Joliment écrit mais sans intérêt. Si l'auteur voulait nous prouver qu'elle maîtrise avec brio la langue de Molière, c'est chose faîte. Chaque description est emprunte de poésie, la syntaxe et le vocabulaire sont extrêmement riches, les métaphores à profusion... Mais l'histoire derrière est d'un ennui mortel! Les Inrocks ont dit à propos de ce roman qu'il s'agit d'un "conte sous Prozac" et je ne peux malheureusement qu'être d'accord avec cet avis... Je n'ai pas réussi à le finir, au risque peut-être de ne pas avoir atteint le moment où l'ensemble prend de l'intérêt. L'effort était trop grand, je n'accrochais absolument pas et je m'ennuyais à chaque page tournée. Laisser tomber une lecture est chose rare pour moi, mais là, je n'en pouvais plus ayant déjà dépassé les 100 pages à grande peine... [...]
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