Neil Young

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Premier album de Buffalo Springfield, groupe dans lequel on retrouve notamment Neil Young et Stephen Stills (qui se partagent les compositions) et déjà première réussite. Emmené par l'excellent tube "For What it's Worth", ils livrent là un album rock aussi court qu'efficace et vraiment sympathique à défaut d'être vraiment transcendant.

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Second album de Buffalo Spingfield, il surpasse leur premier et si on peut toujours regretter la très et trop courte durée, ça n'en reste pas moins un très bon album rock. En plus de Mr. Soul (qui s'inspire très très fortement du Satisfaction des Stones d'ailleurs), le groupe livre plusieurs pépites, dont les géniaux "Expecting to Fly" et "Broken Arrow" pour un ensemble qui ne souffre d'aucune fausse note.

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Premier album du canadien qui livre-là un album sans réelle fausse note mais pas non plus à la hauteur de ses futures œuvres. Majoritairement acoustique c'est vraiment sympa, on découvre la chanson qui lui donnera son surnom de Loner et déjà, il compose quelques excellentes chansons, mention spéciale à "I've Been Waiting for you" et la longue clôture "The Last Trip to Tulsa ".

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Immense... il n'y a guère d'autres mots qui me viennent à l'esprit et je vais continuer à me le passer en boucle tout en continuant à découvrir l'univers de Neil Young mais ce "Everybody Knows This Is Nowhere" est juste somptueux, sans fausses notes où la virtuosité sert un ensemble qui joue avec émotion, génie et puissance.

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Va savoir pourquoi, en grand admirateur de Neil Young, j'ai mis du temps pour découvrir After the gold rush, et quelle pépite, quelle claque !
Entre rock et country folk, le loner qui livre là son troisième album solo, est inspiré comme rarement, et il préfigure déjà son album suivant Harvest.
Comme durant ses plus belles heures, il propose d'incroyables mélodies, mêle avec génie le piano et les guitares, et pose avec sa douce voix des textes mêlant mélancolies, vies de tous les jours, amour et politique (écologie, racisme...). L'atmosphère est a cette image, et la mélancolie, mêlée à la douceur et la fragilité traverse cet immense album.

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Quelques temps avant la disparition de son ami guitariste Danny Whitten du groupe Crazy Horse qui le plongea dans une dépression, Neil Young signe l'un de ses sommets avec Harvest, celui de la reconnaissance, méritée mais qu'il rejettera, un album authentique, mélancolique ou encore créatif, où il nous fait participer à un voyage sur les terres sauvages américaines au son de sa magnifique voix et du remarquable groupe l'accompagnant.

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C'est un Neil Young mélancolique , presque dépressif et triste qui enregistre On the Beach où, entouré de talentueux musiciens, le parolier rencontre le génial et bluesy créateur et retranscrit ses doutes et tristesses de la plus belle et émotive des manières. Somptueux.

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Sorti plus de deux ans après son enregistrement, "Tonight's the Night" met en avant un Neil Young sombre et déchiré, notamment à cause de la mort de deux de ses proches par overdose. Une ambiance crépusculaire et triste traverse tout l'album et Neil Young se montre aussi inspiré que mélancolique, livrant une oeuvre immense et marquante, marqué aussi par sa virtuosité guitare en main et son entente avec son groupe.

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Après la noirceur d'On The Beach et Tonight's The Night, Neil Young retrouve le Crazy Horse pour nous livrer un grand disque rock. Dans l'ensemble plutôt calme, le Loner est tout de même en grande forme, jouant à merveille avec ses musiciens et vraiment inspiré, il se permet aussi quelques envolés bien puissante et électrique. Et puis il y a l'immense "Cortez The Killer", plus de 7 minutes de bonheur pour cette sensationnelle chanson qui fut interdite en Espagne. Le canadien livre un solo magistral et montre, à nouveau, qu'il était aussi brillant musicien que chanteur.

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Magnifique, il n'y a même pas d'autres mots. Disque assez particulier dans le sens où il est enregistré en live mais dont les applaudissement ont été supprimé, mais quel disque ! Le Loner, accompagné de son Crazy Horse, alterne entre acoustique et électrique, sans oublier quelques touches d'harmonica, et se montre totalement inspiré et livre 9 morceaux mémorables (mention spéciale à Pocahontas, My My, Hey Hey (Out Of The Blue), Thrasher ou encore Sedan Delivery). Un grand album, l'un des tous meilleurs du canadien dans ce que j'ai pu écouter jusque-là.

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En ce début d'années 1980 très difficile pour la musique, le Loner n'échappe pas à tous ces effets de modes, effets futuristes souvent assez moche et ça en devient vraiment lourd et indigeste. Certaines de ses chansons ont pour thème la tentative de communication avec son fils atteint d'infirmité motrice cérébrale. Mais la qualité de l'album est vraiment mauvaise, heureusement que "Little thing called love" et surtout "Like an Inca" viennent sauver "Trans" du naufrage total.

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Le Canadien est en mauvais terme avec son producteur David Geffen lorsqu'il livre "Everybody's Rockin', album entièrement rockabilly de 25 minutes. Alors surement que le Loner se fait plaisir et/ou que son album a surtout pour but de bien faire chier son producteur, mais c'est franchement laborieux...

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Décidément j’enchaîne les déceptions avec le Neil Young des années 1980... C'est tout simplement mauvais, le Loner semble chercher à coller aux sonorités alors en vogue (et ce sur tous les titres... entre les synthés atroces, les sonorités bidouillées.... rien n'y échappe) et ça ne marche pas du tout, c'est très laid et immonde. Pas grand chose à dire et c'est pour la première fois que je n'ai même pas un titre à sortir du lot... A oublier... décidément les années 1980 ont flingué pas mal de monde...

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Album assez old school, très années 1950, pour Neil Young qui joue ici avec le groupe The Bluesnote. Loin d'être transcendant, c'est tout de même fort sympathique avec des cuivres un peu partout, des bons solos de guitares, du bon vieux rock et de l'efficacité.... C'est pas du grand Loner, mais ça passe et il en profite pour affirmer son indépendance : "Je ne chante pas pour Pepsi, je ne chante pas pour Coca"

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Électrique et rageur, Ragged Glory est un grand atypique de Neil Young, ici avec le Crazy Horse. A fois génial et primitif, c'est un album puissant, difficile à décrire, bourré de solo et donnant l'impression d'une explosion électrique pleine de riff et de rage.

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Monstrueux. Tout simplement monstrueux. Neil Young, accompagné d'un fabuleux Crazy Horse branche sa guitare électrique et prêche la bonne parole en revisitant son répertoire avec autant de puissance que d'émotions et surtout de génie. Il se réapproprie ses propres chansons, les ré-invente et les morceaux d'anthologie s’enchaînent (Hey Hey, My My (Into The Black, Cortez The Killer, Like A Hurricane...). Le concert est long mais jamais lassant, bien au contraire on en redemande tant c'est grandiose et intense.

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Un Neil Young inspiré, plutôt calme, un peu country, et surtout très mélancolique, un de ses albums importants (certes, au milieu de nombreux autres) dont il serait dommage de passer à côté.

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D'abord, Neil se plie à la mode et à MTV en faisant à son tour son Unplugged pour la chaîne, ce qui est assez particulier sachant qu'il a autant, voire plus, jouer en acoustique dans sa carrière, donc ce n'est pas un format changeant ou nouveau pour lui, loin de là. Surtout qu'une bonne partie des titres joués sont acoustiques de base.
Enfin, ça reste très bon bien qu'un peu irrégulier, et le Loner nous offre tout de même une incroyable version de Like a Hurricane, ainsi qu'une très jolie version de Harvest Moon.

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De manière aussi surprenante qu'électrique, Neil Young se met au grunge et enregistre "Mirror Ball" avec Pearl Jam. Le Loner rajeunit et livre un album sans fausse-note, intense et puissant, bénéficiant du savoir-faire de Pearl Jam à la rythmique. Yeah !

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En écoutant à part la BO de Dead Man il y a comme l'impression de se lancer dans un trip, sauvage, où il tient seul la guitare, avec des sons lourds et beaucoup (trop par moment ?) d'effets.
Mais qu'importe, ça fonctionne, et ça sonne parfaitement avec les travaux de Jarmush.

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Derrière cette immonde pochette pixelisé, le Loner livre un album folk-rock qui, à défaut d'être vraiment transcendant, est plutôt sympathique. Aucune chanson n'est vraiment à détacher, dans un sens comme dans l'autre mais l'ensemble est vraiment agréable à l'écoute, sans fausse note avec quelques idées et ajouts d'instruments (slide, harmonica, piano...) ingénieux.

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Neil Young retrouve son Crazy Horse pour cet album conceptuel sur une ville fictive de Californie dénommé Greendale. Inspiré le Loner revient aux fondamentaux, livrant un album folk/rock oscillant entre acoustique et électrique. Légèrement trop long (tout comme certaines chansons) il n'en reste pas moins très plaisant, recelant même de quelques petites perles.

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Neil Young ouvre ses archives, et on plonge dedans avec un immense plaisir, on (re)découvre sa jeunesse ainsi que ses premiers travaux, notamment ce qu'il a fait avec Buffalo Springfield.

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En voilà un album bien particulier où le Loner branche seulement sa guitare électrique et joue sans aucun autres musiciens. Parfois déroutant, "Le Noise" recèle tout de même de quelques perles et belles chansons et le côté minimaliste lorgnant parfois vers le grunge avec une atmosphère sombre réserve quelques surprises et l'album est un peu à l'image de cette pochette, gothique et étrange...


+ le film : https://www.youtube.com/watch?v=wU5B53b9ntQ

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Sentiment plutôt mitigé pour l'un des derniers albums du Loner. Il enregistre des reprises bluesy, un peu à la manière des années 1940 avec une production laborieuse voulu. C'est plutôt dommage car musicalement, Neil Young s'en sort plutôt bien, les chansons sont bien jouées et interprétés...

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Ma première plongée chez le Neil Young version XXIème siècle (merci Mr Pepper !) et l'album qui m'a donné envie d'en découvrir bien plus sur le Loner. L'auteur de "Harvest" s'entoure notamment d'un immense orchestre et livre un album riche, mélodique et complet, où l'émotion découle à plusieurs reprises. A bientôt 70 ans et après tant d'années sur les routes, Neil Young montre qu'il faut bel et bien toujours compter sur lui.

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Neil Young continue de parcourir les routes et il se pose ici en contestataire d'un monde qui ne tourne pas rond, et c'est avec intelligence, sincérité et force qui le fait et dans le même temps, il se montre toujours inspiré et efficace pour écrire et jouer ses chansons.

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D'abord, quel immense bonheur de voir Neil Young ressortir de ses archives un album complet, qui aurait dû sortir en 1975 juste après On The Beach, soit l'une des meilleures périodes du loner.
Finalement, Homegrown, ode à l'herbe cultivée soit-même, se rapproche plus d'Harvest, un album à tendance acoustique, d'apparence plutôt douce. Si, depuis 1975, certains titres sont sortis à droite et à gauche, comme Love is a Rose jadis sublimé par Linda Rondstat, c'est une découverte pour la majorité, et surtout d'avoir l'ambiance d'un album complet et un témoin de l'état de Neil lorsqu'il l'a conçu.
Et c'est remarquable, difficile de ressortir une chanson en particulier, mais une vraie atmosphère traverse l'album, une mélancolie, parfois étrange comme lorsqu'il fait appel à la religion (Star of Bethlehem) mais aussi sensible, parfois fragile, notamment en cette période, et un disque qui mérite bien des écoutes.