« Tu peux laisser passer ton destin sans t'en apercevoir. Ton destin il s'arrête sous tes yeux deux minutes comme un train - et comme un con tu regardes ton avenir sans comprendre qu'il faut vite monter dedans avant qu'il ne reparte. »
Fait rare, abandon de la lecture après 91 pages ! Si ma 46ème lecture de 2020 échappe à ma sensibilité, elle met paradoxalement en relief la qualité des ouvrages dévorés cette année : des ouvrages complexes et des thrillers efficaces, des livres de voyages et d’histoire, des tapuscrits originaux et des écrivains méconnus, tous cherchant le beau, le vrai et le bien.
De l’ouvrage ainsi refermé, je retiens un quatrième de couverture mensonger, un prix supérieur à 20€, aucune condensation ou ellipse comme le conseille Milan Kundera et une écriture sans élégance échouant à faire vivre des personnages vulgaires faisant la part belle aux obscénités contemporaines jusque dans leur perversion : l’ego, l’hubris, le sexe et le fric.
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Lectori salutem, Pikkendorff