Personnellement, quand je suis tombé face à la quatrième de couverture de ce roman dans une boîte à lire, j'ai tout de suite eu envie de l'emprunter parce qu'un livre sur la transmission et la musique, ça allait forcément me toucher.
J'étais donc le public-cible, alors même qu'en tant que guitariste à mes heures perdues, je n'ai pas cet attachement émotionnel à l'instrument qu'ont les violonistes du roman.
Je trouve que ça se lit tout seul. On pourra trouver le style un peu lourd et cliché, mais pour ma part ça fait mouche parce que j'aime beaucoup la sensibilité qui se dégage de cette façon d'écrire. Ce n'est pas hyper original mais c'est le genre d'histoires simples qu'on a quand même envie de suivre et c'est assez rare que je me retrouve avec cette envie de dévorer un roman.