En 1953, le conflit entre les américain et les russes fait rage. Les États-Unis rentrent dans une paranoïa extrême. Joseph McCarty met en place le maccarthysme et liste quiconque qui à une sympathie pour les russes. Ce qui empêche aux gens listés de travailler. Le gouvernement censure également les livres.
C’est dans cette ambiance que Ray Brabury, écrit Fahrenheit 451.
Le livre est divisé en trois parties : Le foyer et la salamandre, Le tamis et le sable, L’éclat de la flamme.
Fahrenheit 451 traite du conditionnement de l’être humain, on oblige les pompiers à brûler des livres, juger par le gouvernement comme anti-social, une perte de temps, ou encore une non-compréhension des textes, qui rend pour cette société l’objet inintéressant et pénible.
Dans le livre, on suit Montag, un pompier qui est attiré par ses livres et il se découvre un bien être et beaucoup d’imaginations à leur contact. On suit ses péripéties pour survivre et/ou cacher son attirance pour cette culture. Le personnage est attachant et on s’inquiète beaucoup pour son sort. Au bout d’un moment, Il rencontre un vieillard qui connait l’importance de la lecture et cache des livres, c’est un personnage important pour son développement. Il y a aussi un bad-guy du nom de Beatty, un pompier qui travaille avec Montag. Beatty est vraiment un homme détestable, il voue une haine pour les livres et n’hésite pas à s’acharner sur Montag, quand il l’interroge… Le sort qui lui est réservé fait beaucoup de bien.
L’écriture de Bradbury est une vrais montagne russe. Aussi bien, bénéfique que terrifiante. Il arrive avec brio à d’écrire les situations, les dialogues, et on ressent sa vision personnelle à travers le personnage de Faber et les hommes livres. Son écriture est vraiment très critique.
Fahrenheit 451 m’a beaucoup plus, ce fut une lecture qui ma fait beaucoup réfléchir sur le traitement des hommes dans une société conditionné. Et sur l’importance de la lecture chez l’être humain et ce que ça apporte chez les gens. Certains passages prenant et terrifiant mon déstabilisé. Comme ceux avec Le limier, un insecte robotique qui peut percer le crâne des gens qui se rebelle…