Ayant lus Kafka, je vois où le livre part, mais il où il n'arrive pas...

Alors en sois, ce n'est pas mauvais, le 4 est quelque peu severe, mais j'ai été extrêmement déçus. Au demeurant, j'aime bien le début, qui suffit d'ailleur largement, sur les mésaventure de Yu. Ca marche bien, le mépris, la colère refoulé, la lacheté, fonctionne bien. Et j'aurais aimé qu'on s'arrête la, parce que la suite n'est pas du même niveau.

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Dès Noé on tombe dans le religieux, dans la métaphore... Alors passe encore, je n'ai aucun problème avec Steinbeck par exemple, mais ca commence a devenir lourd. Les traits d'esprit du protagoniste devienne a mon gout plus forcés, le récits deviens plus plat, plus linéaire, l'ajout d'autre personnages n'est pas une réussite...

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Et puis reviens la fille, qui nous offre ce que j'aime, j'adore, je veux dans les livres ! LES MONOLOGUES AU HERO !

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Qu'on me tue, pourquoi ? je hais du plus profonds de mon être, j'ai l'impression que l'auteur veux dans ce cas nous narrez quelque chose de tellement bizarres, con ou mal écrit, qu'il passe par un monologue pour justifier de la bêtise des propos.

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Un détail pour vous, mais pour moi ca me sort du livre, dans le sens non pas narratif, mais stylistique, j'ai toujours l'impression que le monologue est l'ennemi de l'émotion (ce qui n'est pas vrai, encore plus hors-littérature, mais je me permet cette hyperbole pour exprimer mon ressentis).

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Comprenne ici que le monologue ridicule est un symptôme de la mauvaise écriture, non pas l'inverse... Et puis viens "l'un"décente...

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En sois, ce n'est pas mauvais, je pense même que c'est largement appréciable, mais clairement la narration, les idées de mise en ligne et en histoire chute drastiquement après le tier du livre, la moitier voir. Cela deviens un peu risible, forcée, appuyé par des parallèles religieux trop appuyé en être agréable ou pour véhiculer quelconque émotion.

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Finalement, reste un début agréable, mais qui montre vite ses limites, pour se diriger vers un propos forcé qui efface celui de l'oublie et l'allénation social, eux mieux maîtrisés pourtant...

SlowCoffee
4
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le 15 déc. 2023

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