Lectures 2021

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Balzac aux sources du capitalisme. L'argent comme moteur de la société, élevant certains petits, rabaissant les puissants. Un personnage d'avare attachant qui évite le cliché. Du tout bon.

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Histoire légère et agréable sur la difficulté de vivre une vie conjugale saine, la grande marotte du Balzac des débuts.

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Une courte nouvelle pleine de vie et de facétie.

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Un traitre parfois fabuleux, souvent minable. Une histoire marquante où le fantastique semble l'expression des tourments psychologiques. Le style, moins pompeux que d'habitude, est un régal. Dommage qu'aucun personnage ne puisse paraitre vraiment cohérent dans cette précipitation constante imprimée à l'intrigue.

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(Relecture)

Ces nouvelles sont bien mieux passées la seconde fois. Ne m'attendant plus à être surpris par ces petites intrigues, j'ai pu davantage apprécier ces variations sur le thème de la possession surnaturelle et l'ambiance savoureusement délétère qu'elles distillent.

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(Relecture)

Il semble bien que ce philosophe soit mon préféré, à ce stade de mes lectures présocratiques. Cependant, comme il ne s'agit que de fragments, il me faut supporter le frustration de l'inachevé.

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Une fin digne du Cimmérien, des morceaux de bravoure qui laissent souvent une étonnante amertume. Plus que jamais, on ressent le combat titanesque que l'auteur livre, en vain, contre le désespoir et la mort.

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Anacréon est le seul auteur de l'antiquité qui a donné son nom à un genre: le poème anacréontique ("homérique" ne désigne pas à proprement parler un genre littéraire). Seuls des fragments nous sont parvenus, mais les odes, complètes, de ses continuateurs nous dressent le portrait d'un artiste qui choisit de combattre sa peur de la mort par l'insouciance et la jouissance du moment présent.

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Quatorze ans après sa parution en anglais, voici que les francophones découvrent la version augmentée d'un des plus célèbres "Livres dont vous êtes le Héros". Un prétexte pour me lancer dans une saga que j'avais loupée, adolescent.

Cette première aventure remaniée offre une narration largement étoffée mais augmente drastiquement la difficulté, idée assez stupide pour un tome d’introduction. Il faut s'armer d'une bonne dose de patience pour en voir le bout...

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En cours...

Un essai universitaire mais largement accessible sur l'anacréontisme qui repense le rapport entre hypotexte et hypertextes (œuvre originale et imitations).