50 ans au fil de l'eau
Le cinéma de Podalydes est toujours bercé d'une certaine légéreté, tinté d'un côté saugrenu qui rendent les films et ses personnages attachants, comme un doux moment d'ivresse, où l'on ne fait pas...
le 1 juil. 2015
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J’apprécie différemment la poésie de Louis Zukofsky de celle de George Oppen, bien que ces deux poètes s’inscrivent dans le même mouvement objectiviste. Avec la traduction de 55 poèmes par Benoît Turquety, j’ai pu constater la persistance de ma fascination pour Zukofsky. Sa poésie est toujours surprenante, loin du confort que peut m’offrir celle d’Oppen. Dans ce recueil, il y a de l’humour, une confiance dans l’inventivité de la langue, mais aussi un engagement politique tenace. Les références y sont nombreuses. Il faut accepter de ne pas tout comprendre.
À suivre sur : https://laviesansprincipe.wordpress.com/2024/12/05/55-poemes-louis-zukofsky/
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le 5 déc. 2024
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