DEAD MEN TELL NO TALES
Ouf ! Quel bonheur de suivre une jeune héroïne forte, intrépide, intelligente ! Au XIXème siècle, en Cornouailles, Mary Yellan est arrachée à son village natal Helston à la mort de sa mère pour...
Par
le 15 mai 2017
7 j'aime
4
En 1994 le procès d'O-J Simpson passionne les États-Unis. Noir, il est accusé d'avoir tué sa femme blanche et l'amant blanc de celle-ci. C'est sur ce fond plus forte que piano que s'écoule l'histoire d'amour entre Iris, noire, et Daniel, blanc. L'un et l'autre sont déjà engagés et pourtant, l'adultère semblerait être le moins grave. La couleur est capitale dans Rhapsodie en blanc, elle est obsessionnelle, coupable, explicable, vicieuse, elle est un caprice, une excentricité, une marotte, un tourment, une dévotion, un arc-en-ciel bouillonnant d'émotions.
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.
Créée
le 15 avr. 2017
Critique lue 107 fois
Du même critique
Ouf ! Quel bonheur de suivre une jeune héroïne forte, intrépide, intelligente ! Au XIXème siècle, en Cornouailles, Mary Yellan est arrachée à son village natal Helston à la mort de sa mère pour...
Par
le 15 mai 2017
7 j'aime
4
A l'hiver 1924, à Paris le matin, nous tombons nez à nez avec une espèce de vieux sapajou dégingandé, attifé comme un perroquet déplumé, M. Élie de Coëtquidan. Suivre ce baron périmé et décrépi,...
Par
le 23 juil. 2017
6 j'aime
3
« Une fichue mangeuse de grenouilles ! » Je suis française et comme pour chaque Français, des hommes de ma famille sont partis à la guerre de 39-45. Comme de nombreux Français de mon âge, je ne les...
Par
le 20 juil. 2017
5 j'aime
3