Milton Friedman : "Plus large est le champ des activités couvert par le marché, moins nombreuses sont les questions sur lesquelles il est nécessaire d'obtenir des décisions explicitement politiques, et, donc, de parvenir à un accord. À l'inverse, plus rares sont les questions qui appelles sur elles un accord, plus on a de chances de s'entendre tout en gardant une société libre"
Milton Friedman : "Quelque séduisante, comme philosophie, que puisse être l'anarchie, elle n'est pas réalisable dans un monde d'hommes imparfaits. Les libertés des hommes peuvent entrer en conflit, et quand cela arrive, la liberté de l'un doit être limitée pour préserver celle de l'autre ; comme l'a un jour dit un juge à la Cour suprême : "Ma liberté de mouvoir le poing doit être limitée par la proximité de votre menton.""
Milton Friedman : "Un Etat qui maintiendrait la loi et l'ordre, qui mous servirait de moyen pour modifier les droits de propriété et les autres règles du jeu économique, qui se prononcerait sur les disputes concernant l'interprétation de ces règles, qui encouragerait la concurrence, qui nous fournirait un cadre monétaire, qui se préoccuperait de faire échec aux monopoles techniques et de triompher des effets de voisinage généralement regardés comme suffisamment importants pour justifier l'intervention gouvernementale, qui compléterait enfin le rôle de la charité privée et de la famille en protégeant l'irresponsable, qu'il s'agisse d'un fou ou d'un enfant - un tel Etat aurait, il en faut convenir d'importantes fonctions à remplir. Le libéral conséquent n'est pas un anarchiste."