François Bégaudeau décortique et déconstruit les éléments de langage du capitalisme qui, comme l’indique le titre, relève du boniment : ils ne mentent pas sans pour autant dire tout à fait la vérité, ils relèvent pleinement de l’enfumage. Il le fait avec l’ironie mordante qu’il sait si bien manier.
Créée
le 4 août 2023
Critique lue 7 fois
D'autres avis sur Boniments
Si vous cherchez de la nouveauté dans la pensée de François Bégaudeau, sachez que Boniments (2023) n'est ni plus ni moins qu'une (bonne) extension d'Histoire de ta bêtise (2019). Et comme tout bon...
Par
le 26 janv. 2023
2 j'aime
De François Bégaudeau, j’apprécie souvent davantage ses romans que ses pamphlets. Cependant, cet homme a un sens de la répartie et un humour qui fonctionne toujours, et il n’est jamais aussi brillant...
Par
le 23 août 2023
1 j'aime
"On dirait du Desproges", était ma première impression en pleine lecture.Car oui, j'imagine bien un humoriste (du siècle dernier, hem) déclamer certains chapitres sur scène : la prose est simple et à...
Par
le 28 mars 2024
Du même critique
Dire que la dernière adaptation de l'œuvre de J. M. Barrie est un enchantement relève de l'euphémisme. P. J. Hogan parvient à retranscrire toute sa magie avec une mise en scène élégante, un casting...
Par
le 29 oct. 2010
12 j'aime
Une magnifique chronique familiale à travers les bouleversements politiques et historiques de la Chine. Zhang Yimou illustre à merveille ce récit d'une grande ampleur sans jamais perdre de vue ses...
Par
le 30 août 2012
10 j'aime
Si on est, au début du film, réjouit par son côté délicieusement absurde et par une mise en scène rappelant l'humour du cinéma muet, les partis pris de Louis Malle deviennent vite lassants et...
Par
le 24 déc. 2010
10 j'aime
