Éric Chevillard semble capable de tout, de choisir un sujet – l’arrivée inopinée d’un hérisson sur sa table de travail ou bien la détestation du gratin de chou-fleur -, ou un non sujet – ici les conséquences pour le monde de la non-existence d’un génie avéré, Dino Egger, et la traque de ce génie en creux par le désespérant Albert Moindre – et de le déplier dans son texte pour en faire un monde. Laborieusement, Albert Moindre cherche les traces du grand homme qui ne fut pas, et reformule les inventions que celui-ci aurait pu apporter au monde s’il avait existé.
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