Magistral !
J’avais tenté de lire une première fois cet ouvrage sans réussir à le finir en raison de son format peu pratique. J’ai donc pu réussir une relecture complète en vacances en l’embarquant en vacances,...
Par
le 19 août 2024
un pavé de 700 pages. J'ai craqué à la page 400 quand Becky a découvert Dieu dans les fumées de la marijuana. L'histoire de cette famille de pasteur (le père, la mère, le fils ainé, la fille, lefils cadet), on nous épargne le petit, est sans grand intérêt. Un chapitre sur le père et ses émois de cinquantenaire amoureux de la jeune veuve. les histoires vécues par la mère dans les années 50, le fils ainé à la fac qui découvre le sexe. La fille pom pom girl adulée du lycée et ses amours pour le musicien mascotte. Le fils cadet qui se drogue et picole. Et dans ce feuilleton années 60, des pages sur le péché, la religion. Un peu de comparaison des religions catholique, presbytérienne et juive. Pourquoi 700 pages de série B. Certains auteurs américains n'ont plus grand chose à dire. C'est ce qui arrive à nos pays occidentaux et leurs enfants gâtés qui ne vivent plus de cataclysme. Ils leur reste que la nostalgie ou la psychanalyse. En France c'est le nombrilisme.
Ce livre ne mérite pas qu'on s'y attarde. Seuls les nostalgiques d'une certaine époque et encore peuvent s'y intéresser.
Créée
le 7 janv. 2023
Modifiée
le 7 janv. 2023
Critique lue 58 fois
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