(Le fil du) Rasoir!
Aux premiers abords, l'écriture de Delerm m'a semblé agréable, elle laissait entrevoir une douceur réconfortante dans laquelle on voudrait se blottir pour oublier le temps sans prise de tête... Aux...
le 29 juil. 2015
Aux premiers abords, l'écriture de Delerm m'a semblé agréable, elle laissait entrevoir une douceur réconfortante dans laquelle on voudrait se blottir pour oublier le temps sans prise de tête... Aux premiers abords seulement. Très vite, la pseudo-poésie des petits détails du quotidien ne m'a plus fait aucun effet, me laissant l'impression de lire une dissertation creuse d'un bon élève de collège utilisant des mots trop compliqués pour lui et faisant pompeusement référence à Proust pour essayer de donner de la profondeur à sa copie, sans arriver, toutefois, à faire oublier l'écriture au stylo plume sur fond de papier quadrillé.
Non, vraiment, c'est pas mon truc, vous ne me reprendrez plus à lire du Delerm, c'est promis. Et puis, j'ai toujours pensé que les livres qui se lisaient trop vite ne devaient pas être de la littérature; on ne fait que les traverser, sans s'arrêter, sans avoir l'occasion d'admirer la beauté d'une phrase ou sans devoir reprendre ses esprits après le passage d'une idée si bien exprimée. Bref, ils ne laissent pas de traces...
Créée
le 29 juil. 2015
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