Exquises contradictions.
« Je suis une contradiction » annonce, dès le premier épisode, le pape Pie XIII, incarné par Jude Law. Une contradiction qu'il compare à Dieu, unique mais et trois, ainsi qu'à Marie, vierge...
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le 1 nov. 2016
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La Nuit des Humains est plutôt un bon roman, mais force est de constater qu'il n'est pas un des meilleurs de la série de livres traduits par Milady.
Il a pourtant de nombreux points forts en sa faveur. Les caractères des protagonistes sont bien respectés (ce qui n'est pas forcément toujours le cas). L'écriture de David Llewellyn est fluide et agréable, assez dynamique. Surtout, les personnages secondaires (Dirk Slipstream en tête) ne manquent pas d'intérêt -chose qu'on retrouve rarement dans ce genre de livre- et le monde où Amy et le Docteur atterrissent est bien construit. La vision proposée de la race humaine (ici opposée aux Sittuuns) est classique, bien dans la veine de la série d'origine.
Pourtant...
Malgré tout cela, force est de constater que l'ensemble est tiédasse. L'écriture est dynamique, mais le rythme laisse parfois à désirer, notamment dans la seconde moitié du livre. Le Gyre, quoique intéressant, n'est pas assez développé pour devenir réellement fascinant, comme ça peut être le cas dans un livre comme Le Dragon du roi. Enfin de façon générale, le personnage d'Amy est assez effacé aux côtés du Docteur, et ses apports dans cette aventure (bien que réel), ne sont pas bien exceptionnels, ni mémorables.
Mais bon ! Ce livre est parfaitement acceptable si vous voulez une lecture rapide et détente.
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Doctor Who : les romans
Créée
le 30 août 2013
Critique lue 214 fois
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