Comment traiter convenablement des combats et des métamorphoses d'une femme, rien de moins, en à peine plus de 100 pages bien aérées par de nombreux espaces vides ?
Edouard Louis n'étant ni Tom Cruise ni Peter Graves, le titre de son témoignage me semble bien présomptueux ...
Même s'il ne prête guère à rire, le portrait qu'Edouard Louis trace de sa mère est d'une grande banalité et ne lui inspire que des réflexions pour la plupart insipides.
Une publication qui illustrerait parfaitement s'il en était besoin comment un éditeur n'hésite pas à exploiter un filon sans le moindre état d'âme.