Essayez d'avaler un kouign-amann après avoir honoré une raclette. Vous le regretterez tout de suite, dès la première bouchée. Cette tragédie familiale fait un parallèle, dans la première partie, souvent niais et indigeste entre l'aquarium et la vie de son héroïne de 12 ans. Les dialogues mal présentés, un peu trop intelligents pour une gamine de cet âge, sont beaucoup trop longs. On a l'impression par ailleurs que l'écrivain s'est appliqué à arborer un style ampoulé et une construction littéraire décousue. Ce dernier opus aux critiques pourtant dithyrambiques est tout à fait dispensable.