Steamchiant
Trois auteurs sont connus pour avoir été au fondement du steampunk dans les années 80 : K.W. Jeter, Tim Powers et James Blaylock. Tout amateur ou personne s’intéressant donc de près ou de loin...
le 16 juil. 2016
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Un livre alambiqué, embrouillé, habité par une floppée de personnages qu'il est difficile de distinguer tant les descriptions physiques et psychologiques manquent (seuls les vilains de l'histoire sont reconnaissables : ils sont moches et méchants (aouch !)). Les cent premières pages présentent un récit indigeste car non structuré, et la quête même du « héros » (dont le nom m'échappe) est si nébuleuse qu'il faut attendre la seconde moitié du roman pour la comprendre (enfin... la deviner).
Fort heureusement, il y est question de zombies ; et les zombies, c'est mon truc. En tout cas, ça l'était jusqu'à cette lecture-ci. Rien n'est effrayant ni fabuleux dans le livre de Blaylock, et surtout pas les morts-vivants, plus pantins que dangereux revenants. Les quelques passages amusants le sont car d'un grotesque mauvais ; il ne se dégage aucune émotion, aucun intérêt de ces trois cents — longues — pages.
La couverture de Bragelonne est jolie, c'est déjà ça.
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Créée
le 8 janv. 2021
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Honnêtement, je n'ai pas réussi à le finir, ce qui ne m'étais jamais arrivé avec un livre. JAMAIS. Je suis loin d'être un lecteur feignant, je suis un gros lecteur, pas rebuté par la complexité ni la...
le 20 nov. 2011
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