Esseulé dans un futur caniculaire, Corentin va devoir survivre et sauver Augustine, son arrière grand-mère. Il y a du Robert Merle (Malevil) là-dedans. Un peu de La route de Cormac McCarthy aussi. Une histoire et un style qui tiennent en haleine. Une fable écolo et presque prophétique. La morale de l’histoire ? Même s’il n’y a plus ni refuge, ni d’espoir, il reste le forêts.
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.
Créée
le 17 mars 2021
Critique lue 50 fois
D'autres avis sur Et toujours les forêts
Un roman trop sombre, trop désespéré. Des premières pages jusqu'aux dernières, Sandrine Collette nous écœure de cette noirceur et en rajoute des couches jusqu'au dénouement sans presque nous laisser...
Par
le 23 avr. 2020
6 j'aime
Très grosse déception que ce Et toujours les forêts, pourtant largement encensé par la critique et par une partie du public. Je suis peut-être passé totalement à côté de l'histoire et du propos, qui...
Par
le 7 août 2020
3 j'aime
✩ Sélection mars jury Grand Prix des lectrices ELLE 2020 ✩ Au début, il y a une première histoire, celle de Corentin, « l’enfant du malheur », ballotté de familles d’accueil en hébergements...
Par
le 3 mars 2020
3 j'aime
Du même critique
Vive la guérilla contre les gadgets, les transports, l’agriculture intensive, le travail abrutissant, la consommation de viande et les actionnaires de Bayer-Monsanto ! Malheureusement, ça manque un...
le 17 mars 2021
Comme l'impression qu'il tire d'exemples particuliers des généralités mondiales...
le 17 mars 2021
Un bel album, où on croise le Chthulucene de Donna Haraway et où l’on apprend que c’est dans un petit coin de votre cerveau qui se nomme striatum que naissait l’hormone de la récompense à laquelle...
le 17 mars 2021
