeu très rapidement.

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Fini le 4/03.

Un jeu ou l'on fouille un téléphone pour en savoir plus sur son propriétaire. L'écriture est un peu gentillette mais les personnages sont bien évoqués en quelques bribes de textes et la progression se fait de manière bien naturelle. Le côté militant du projet est difficile à ignorer mais cela ne nuit pas à l'expérience.

Je conseille le documentaire de Split Screen après avoir fini le jeu https://www.youtube.com/watch?v=Sy5CP7rxDoQ

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Fini le 4/03.

Dans le même style qu'A Normal Lost Phone, mais centré sur un thème thriller/horreur, le jeu m'a un peu perdu avec ses interactions avec le Siri-like prenant vie dans le téléphone. La progression parait plus artificielle et les choix à la façon Telltale ne m'ont pas plus impliqué que cela, n'ayant pas réussi à m'attacher aux personnages au travers des bribes narratives présentées auparavant.
Finir le jeu, certes gratuit, par une pub pour le dernier jeu du studio a achevé de ternir l'image que le jeu m'a laissé.

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Fini la campagne en mode débutant le 4/03.

Une excellente surprise que j'arrive enfin à accrocher à un jeu Klei. La formule infiltration/piratage au tour par tour façon roguelike marche à merveille, avec une tension qui monte constamment, des contraintes importantes dûes à nos ressources bien limitées, qui donnent du sens au choix aux différentes échelles de la campagne (quels personnages sélectionner, quelles missions jouer, quelles compétences/gagdets/programmes acheter, quels terminaux hacker malgré les risques, etc).
J'y reviendrai sans doute dans des difficultés plus élevées.

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Fini le run de base.

Un roguelike tour par tour très élégant sur mobile, ou l'on doit surtout bien se positionner et choisir ses upgrades pendant les premiers niveaux, pour essayer de survivre le plus longtemps. Les débuts de partie sont rapidement trop faciles et un peu redondants, mais les attaques sont très satisfaisantes, le format court est très adapté au mobile, et l'on relance une partie de plus à chaque mort. Un vrai plaisir découvert grâce aux articles de Tom Francis sur son Morphlite, malheureusement indisponible sur mobile.
Il existe aussi un mode challenge, ou il faut survivre à trois niveaux avec des compétences imposées, ça permet de se familiariser avec d'autres compétences, et de se tester. J'y rejoue régulièrement avec plaisir.

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Fini le 11/03
5 personnages, 5 villes, une aventure extraordinaire qui embrasse à la fois le spectaculaire et le quotidien, un combat à mains nues contre un ours et les discussions avec un chauffeur de taxi qui respecte le code de la route. La générosité déborde, non seulement avec les désormais classiques minijeux auxquels je joue rarement (arcade, jeux de hasard et d'argent), mais surtout avec les activités mieux intégrées à l'intrigue, comme le baseball, la danse d'Haruka, les batailles de boules de neige à Sapporo, la chasse, le taxi, et même la découverte des restaurants de chaque ville.
Comme souvent, ce sont les quêtes annexes qui volent la vedette et regorgent de moments tristes, drôles, ridicules, touchants.

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Fini le 13/03
Un match-3 original et malin, mais au final, j'ai l'impression que trop de choses dépendent du tirage aléatoire, on n'a pas toujours assez d'éléments pour prendre des décisions intelligentes, et au final, c'est assez frustrant, surtout la fin de partie ou les chances de se sortir de l'impasse me paraissent trop réduites.

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Fini le 16/03
Repris en facile après avoir bloqué sur un boss lors de mon run en normal il y a plusieurs années.
Et bien c'était cool, surtout l'ambiance western, la variété des munitions et donc la liberté d'approche. En facile, le rythme est bien plus sympa, et le crescendo final moins frustrant.