50 ans au fil de l'eau
Le cinéma de Podalydes est toujours bercé d'une certaine légéreté, tinté d'un côté saugrenu qui rendent les films et ses personnages attachants, comme un doux moment d'ivresse, où l'on ne fait pas...
le 1 juil. 2015
2 j'aime
Critique à lire sur Des mots sur l'éphémère mouvement https://desmotssurlephemeremouvement.wordpress.com/2019/10/21/ce-quil-faut-dire-leonora-miano/
Créée
le 21 oct. 2019
Critique lue 410 fois
Du même critique
Le cinéma de Podalydes est toujours bercé d'une certaine légéreté, tinté d'un côté saugrenu qui rendent les films et ses personnages attachants, comme un doux moment d'ivresse, où l'on ne fait pas...
le 1 juil. 2015
2 j'aime
Lire les Journaux indiens de Ginsberg c'est lire un livre, pas comme les autres. Sans doute parce que ces journaux n'étaient pas destinés à la publication, ce qui change un certain nombre de points...
le 9 févr. 2014
2 j'aime
Le livre Fantômes et gens perspicaces de Florence Pazzottu s’inscrit dans la continuité de son précédent recueil J’aime le mot Homme et sa distance paru aux mêmes éditions Lanskine. C’est un recueil...
le 1 déc. 2024
1 j'aime