Alice est internée en asile psychiatrique, muette depuis le meurtre de son mari. Elle lui a tiré à bout portant à cinq reprises dans le visage. Le psychothérapeute Théo Faber se fait muter auprès d’elle et entreprend de la soigner, un peu « à l’arrache »…
Tant les dithyrambes que le texte de la 4° de couverture nous en préviennent : ce roman est ultra addictif et on se fait retourner à la fin. Mais même avertie, je n’ai rien vu venir. Pourtant je me tenais sur mes gardes, doutant de tout et de tout le monde, suspectant ceci ou celui-là, relisant tout de même assez volontiers plusieurs passages pénétrants (des petites perles de vraie psychologie), mais rien n’y a fait.
Un premier roman très efficace et qui ne déçoit pas.