Pochettes d'albums remarquables

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Le packaging de leurs premiers travaux était fantastique puisque les vinyles étaient enveloppés de toile de jute, de papier asphalté et de papier aluminium, parmi d'autres matériaux ... souvent, leurs CD n'étaient pas si inhabituellement conditionnés, mais pour certaines sorties cependant, du feutre, des broches et du bois de placage ont été utilisés ... ici, la pochette est une sérigraphie imprimée directement sur un double panneau d'aggloméré contenant le vinyle, le tout entouré d'une ficelle ... la pochette la plus remarquable pour moi fut un coffret en bois tamponné "just an illusion" (tiré à 1.000 exemplaires, je pense)
http://eil.com/shop/moreinfo.asp?catalogid=441145

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Le titre de l'album (« boîte en métal ») est une allusion à l'emballage de l'édition originale de l'album, qui consistait en une boîte métallique au format des pellicules de film 16 mm avec le logo du groupe moulé sur l'avant et contenant trois disques maxis 45 tours ... cet emballage prétendait pouvoir résister à une attaque nucléaire ...

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Le tout premier pressage de The Return Of The Durutti Column avait du papier de verre en guise de pochette histoire d'abîmer les autres vinyls susceptibles de l'encadrer, reprenant ainsi l'idée pernicieuse de Guy Debord pour son premier livre et sa couverture de même nature.

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La pochette de l'album Sticky Fingers dispose d'une fermeture éclair qui s'ouvre pour révéler un homme en sous-vêtements de coton. Elle a été conçue par l'artiste pop art américain Andy Warhol, photographiée par Billy Name et son design est du fait de John Pasche. La photo représente l'entrejambe de Joe Dallesandro serrée dans des jeans étroits, bien que beaucoup de fans pensaient qu'il s'agissait de Mick Jagger. Les personnes impliquées dans la réalisation de la pochette ont indiqué que Warhol avait photographié plusieurs hommes (mais pas Jagger) mais qu'il n'avait jamais révélé quel cliché il a utilisé. Parmi les candidats, Jed Johnson, l'amant de Warhol à l'époque, a nié que la photo lui ressemblait, bien que son frère jumeau Jay Johnson fasse partie des possibilités. Les personnes les plus impliquées dans la prise de photos considèrent que Corey Tipping, artiste et designer, est le candidat le plus probable. Enfin, c'est la première fois que figure sur un album des Rolling Stones leur célèbre logo en forme de langue et de lèvres, créé par John Pasche.

Cependant, la fermeture éclair pose problème aux détaillants, ceux-ci se plaignant qu'elle endommage les disques (en vinyle) lorsqu'ils sont empilés les uns sur les autres. La fermeture est donc légèrement ouverte jusqu'au milieu du disque afin de réduire les dégâts le plus possible.

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Tout est dans le titre : un bateau arrivant trop tard pour sauver une sorcière de la noyade ... en effet on aperçoit la proue du bateau et le haut du chapeau de la sorcière se noyant ... du coup on interprète différemment l'image rappelant le Z et le A de Zappa ... le dessin est de Roger Price, qui est également l'inventeur du terme "droodle" (dessin-énigme), qu'il invente en 1953 ... voici comme exemple un autre droodle :
http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Drudelmexikaner1.svg

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Voici la pochette originale : http://www.recordsale.de/cdpix/n/negativland-u2.jpg
Sorti en même temps qu'un album du groupe U2, cet album échantillonant des extraits du groupe U2 a créé la polémique (attaque en justice, puis annulée grâce à l'intervention de personnalités remarquables, tel le producteur de U2, Brian Eno) ... en effet des personnes croyaient avoir en leur possession le nouvel album de U2, et que le titre en était "Negativland", ils étaient en général très surpris à son écoute ...

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Cet album est une attaque délibérée contre les firmes Coca-cola et Pepsi et leurs publicités ... le titre est une variation de "dyspepsia", synonyme d'indigestion ... le terme "dispepsi" n'apparaît pas de manière directe sur la pochette, mais un numéro de téléphone permettait d'en recevoir le titre exact ... on a affaire ici à un anagramme brouillé car le groupe avait peur des éventuelles actions en justice de la firme en question ... voici la vidéo officielle hilarante d'un des titres de l'album :
http://www.youtube.com/watch?v=u4MAYyM_wh0

ainsi que la pochette originale :
https://i.ytimg.com/vi/HpRh1PnQHM0/maxresdefault.jpg

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La couverture est une parodie de Meet The Beatles!, le premier album des Beatles sorti aux États-Unis. Les rééditions futures de cet album ne comportaient plus cette couverture qui avait provoqué à l'époque les foudres d'EMI et de Capitol Records. Toutefois, le disque comportait tout de même une allusion parodique aux Beatles. En effet, au verso de l'album, les Residents étaient mentionnés sous les noms de John Crawfish, George Crawfish, Paul McCrawfish, and Ringo Starfish, avec des images de poissons habillés des costumes des Beatles.

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La célèbre pochette signée Andy Warhol ... représentant une banane : symbole phallique encore renforcé par la mention « peel slowly and see » ... à noter que le nom du groupe et le titre de l'album ne figurent par sur le recto

et voici le résultat quand vous suivez les instructions "peel slowly and see" indiquées en petits caractères sur le haut de la banane :
http://www.musicwall.net/wp-content/uploads/2016/03/andy-warhol-1.jpg

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La pochette de l'album est une maquette de Peter Saville ; l'image, choisie par Bernard Sumner, s'intitule "100 consecutive pulses from the pulsar CP 1919" ... il l'a découverte dans une encyclopédie d'astronomie ... elle représente les ondes du tout premier pulsar découvert.

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Une partition vide ... que dire de plus ?

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La couverture, outre un calembour sur le nom du groupe, reflète également leur intérêt pour la musique traditionnelle "Ege Bamyasi" signifiant "Aegean Okra" en turque (région géographique où est cultivé la plante que l'on voit sur la boîte de conserve "CAN")

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Ici également une pochette qui a beaucoup fait parler d'elle ... le manager de Michaël Jackson allant jusqu'à faire détruire à l'époque le pressage (à 1.000 exemplaires) de l'album ainsi que la confiscation de la bande-mère ... John Oswald a par la suite gagné son combat et cet album merveilleux d'inventivité et de créativité est de nouveau disponible ... John Oswald est l'inventeur officiel du "plunderphonic" (échantillonage de sons venant de sources musicales déjà existantes, retravaillées, recomposées, ...) ... voici une analyse intéressante de l'album :
http://forumdupeuple.com/index.php?topic=1526.0

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La couverture a été conçue par David Byrne et exécutée par l'artiste Jimmy De Sana ... une "photomosaïque" du groupe comprenant 529 photographies Polaroid.

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La pochette de l'album représente face à face John Travolta et Barbara Streisand, avec, à la place de leurs yeux, les globes oculaires portant un costume qui sont l'effigie du groupe.

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La pochette, collage surréaliste est l'oeuvre de Steve Stapleton lui-même, c'est-à-dire l'homme se cachant derrière Nurse With Wound ... il réalise la plupart des pochettes de ses albums, et en réalise aussi pour d'autres groupes ou musiciens (par exemple Edward Ka-Spel des "The Legendary Pink Dots")

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La pochette est l’œuvre de Gary Panter qui a aussi fait des pochettes pour les Residents et Frank Zappa et est à l'époque un des graphistes américain le plus réputé dans le circuit underground

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La contribution de l'illustrateur américain Mark BEYER pour la pochette colle définitivement au groupe niortais l'étiquette de "THE RESIDENTS français".

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Jamais dans la carrière de Robert Wyatt, la jaquette d'un album n'a aussi bien illustré sa musique ... un ciel bleu immaculé ... quelques rares nuages ... un homme roux barbu, en sommeil sur le dos d'une blanche colombe (symbole ultime de paix) qui plane pour ne pas le réveiller ... cette illustration est due à Alfreda Benge

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La couverture est due à Don Van Vliet, notre cher Capitaine Coeur de Boeuf ...

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J'aime beaucoup les collages en général ... ici d'autant plus approprié qu'il correspond aux collages sonores du groupe ...

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Voici la pochette originale (bien plus intéressante visuellement) :
http://en.wikipedia.org/wiki/File:A74-D-front-250.jpg
La pochette de l’album, une vue subjective d’un lever de soleil depuis une autoroute, est signée Emil Schult ... elle représente 2 voitures : une Mercedes et une VW "coccinelle" (Volkswagen signifiant "voiture du peuple")

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Couverture de Danielle Dax elle-même ... qui en plus réalise toutes les instrumentations de l'album également ... et le verso de la pochette est encore plus hideuse ... j'adore, c'est trash !

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Chapeauté d’un lettrage Noire et Rouge, elle renvoie au graphisme constructiviste des années 20-30 en Russie.

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Est-elle si hideuse que ça cette pochette ?
Elle me fait penser à certaines sculptures des surréalistes au début du 20ème siècle ...

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Cet album est communément désigné soit par le numéro 3, soit par le nom Melt (« fonte ») en référence à la couverture, une photo de l'artiste retouchée de manière à donner l'impression que son visage est en train de fondre.

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La couverture est une réalisation de l'artiste Ray Smith et est la première d'une série de 3 "chaussettes peintes" (les chaussettes sont peintes avec la peinture sortant directement du tube)

Le titre est également un jeu de mots, puisque Leg End signifie également la fin de la jambe, c'est-à-dire le pied, d'où la chaussette ...

version 1 : http://record.ticro.com/record/jacket/H00000678.jpg

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version 2

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version 3

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Mon rêve le plus fou : détenir un vinyle en forme de scie circulaire !