Au-dessous du volcan par Elouan
500 pages sur une journée : un bruit que l'on devine au début, qui s'élève au fil des pages et qui fini par être assourdissant à la fin, moyennant un style lisible, et poétique, qu'on retrouve dans les deux traductions (privilégiez toutefois la première, même si celle de Jacques Darras est aussi agréable). Où comment les déboires d'un alcoolique au Mexique, de ses problèmes de couples Fitzgeraldien d'avec Yvonne, se transforme en une lente mélopée, une lente descente aux enfers aux accents dantesque. Le Consul est une sorte de prestigitateur, hésitant entre effusion d'amour et décrépitude alcoolique. C'est un livre désespéré.
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