Cent ans de solitude par ncrabbe
Aureliano, José Arcadio...deux jours déjà, et leurs mille visages me manquent tant. Une famille maudite dont une seule union connaîtra le véritable amour, réciproque, et engendreront pour autant cet enfant tant redouté, à la queue de cochon, oublié dans une pièce, et voué dès sa naissance à porter tout le poids d'une génération entière. Cent ans d'histoires et de superstitions (ou de lucidité). Famille qui malgré tous les contrastes parmi tant de similitudes, restera unique parce qu'elle nous aura confié ses lourds secrets et livré tout le poids de son fardeau. Alors qu'à la sortie "des feuilles dans la bourrasques" je m'étais dit que le génie de cet homme était surestimé, je laisse "cent ans de solitude" pleine de nostalgie et me demande toujours ce qu'est devenue Meme dans son cloître, loin de cet enfant que les papillons jaunes ont abandonné...