~ Lectures 2015 ~

Annotation :

Février

L'un de mes pires calvaires littéraires, j'ai du le commencer en octobre de l'année passée, pour l'achever début février.

Un calvaire, parce que j'avais adoré le Procès, et apprécié la Métamorphose, et que le Château est tout à fait dans la lignée de ceux-ci. Sauf qu'il y a une unité de lieu et de temps encore plus grande que dans le Procès, et encore moins d'action. Le tout donne des dizaines de pages qui s'enchainent pour une simple discussion, et qui sont en fait contredites par un autre débat de 10 pages juste après. Et tout s'embrouille, s'emmêle, sans passionner.

Alors que ça reste prodigieusement intelligent.

Annotation :

Février

La compensation après Kafka, un court livre de Perec, très expérimental, et dont le concept est assez rigolo, mais qui s'oublie aussi vite qu'il se lit.

Annotation :

Mars

Annotation :

Mars

Mon deuxième Schnitzler après Mademoiselle Else, et j'ai découvert après que c'était le livre qui avait très largement inspiré Eyes Wide Shut ! Une nouvelle qui se lit très bien, avec les mêmes thématiques intemporelles que celles du film, bien que le contexte soit très différent (Vienne, années 20, New-York, 90's). Beaucoup de psychologie, de réflexions malsaines et un héros bien plus intéressant qu'au cinéma. Forcément.

Annotation :

Mars

Critiqué

Annotation :

Mars

Un livre assez bref, qui tente de reproduire l'atmosphère d'un roman japonais. Ça a en a la légèreté, mais pas la profondeur. Ça se lit néanmoins avec plaisir, de par l'écriture ciselée et quelques passages magnifiques.

Annotation :

Mars

Stefan Zweig, mon premier amour littéraire. Je ne connaissais pas du tout cette nouvelle, qui détonne parmi ses autres écrits, de par son contexte (l'Inde) et sa narration digne d'un conte, ou d'une légende.

Virata, c'est une fable intelligente, très simple et toujours superbement écrite. Ça prend une heure de vie, et ça prouve encore une fois que les écrits de Zweig sont très éclectiques.

Annotation :

Mars

Critiqué !

Annotation :

Avril

Un essai politique très intéressant, sans doute le plus intéressant que j'ai pu lire. Mais ce fut une lecture ardue. Critiqué.

Annotation :

Avril

Jamais je ne retrouverai un recueil de nouvelles de Borges semblable à Fictions, mais ce Rapport de Brodie fut une lecture plaisante. Borges a trouvé son style, s'y conforme, n'expérimente plus grand chose et sert des histoires plus convenues, mais maitrisées. Avec toujours cette pointe de réflexion profondément humaniste et ces mots si justes. Mention spéciale aux deux nouvelles qui évoquent "l'immortalité des armes" et aux deux dernières, particulièrement réussies. Étrangement, c'est peut-être le Borges le plus abordable, alors que ce fut son dernier.

Annotation :

Avril

Le style est extrêmement pénible, lourd et trop appuyé. Mais le propos est parfois intéressant, dommage que ce soit noyé dans ce flot de vulgarités et d'idées parfois trop capillotractées. Les réflexions sur le viol, la prostitution et la pornographie donnent en tout cas une autre perspective.

Annotation :

Avril

Annotation :

Avril

Annotation :

Avril