Même constat, même punition
Le contexte historique peut plaire et est plutôt bien retranscrit mais encore une fois l'auteure part trop en digressions. A la fin, on a la désagréable sensation qu'aucun des thèmes abordés n'est abouti: l'école de la nuit et ses membres, les sorcières de Londres et l'initiation, la famille de vampires. Sachant que le livre fait ses 936 pages... Synthétise Déborah!
Et où en est notre couple de héros? dans un rapport dominant/dominée, validé par le fait que Mr est un vampire, c'est dans sa nature. Ironique que l’héroïne soit présentée comme féministe et femme forte.
Pardon, je pensais naïvement que les rapports hommes/femmes avaient évolués .