Lus en 2015

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Des airs de Dostoïevski dans ce roman fleuve, très bien maîtrisé. Mais j'avoue que j'attendais un peu plus de l'intrigue, qui au final m'a plutôt déçu.

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Nouvel opus, qui foisonne autant d'idées hallucinantes que les précédents. Trop, peut-être, on s'y perd un peu... Mais je poursuivrai la lecture du cycle, c'est certain !

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J'ai été très surpris par ce nouveau volume de la saga : on progresse enfin en qualité (après quand même une bonne dizaine de tomes). Comme quoi, il faut toujours garder espoir...

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Récompensé par le prix futuriales 2013, ce premier opus de la trilogie Quantika est un space opera de belle facture. Sans trop de surprises, néanmoins, et ça traîne en longueur. J'hésite à lire la suite, du coup...

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Une première rencontre avec Priest, qui j'ai plutôt appréciée. J'avoue ne pas être un grand fan de ce genre de récits, mais je reconnais le talent incontestable d'un grand écrivain.

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Relecture à l'occasion de la sortie de chasse royale, et c'est toujours aussi bon (voire meilleur encore) !

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J'ai trouvé que l'écriture de Jaworski gagnait encore en qualité et en maîtrise. Ma plume préférée actuellement, une merveille !

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Très beau roman de Pierre Bordage, servi en plus par une belle plume. Un grand roman, qui pourrait bien être récompensé prochainement !

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Le retour aux affaires de l'auteur du cycle des inhibiteurs, après quelques romans un peu décevants. Et c'est plutôt bon, avec des idées qui foisonnent dans tous les sens. Premier volet d'une trilogie à suivre, donc.

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Relecture d'un monument de la littérature américaine, 10 ans après. C'est toujours excellent, même si sa lecture demande une capacité de digestion exceptionnelle, on n'en sort pas indemne...

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Une fantaisie tragico-comique sur la fin des temps, par l'un des grand maîtres de la SF. Si vous cherchez à rigoler un peu, c'est une bonne piste !

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Relecture, avant d'aborder "le sentiment du fer" (nouveaux récits du vieux royaume). Les débuts de Jaworski sont impressionnants, mais je trouve que sa plume a gagné en naturel et en pouvoir d'évocation dans ses romans récents (rois du monde 1 et 2) ; et ça, c'est toujours une très bonne nouvelle pour un écrivain.

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Chalandon revient sur son enfance hallucinée, marquée par un père mythomane et violent. Les mots sonnent toujours aussi justes, et on en sort avec une boule au ventre... Un grand roman.

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Retour au Vieux Royaume pour le nouveau Maître de la fantasy ; l'écriture est toujours aussi bluffante, un vrai régal à lire.

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Une écriture de qualité, mais un scénario qui ne m'a absolument pas convaincu dans la seconde partie. Dommage...

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Un grand classique de la SF qui mérite vraiment d'être lu. Keyes sait nous absorber dans son histoire très touchante, et bon sang que c'est dur de lire les dernières pages !...

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Une fantaisie rigolote sur l'art de la digression. Sans grande ambition, mais divertissant !

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Après quelques chapitres un peu hésitants on plonge sans retenue dans ce thriller complexe mais très bien mené par Lagercrantz, qui signe ici un premier roman pas forcément grandiose mais tout à fait honnête. Et on retrouve bien sûr avec grand bonheur Lisbeth et Mikael, qui nous avaient bien manqués pendant toutes ces années !

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Relu en 2015 ; ce récit labyrinthique méritait bien une deuxième lecture, tellement il est complexe... Et beau ! D'une totale originalité dans sa façon d'aborder certains thèmes classiques en SF (premier contact avec des extraterrestres, survie après une apocalypse, course vers les étoiles), d'une totale maîtrise dans sa narration non-linéaire, ce roman demande néanmoins un effort considérable de concentration pour être savouré à sa juste valeur. Un chef d'oeuvre !

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Beaucoup d'originalités dans ce roman, ... mais qu'est-ce qu'on s'ennuie !

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La 4e de couverture parle de fantasy-opera, et le terme n'est pas usurpé. On embarque dans ce récit original, très dense, pour une aventure où tout est gargantuesque. De rebondissements en révélations surprenantes, l'intérêt du lecteur ne baisse pas au fil des pages. L'écriture est plutôt belle globalement, même si elle souffre par épisode de quelques petites maladresses. On sent un réel effort de l'auteur pour donner du souffle à son récit, et il y parvient plutôt bien. Sans doute l'un des romans de l'année en SFFF, et je ne serais point surpris qu'il décroche un prix l'an prochain.

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Calvo nous emporte, avec son écriture toujours si singulière mais séduisante, dans une intrigue ébouriffante, mêlant réel et fantastique avec un enthousiasme très communicatif. Son personnage central, complexe, torturé, et bigrement attachant, est une vraie réussite. Que dire de plus pour vous convaincre ? Ah, si : si vous aviez kiffé la Gorgone du Choc des Titans (le vrai, pas l'horrible remake), vous ne serez pas déçus du voyage ! Plongez dans les couloirs du Corbusier !

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Un livre intéressant ; mais j'avoue ne pas être totalement transporté, et parfois même décontenancé par les digressions et les bizarreries du récit. A suivre cependant, pour un avis plus complet sur cette saga.

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Dans ce roman qui l'a rendu célèbre, Le Carré consacre l'anti James Bond, une forme d'espionnage bien plus nébuleuse, et sans doute bien plus authentique que celle de 007 (Le Carré fut lui-même espion d'ailleurs). Son style infiniment sobre, cérébral, mais pourtant non dénué d'humour, demande un réel effort au lecteur, soyez prévenu. De mon côté, j'ai beaucoup aimé, et je lirai sûrement la suite de cette trilogie de Karla prochainement.

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Quelle claque ! Un roman qui nous plonge au cœur d'une Europe futuriste cauchemardesque, malgré ses allures d'utopie peuplée d'immortels. Ou comment les dieux deviennent des monstres aux commandes d'une société totalitaire éternelle. Pour ne rien gâcher, l'intrigue ne perd jamais en intensité et en rebondissements. Sans doute l'un des romans de l'année en SFFF.

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Un monde post-apo, dans les années 50, ça ressemble à une terre radioactive, où on rencontre des araignées domestiques géantes de la taille d'un pouf. C'est un peu naïf, mais assez délicieux, finalement. Mais quand une expérience du genre Frankenstein vire au cauchemar, on découvre qu'une apocalypse pourrait bien en cacher une autre... Décoiffant !

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Relecture du cycle. Note baissée d'un point pour ce 1er roman : je trouve que le final est un peu rapide quand même. Mais l'ensemble reste évidemment un pur bonheur !

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Insipide au possible ; on a l'impression de lire un documentaire. La psychologie des personnages ne respecte guère ce qui avait été amorcé dans Dune. Si je ne doute pas des bonnes intentions de Herbert-Anderson, il faut néanmoins admettre que ce roman est raté, ni plus ni moins. Arf.

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C'est l'une des grandes qualités de cette saga : chaque nouvel opus semble meilleur que le précédent. Dans ce tome 2, on découvre de nouveaux concepts géniaux (les gholas, les danseurs-visages), la narration d'Herbert gagne en qualité, les interrogations autour de la prescience sont sérieusement développées. Les profils des personnages sont d'une grande finesse : on pourrait presque dire que "le messie de Dune" est un roman de l'intérieur ; et pourtant, cela ne se fait jamais au détriment de l'action, toujours très riche en rebondissements. L'un des plus grands romans de SF, incontestablement.

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Beaucoup de réflexions politiques, religieuses et philosophiques dans cet épisode, ce qui pourra sembler un peu indigeste à certains ; mais le récit s'emballe, notamment dans la 2e moitié du roman, avec quelques chapitres carrément fascinants. Et annonciateurs d'une suite cataclysmique. Un grand livre, donc, qui met la saga sur orbite, le meilleur étant encore à venir.