De retour avec Carl Morck, Assad et Rose pour cette troisième enquête du département V qui commence lorsque Carl retrouve sur son bureau une bouteille jetée en mer et qui avait été laissé à l'abandon sur le rebord d'une fenêtre dans un commissariat en Ecosse.
A l'intérieur un mot, quasiment illisible, mais dont on déchiffre tout de même les premiers mots: AU SECOURS.
S'en suit alors un début d'enquête plutôt long, très peu d’élément et une affaire qui remonte à plusieurs années.
Et comme toujours, l'enquête est entrecoupé de chapitres qui nous permettrons de connaître l'origine de cette lettre...
Comme toujours aucun suspense dans ce livre. On sait dès le début qui sont les victimes, qui est le bourreau et ce qui motive ses actes. Le très peu de suspense réside donc dans la manière où Carl est son équipe vont parvenir à résoudre leur enquête.
Ce troisième tome m'a vraiment lassé. Jusqu'à présent je reconnaissais à l'auteur aucune lenteur dans ses romans, mais ce n'est pas le cas de ce troisième opus. Comme par exemple cette histoire de mouches bleues qui envahissent les bureaux des enquêteurs et qui a seulement servi à me donner la nausée.
Même le personnage de Carl Morck est beaucoup moins développé.
Adler Olsen ne se renouvèle pas et reste camper sur le même schéma. Dommage, ses enquêtes sont pourtant intéressantes.