American Psycho par MC_Sauteuse
La folie. Derrière le yuppie aux cheveux gominés, à la peau mate et lisse, débarrassée de sébum après l'utilisation d'un gel perlé nettoyant Neutrogena, et rasé de près, derrière cet homme dynamique entretenant son corps d'éphèbe grec que l'on croirait sculpté dans du marbre italien, prêtant attention à son apparence et ne s'habillant que dans des pièces raffinées, allant de la veste cintrée noire Cerrutti composée à 56% de polyester, 35% de fibres naturelles et 9% de fils de soie dorés à la main, au pantalon beige en lin de chez Ralph Lauren, marque numéro un chez les yuppies de Manhattan dans les années 80, derrière ce temple du raffinement se cache finalement un résidu de fond de capote anglaise, un étron saignant de clochard rempli d'hémorroïdes après avoir posé son gros cul dégueulasse sur un trône aussi propre que la chatte ruisselante de sperme d'une prostituée roumaine après une nuit passée à s'être faite fourrée par tous les pervers, malades mentaux, et chiens errants de la Grosse Pomme.
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