Les trilogies thématiques

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On ne présente plus la trilogie du dollar et son anti-héros anonyme et légendaire. Plusieurs pistoleros de l'ouest sauvage s'y affrontent à mort sous la caméra de Leone.
Acte un. Leone ose la transposition de "Yojimbo" au western et révolutionne le genre en sublimant l'archétype du héros solitaire. Il créé ainsi un nouveau genre, le western italien dit "spaghetti".

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Trilogie du dollar, acte deux.

Leone se régale et nous offre une suite encore plus aboutie que l'opus initial. Un formidable jeu de dupes où la banalité d'une course au trésor cède place à la vengeance d'un frère endeuillé. Du grand art.

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Trilogie du dollar, acte trois.

L'aboutissement de toute la trilogie. Leone confronte ses trois archétypes et sublime son intrigue par plusieurs séquences et répliques devenues cultes dont l'inoubliable truel final. Une épopée de l'ouest qui aura marquée nombre de générations. L'homme sans nom se voit ici baptisé Blondin par ce gredin de Tucco. On peut notamment voir le film comme une intrigue antérieure à celle des deux premiers films puisque on y voit l'homme sans nom tomber en possession du fameux sombrero qu'il porte dans les deux premiers opus. "Le Bon, la Brute et le Truand" serait ainsi la première préquelle de l'histoire du cinéma.

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Trilogie Once upon a time (Il était une fois).

Le second triptyque leonien joue de la confrontation des époques et des idéaux. Entre les pistoleros, les révolutionnaires et les gangsters, l'amérique s'est construite sur la violence et le sang.
"Il était une fois dans l'Ouest" est à mon sens rien de moins que la perfection cinématographique. Leone sublime ses archétypes comme autant de morts en sursis, condamnés par la modernité. L'un des plus grands films de l'histoire.

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Trilogie Once upon a time

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Trilogie Once upon a time

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Trilogie de la vengeance.

De la vengeance comme meilleur moyen de s'anéantir. Chaque opus du triptyque s'articule autour de la notion d'auto-justice. Sympathy for Mr Vengeance confronte les points de vue victimes-bourreaux jusqu'à inverser les rôles, le père endeuillé se muant en authentique monstre de cruauté froide.

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Trilogie de la vengeance.

Old Boy est indéniablement le film plus connu de la trilogie. Mais ici la vengeance cède le pas à la quête de vérité du protagoniste, qui ignore tout de celui qui a commandité sa longue captivité. Au bout du chemin, le réalisateur ira jusqu'à confondre les rôles bourreau-victime dans un final d'anthologie.

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Trilogie de la vengeance.

Lady Vengeance prend pour protagoniste une jeune femme ayant écopée d'une longue peine de prison pour le rapt et le meurtre d'un enfant qu'elle n'a pas commis. A sa sortie, elle mettra un point d'honneur à retrouver le véritable assassin et à le punir comme il se doit. Ici, la notion d'auto-justice atteint son paroxysme dans un final viscéral et hautement subversif.

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Trilogie mafieuse selon De Palma.

Scarface est l'un des meilleurs exemples de remakes réussis. De Palma y met en scène l'ascension et la chute de Tony Montana, immigré cubain devenu baron de la drogue. Al Pacino y trouve l'un des rôles les plus emblématiques de sa carrière.

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Trilogie mafieuse.

Un autre exemple de perfection cinématographique. De Palma adapte la série éponyme et sublime la croisade de Elliot Ness et de ses incorruptibles face à un Al Capone (formidable De Niro) intouchable et tout puissant. Plus axé sur les flics que sur les gangsters, le film de De Palma accumule les séquences d'anthologie et reste encore à ce jour un modèle du genre, souvent imité mais encore jamais égalé.

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Trilogie mafieuse.

L'impasse brosse le portrait de Carlito Brigante, un ancien caïd, déterminé à se ranger après plusieurs années de bagne. Mais très vite son passé et sa réputation le rattrape et Carlito est à nouveau pris dans l'engrenage criminel. Formidable de bout en bout, "Carlito's Way" c'est la trajectoire d'un homme en qui tout le monde voit un criminel, flics comme truands. L'un des meilleurs rôles de Pacino.

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Teenage Apocalypse Trilogy.

La trilogie adolescente de Gregg Araki prend le contre-pied de séries populaires telles "Beverly Hills" en se consacrant à la description d'une jeunesse désoeuvrée, aux moeurs légères et en totale opposition avec le modèle parental. Araki aborde les questions de l'homosexualité, du sida et de la drogue à travers des récits plus ou moins surréalistes, sulfureux et violents. "Totally f***d up" est le premier film de la trilogie.

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Teenage Apocalypse Trilogy.

"The Doom Generation" est le film le plus connu de cette trilogie. Au cours d'une soirée bien arrosée, deux ados rencontrent un inconnu qui va les entraîner dans une succession d'événement sanglants.

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Teenage Apocalypse Trilogy.

Nowhere est un de ces films qui donne au spectateur le sentiment d'avoir été drogué à son insu. L'intrigue repose sur une succession de chassé-croisé amoureux sur fond d'apocalypse imminente.

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Trilogie officieuse jamais vraiment nommée en tant que telle par la réalisatrice. Un triptyque prenant pour protagonistes des jeunes femmes au sortir de l'adolescence (ou en pleine adolescence). Celles-ci vivent leurs premières expériences sexuelles, essaient de grandir et de s'émanciper d'un certain milieu social dont elles demeurent désespérément prisonnières. Sofia Coppola filme l'ennui de ses héroïnes, éternellement captives d'un monde dont elle ne font pas partie. Elle sublime ses jeunes filles par leur tristesse et leur solitude, et accentue à merveille ce sentiment de douce mélancolie.

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Trilogie de Sofia Coppola.

La réalisatrice s'attache ici à décrire le séjour d'un acteur vedette sur le retour, de passage à Tokyo pour le tournage d'une pub, et celui d'une jeune femme délaissée par son mari et trouvant finalement en cet acteur plus âgée qu'elle le compagnon idéal pour remédier au spleen tokyoite. Coppola sublime avec peu de mots cette romance platonique, brève et touchante, sous les néons d'une ville insomniaque. A (re)découvrir

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Trilogie de Sofia Coppola.

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Trilogie du Rideau Rouge

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Trilogie du Rideau Rouge

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Trilogie de l'Apocalypse.

En s'attaquant à un remake d'un film de SF horrifique des années 50, le réalisateur John Carpenter s'apprêtait à livrer au monde un des films d'horreur les plus terrifiants de l'histoire. Articulant son récit autour de la présence d'un monstre protéiforme ayant pris l'apparence d'un ou plusieurs protagonistes, le cinéaste élabore un huis-clos polaire terriblement oppressant ponctué de tétanisantes séquences horrifiques. En dehors des apparitions indicibles du monstre, il s'agit surtout dans The Thing de livrer un échantillon d'humanité à la paranoïa, à la perte d'identité et à la perte d'espoir, trois notions annonçant une apocalypse imminente que Carpenter se chargera de mettre en scène dans les deux films suivants.

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Trilogie de l'Apocalypse.

Avec Prince des ténèbres, Carpenter élabore un huis-clos pré-apocalyptique dont l'intrigue gravite autour du réveil annoncé d'une entité malveillante, séculaire et toute-puissante, prête à plonger le monde dans une ère de ténèbres. Un groupe d'étudiants, prisonniers d'une église à l'abandon servant de sanctuaire à cette déité, vont devoir lutter tout au long d'une nuit de cauchemar pour empêcher l'avènement du règne du prince des ténèbres. Oppressant et terriblement angoissant, cette excellente série B, tournée avec les moyens du bord et des acteurs low costs, privilégie une atmosphère de fin du monde avec ses rues dépeuplées, ses hordes de clochards possédés, ses colonies d'insectes voraces et ses rêves prémonitoires. Les monstres s'y cachent derrière les miroirs et n'attendent qu'une main tendue pour envahir le monde. Du très bon Carpenter à (re)découvrir.

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Trilogie de l'Apocalypse.

L'Antre de la folie constitue certainement à ce jour un des meilleurs hommages cinématographiques à l'oeuvre de l'écrivain H.P. Lovecraft. Pourtant ça n'est en rien une adaptation officielle, Carpenter se basant sur un scénario original pour lorgner sur le mythe des Grands Anciens et lancer un détective sceptique sur les traces d'un auteur mystérieusement disparu. Alors que le monde se décompose autour de lui et laisse entrevoir des créatures monstrueuses, le détective devra lutter avec l'idée d'une apocalypse annoncée et ne rien céder à la folie. Et Carpenter de livrer en filigrane une très pertinente réflexion sur la réalité et le fantastique, dans son ensemble littéraire ou cinématographique.

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Trilogie de l'horreur sociale.

Loin de ses films d'horreur ouvertement fantastique des années 80 et 90, le réalisateur Stuart Gordon entama avec King of the Ants la description d'une horreur plus psychologique et intimiste, prenant racine dans un contexte de lutte des classes, exacerbée et subversive. Ce premier opus, adaptation confidentielle d'un roman de Charles Higson, nous donne à assister à la trajectoire d'un protagoniste creux et sans importance, un tâcheron manipulé par des employeurs peu scrupuleux dans une affaire criminelle qui mèneront ceux-ci à le torturer jusqu'à le rendre fou. On assiste alors à la métamorphose improbable d'un jeune homme débonnaire et candide en authentique monstre sociopathe et vengeur, déterminé à rivaliser de cruauté avec ses anciens bourreaux.

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Trilogie de l'horreur sociale

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Trilogie de l'horreur sociale

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Trilogie prenant pour thématique l'horreur médicale.

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Trilogie médicale

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