Non vous ne rêvez pas ! la science-fiction a enfin ouvert les yeux, pour une fois, on parle d’univer

« Chroniques martiennes ou « The Martian Chronicles » est un recueil de nouvelles de science- fiction de l’auteur américain Ray Bradbury. Ce recueil d’environ 360 pages, est apparu pour la première fois en 1950, aux Etats-Unis. Il sera traduit quatre ans plus tard ,en français, par Henri Robillot et il sera publié en France dans la collection « Présence du futur ». Les personnages principaux sont: Wilder, Nathaniel York Jeff Spender, John Black et Jonathan Williams. « Chroniques martiennes » raconte l’histoire des Terriens et des martiens. Ce sont deux civilisations pareilles ou presque, puisque les Martiens sont télépathes. Une femme commence à rêver, à entendre une musique et des paroles de langues inconnues qu’elle n’arrive pas à comprendre: « plaisir d’amour ne dure qu’un moment ». Perdu et jaloux, son mari accueille une fusée… et c’est la fin de la première expédition terrestre. Ce n’est-il pas le début d’un cauchemar? Que va résulter les expéditions suivantes?

Premièrement, ne nous fions pas à la couverture de ce livre mais laissons nous nous emporter car derrière cela se cache une histoire originale bien plaisante. Deuxièmement, l’histoire n’est pas du tout clichée, l‘auteur ne parle pas de petits bonhommes qui vont attaquer les humains. Il est parti du principe que la planète Mars est vivable pour l’homme même si il y a moins d’oxygène donc ce sont des idéologies bien recherchées. Troisièmement, la chronologie du livre m’a séduite vu qu’elle s’étend de l’an 2030 à 2057 et le contexte reste très vaste. Etant donné que nous sommes qu’en 2019, nous pouvons déjà imaginer les éventuels progrès qu’ils pourraient avoir dans le futur. Quatrièmement, l’auteur a eu la merveilleuse idée de mettre une touche d’humour entre les drames car cela nous déstresse. Cinquièmement, habituellement, les ouvrages ne m’inspirent pas énormément et la science-fiction encore moins. Cependant, la petite visite sur Mars m’a aussi emportée sur la planète donc je n’ai même pas vu les 360 pages défiler.

En conclusion, j’ai apprécié le livre c’est pour cela que je vous le conseille. Ne réfléchissez-pas et foncez-y même si l’univers fictif vous déplaît. Qui sait? peut-être que vous découvrirez une nouvelle passion. Qui ne tente rien n’a rien.