Mères perdues
Tout doit se jouer dans cet ultime épisode. Les personnages, qui ont maintenant bien évolué, doivent effectuer des choix de vie définitifs. Il se révèle que le choix majeur se situe entre la fuite...
Par
le 29 sept. 2012
36 j'aime
12
Cette pièce vaguement criminelle ne retiendra l'attention ni des amateurs de Grand-Guignol (on pend quelqu'un, et alors ?) ni des férus de romans noirs. Il s'agit bêtement d'une histoire de règlement de comptes entre ex-malfrats : l'un, qui a dénoncé les autres, les a envoyés au bagne pour vingt ans. Mais voilà, les vingt ans sont révolus...
A peine la règle de la progression de l'angoisse est-elle respectée (le banquier mène une vie de famille tranquille au début; il y a un basculement net (indiqué dans les didascalies) de la conversation mondaine vers le début de l'angoisse). Le reste n'est qu'un règlement de comptes sans surprise, sous les apparences d'une parodie de procès mimée par des criminels.
Clément Vautel aurait pu être mieux inspiré. C'est l'auteur du roman "Mon curé chez les riches", qui a connu une belle célébrité en son temps.
Créée
le 3 mai 2016
Critique lue 97 fois
Du même critique
Tout doit se jouer dans cet ultime épisode. Les personnages, qui ont maintenant bien évolué, doivent effectuer des choix de vie définitifs. Il se révèle que le choix majeur se situe entre la fuite...
Par
le 29 sept. 2012
36 j'aime
12
Le public français contemporain, conditionné à voir dans la Bible la racine répulsive de tous les refoulements sexuels, aura peut-être de la peine à croire qu'un texte aussi franchement amoureux et...
Par
le 7 mars 2011
36 j'aime
14
L'enthousiasme naît de la lecture de Gargantua. Le torrent de toutes les jouissances traverse gaillardement ce livre, frais et beau comme le premier parterre de fleurs sauvages au printemps. Balayant...
Par
le 26 févr. 2011
36 j'aime
7